Seulela France mĂšre des arts, des armes et des lois. (et des dĂ©crets liberticides) applique cette loi du silence. Durant toutes ces derniers annĂ©es nos associations n’ont eu de cesse de demander la moti-vation des dĂ©cisions. Nous avons Ă©tĂ© entendus par le SĂ©nateur CĂ©sar qui a introduit cette notion dans sa proposition de loi sur les armes. (3) classĂ©es en §9 de la 4e catĂ© DuBELLAY . vers 1550. France, mĂšre des arts, des armes et des lois. Joachim du Bellay (1515-1560), l’un des poĂštes de « la PlĂ©iade », auteur avec Ronsard de la cĂ©lĂšbre DĂ©fense et illustration de la langue française, Ă©crivit Ă  Rome, oĂč il avait accompagnĂ© son oncle le cardinal, France mĂšre des arts, des armes et des lois, Tu m’as nourri longtemps du lait de ta mamelle :Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois. Si tu m’as pour enfant avouĂ© quelquefois, Que ne me rĂ©ponds-tu maintenant, ĂŽ cruelle ? France, France, rĂ©ponds Lire la suiteFrance, mĂšre des arts, des armes et des lois France mĂšre des arts, des armes et des lois, Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle :Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de to France MĂšre des Arts, des Armes et des Lois. par Joachim du Bellay. Sonnet IX. France, mĂšre des arts, des armes et des lois, Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle : Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois. Si tu m'as pour enfant avouĂ© quelquefois, FrancemĂšre des arts, des armes et des lois. PubliĂ© par Alain Kelyor le 20 juillet 2022. 1-Les qualitĂ©s intellectuelles de la plupart de nos femmes et hommes politiques (Ă  quelques exceptions prĂšs cependant) sont excellentes et souvent supĂ©rieures Ă  celles de leurs homologues Ă©trangers. 2-Notre administration est composĂ©e de fonctionnaires trĂšs compĂ©tents. 3-Notre . France, mĂšre des arts, des armes et des lois, Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les tu m'as pour enfant avouĂ© quelquefois, Que ne me rĂ©ponds-tu maintenant, ĂŽ cruelle ? France, France, rĂ©ponds Ă  ma triste querelle. Mais nul, sinon Écho, ne rĂ©pond Ă  ma les loups cruels j'erre parmi la plaine, Je sens venir l'hiver, de qui la froide haleine D'une tremblante horreur fait hĂ©risser ma tes autres agneaux n'ont faute de pĂąture, Ils ne craignent le loup, le vent ni la froidure Si ne suis-je pourtant le pire du troupeau. ____________________________________________________________________________________________________ France, mĂšre des arts, des armes et des lois, Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois. Si tu m'as pour enfant avouĂ© quelquefois, Que ne me rĂ©ponds-tu maintenant, ĂŽ cruelle ? France, France, rĂ©ponds Ă  ma triste querelle. Mais nul, sinon Écho, ne rĂ©pond Ă  ma voix. Entre les loups cruels j'erre parmi la plaine, Je sens venir l'hiver, de qui la froide haleine D'une tremblante horreur fait hĂ©risser ma peau. Las, tes autres agneaux n'ont faute de pĂąture, Ils ne craignent le loup, le vent ni la froidure Si ne suis-je pourtant le pire du troupeau. Recueil poĂ©tique de Joachim du Bellay 1522-1560, Les Regrets fut publiĂ© sous le titre les Regrets et Autres ƒuvres poĂ©tiques Ă  Paris chez FĂ©dĂ©ric Morel en 1558. Avant d’ĂȘtre rassemblĂ©s, nombre des sonnets qui composent le recueil circulaient soit en manuscrits, soit imprimĂ©s sans l’autorisation de l’auteur. En 1553, le poĂšte avait accompagnĂ© Ă  Rome son illustre parent, le cardinal Jean du Bellay, qui lui avait confiĂ© l’intendance de sa maison. MĂȘme si l’enthousiasme des premiers temps cĂ©da la place au dĂ©senchantement, le sĂ©jour romain fut loin d’ĂȘtre stĂ©rile aprĂšs avoir quittĂ© Rome, en aoĂ»t 1557, Du Bellay publia coup sur coup, l’annĂ©e suivante, les Regrets, les Divers Jeux rustiques, les AntiquitĂ©s de Rome, et un recueil de PoĂ«mata latins; en outre, le poĂšte revenait en France pourvu de substantiels bĂ©nĂ©fices ecclĂ©siastiques, et l’avenir se prĂ©sentait pour lui sous de bons auspices. Il ne faut donc pas faire une lecture trop littĂ©rale des sonnets relatifs Ă  la dĂ©solation du sĂ©jour romain et Ă  l’obligation navrante de courtiser». Les Regrets se nourrissent Ă©videmment de rĂ©fĂ©rences littĂ©raires dĂšs le sonnet liminaire “À son livre”, Du Bellay se place sous l’invocation d’Ovide, dont il traduit plusieurs vers mot pour mot; mais tandis que les Tristes gĂ©missaient sur l’éloignement de Rome, les Regrets renversent la perspective et font de la Ville Ă©ternelle le bord incogneu d’un estrange rivage». Au souvenir d’Ovide s’ajoute l’influence dĂ©cisive de la satire horatienne paraphrasant dans le deuxiĂšme sonnet l’auteur des Satires, Du Bellay se rĂ©clame d’une simplicitĂ© qu’il qualifie de prose en ryme» ou de ryme en prose»; il est ainsi conduit Ă  adopter l’alexandrin, vers prosaĂŻque aux yeux des poĂštes du temps. Le sonnet France, mĂšre des arts, des armes et des lois » est le neuviĂšme du recueil. Au XVI° siĂšcle, c’est l’Italie qu’on appelle mĂšre des arts ». En donnant ce surnom Ă  la France, dans le sonnet IX, Du Bellay continue la mĂ©ditation du sonnet VII Cependant que la Cour mes ouvrages lisait » ce poĂšme, l’un des plus cĂ©lĂšbres du recueil, poursuit la mĂ©ditation sur les liens entre un poĂšte et le pays qui l’inspire. Mais le ton de la plainte se fait plus pathĂ©tique. Nous verrons dans une premiĂšre partie.... Plan Introduction I L’appel pathĂ©tique A/ Le poĂšte et la France rimes masculines et fĂ©minines B/ L’élĂ©gie et le regret » du pays perdu la poĂ©sie patriotique C/ La France bergĂšre la poĂ©sie pastorale II Le dĂ©tournement des rĂ©fĂ©rences et l’institution d’une poĂ©tique propre A/ France et Italie les sƓurs belligĂ©rantes B/ Le dĂ©tournement de la poĂ©tique pĂ©trarquiste C/ Sonnet et alexandrin Conclusion L'accĂšs au reste du commentaire littĂ©raire est protĂ©gĂ© par un code d'accĂšs. Pour l'obtenir, il vous suffit d'appeler le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone correspondant Ă  votre pays et votre mot de passe vous sera dictĂ© par un robot vocal. Veillez Ă  bien noter quelque part votre numĂ©ro d'accĂšs afin de ne pas l'oubier ! Entrez ensuite le code dans le champ en dessous des drapeaux puis cliquez sur "envoyer". Cet appel vous est facturĂ© 1,68 euros. Le code est valable 2 fois ! Si vous rencontrez des problĂšmes, contactez-nous. Pour avoir des accĂšs gratuits envoyez nous vos devoirs ! Plus d'informations Ce fichier contient un commentaire composĂ© avec introduction, conclusion et transitions rĂ©digĂ©es Plan ; I L’appel pathĂ©tique A/ Le poĂšte et la France rimes masculines et fĂ©minines B/ L’élĂ©gie et le regret » du pays perdu la poĂ©sie patriotique C/ La France bergĂšre la poĂ©sie pastorale II Le dĂ©tournement des rĂ©fĂ©rences et l’institution d’une poĂ©tique propre A/ France et Italie les sƓurs belligĂ©rantes B/ Le dĂ©tournement de la poĂ©tique pĂ©trarquiste C/ Sonnet et alexandrin Conclusion Attention Le site propose des documents qui peuvent vous servir de base ou de modĂšle dans vos travaux scolaires. Il est vivement conseillĂ© de ne pas les recopier mais seulement de s'en inspirer. Le webmaster de ce site ne saurait en aucun cas ĂȘtre responsable des notes ou des sanctions rĂ©sultant de l'utilisation de la banque de donnĂ©es du site. 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Rappelez-vous qu'il peut y avoir de bons devoirs trĂšs diffĂ©rents entre eux. © - Tous droits rĂ©servĂ©s. Toute reproduction complĂšte ou partielle est formellement interdite. Les commentaires de texte, et les fiches hĂ©bergĂ©es sur le site sont la propriĂ©tĂ© de Vingt-cinq aprĂšs l’adoption de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, les Etats-Unis restent l’un des trĂšs rares Etats Ă  ne pas l’avoir ratifiĂ©e. Le 20 novembre 1989 Ă  New York, l’AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale des Nations Unies adopte la Convention internationale des droits de l’enfant CIDE. Vingt-cinq ans plus tard, ce jour est devenu JournĂ©e mondiale de l’enfance en France, et la CIDE a Ă©tĂ© ratifiĂ©e par 193 Etats. Deux ne l’ont pas signĂ©e, le Soudan du Sud et la Palestine, du fait de leur statut ambigu au sein de la communautĂ© internationale. Deux autres l’ont seulement signĂ©e, sans la ratifier. C’est le cas de la Somalie, mais aussi des Etats-Unis, troisiĂšme pays le plus peuplĂ© au monde, et premiĂšre puissance mondiale. De quoi s’interroger. Oui Ă  la signature, non Ă  la ratification Ce n’est pas pour rien si l’on distingue signature et ratification. La simple signature par un Etat ne fait pas entrer la convention dans le droit interne », explique Jacques Fierens, juriste et philosophe spĂ©cialisĂ© dans les droits de l’enfant. Autrement dit, se contenter de signer la CIDE n’oblige en aucun cas l’Etat Ă  appliquer les dispositions qui y sont prĂ©vues. BenoĂźt Van Keirsbilck, directeur de DĂ©fense des Enfants International DEI, renchĂ©rit La signature est un simple engagement politique. La ratification implique la mise en Ɠuvre de cette convention, en mettant en place des services, en adoptant certaines mesures, en faisant appliquer les dispositions de la convention devant les juges. » Si la signature est faite par le pouvoir exĂ©cutif, la ratification revient gĂ©nĂ©ralement au pouvoir lĂ©gislatif. Aux Etats-Unis, c’est donc le rĂŽle du CongrĂšs. Les Etats Unis ont signĂ© la Convention Internationale des Droits de l’Enfant le 16 fĂ©vrier 1995, soit dĂ©jĂ  cinq ans aprĂšs les 60 premiers Etats signataires. Mais la ratification ne suit pas, et par consĂ©quent, les dispositions de la CIDE n’ont pas force obligatoire aux Etats-Unis. Si certains des droits de l’enfant qu’elle garantit sont bafouĂ©s sur le territoire amĂ©ricain, les citoyens ne peuvent s’en prĂ©munir devant les tribunaux. La peine de mort des mineurs, obstacle Ă  la ratification Certaines dispositions de la CIDE ont-elles pu dissuader les Etats-Unis de la ratifier ? On y parle pourtant de non discrimination, de droit Ă  l’éducation, Ă  la santĂ©, ou mĂȘme au repos et au loisir. Mais un article a en effet bien pu gĂȘner le CongrĂšs amĂ©ricain, et c’est l’article 37 Nul enfant ne soit soumis Ă  la torture ni Ă  des peines ou traitements cruels, inhumains ou dĂ©gradants. Ni la peine capitale ni l’emprisonnement Ă  vie sans possibilitĂ© de libĂ©ration ne doivent ĂȘtre prononcĂ©s pour les infractions commises par des personnes ĂągĂ©es de moins de dix-huit ans . Selon les juristes, cette mention de la peine de mort et de la prison Ă  la perpĂ©tuitĂ© est sans aucun doute Ă  l’origine de la rĂ©ticence des Etats-Unis Ă  ratifier la Convention. En 1989, annĂ©e d’adoption de la CIDE, nombre d’Etats des Etats-Unis pratiquaient encore ces deux peines radicales sur les mineurs de plus de 16 ans. Mais en 2005, la cour suprĂȘme a dĂ©noncĂ© la peine de mort des mineurs lors d’un procĂšs , souligne BenoĂźt Keirbilck La cour a mĂȘme fait rĂ©fĂ©rence Ă  la Convention internationale des droits de l’enfant dans son arrĂȘt, ce qui Ă©tait assez Ă©tonnant. Mais la loi n’a pas changĂ© ; nous ne sommes pas tout Ă  fait Ă  l’abri d’un revirement de jurisprudence. » Aux Etats-Unis, les dĂ©cisions de la cour suprĂȘme ont toutefois une trĂšs forte portĂ©e, et ce jugement Ă©quivaut quasiment Ă  l’abolition de la peine de mort sur les mineurs. MalgrĂ© cette avancĂ©e, le CongrĂšs, qui n’a pas entĂ©rinĂ© dans une loi cette dĂ©cision, n’a toujours pas ratifiĂ© la CIDE. Lors de ses deux campagnes, Barack Obama s’était pourtant engagĂ© Ă  le faire. Un excĂšs d’ego des Etats-Unis ? Jacques Fierens donne une raison qu’il dit plus subjective » et personnelle » Ă  ce que les Etats-Unis rechignent Ă  signer cette convention Ils se croient les maĂźtres du monde, et ne sont donc pas trĂšs enclins Ă  ratifier les conventions internationales. C’est une maniĂšre de signifier qu’ils sont au-dessus de cela. » BenoĂźt Van Keirsbilck le rejoint sur ce point Les Etats-Unis n’aiment pas avoir le regard d’une instance extĂ©rieure sur leur droit interne. » Pourtant, chose paradoxale et assez inĂ©dite dans le droit international, les Etats-Unis ont ratifiĂ© deux des trois protocoles facultatifs annexes Ă  la CIDE, qui traitent respectivement de l’exploitation sexuelle des enfants, de leur implication dans les conflits armĂ©s, et d’une saisine directe du ComitĂ© des droits de l’enfant. Des protocoles que mĂȘme certains Etats parties Ă  la CIDE n’ont toujours pas signĂ©, rappelle BenoĂźt Keirbilck, qui ajoute GĂ©nĂ©ralement, les Etats qui ratifient des protocoles facultatifs ont dĂ©jĂ  signĂ© la convention originale. » Le cas des Etats-Unis apparaĂźt donc comme une raretĂ© » du droit international, conclut le juriste. Sonnet IX. France, mĂšre des arts, des armes et des lois, Tu m’as nourri longtemps du lait de ta mamelle Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois. Si tu m’as pour enfant avouĂ© quelquefois, Que ne me rĂ©ponds-tu maintenant, ĂŽ cruelle ? France, France, rĂ©ponds Ă  ma triste querelle. Mais nul, sinon Écho, ne rĂ©pond Ă  ma voix. Entre les loups cruels j’erre parmi la plaine, Je sens venir l’hiver, de qui la froide haleine D’une tremblante horreur fait hĂ©risser ma peau. Las, tes autres agneaux n’ont faute de pĂąture, Ils ne craignent le loup, le vent ni la froidure Si ne suis-je pourtant le pire du troupeau. Voter pour ce poĂšme! Au nom de la maxime de minimis non curat praetor », la grande presse francophone belge, en temps normal, ne parle – pluralisme oblige – que des quatre partis traditionnels PS, MR, ECOLO, cdH. Elle n’évoque jamais les autres formations dĂ©mocratiques tels, par exemple, le PTB+, le Rassemblement Wallonie-France RWF. Certes, leurs rĂ©sultats ne sont pas mirobolants 1,24 % pour le PTB+, 1,39 % pour le RWF. Mais ils sont en progression le PTB+ double son score par rapport Ă  2004, le RWF voit ses rĂ©sultats en hausse de 0,38 %. PS, cdH, MR Ă©tant Ă  la baisse en juin 2009. Ces progrĂšs sont dus Ă  un travail de militants – non de clients » – luttant en faveur d’une cause dĂ©mocratique. En revanche, la grande presse francophone belge fait ses choux gras de tensions susceptibles de naĂźtre parmi ces militants. Pour preuve, leur mise en Ă©vidence, fin 2009, sous le titre flamboyant de Rififi au RWF ». Le hasard faisant bien les choses, le jour mĂȘme du Rififi » nous avons dĂ©couvert le blogue Azur » tenu par un ancien confrĂšre Pierre StiĂ©venart, SpĂ©cial », Le Soir » un professionnel de la communication avec 40 ans d’expĂ©rience ». Sous le titre France, mĂšre des arts, des armes et des lois
 », il Ă©crit Il est des dates qu’on n’oubliera pas. Aujourd’hui, j’ai eu la confirmation que le Journal Officiel avait publiĂ© le dĂ©cret m’accordant la nationalitĂ© française. Ayant dĂ©cidĂ© de vivre en France, y Ă©tant contribuable, il m’a semblĂ© naturel de pouvoir y exercer la plĂ©nitude des droits et devoirs des citoyens de la RĂ©publique 
 Merci Ă  la RĂ©publique de m’accueillir. La Belgique de papa » ayant vĂ©cu, je me considĂšre comme un ancien Belge » qui a trouvĂ© outre-QuiĂ©vrain non pas une herbe plus verte, mais un air moins corrompu. On se comprend ». Navigation des articles

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