LereprĂ©sentant lĂ©gal a pour mission de dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de la sociĂ©tĂ© et constitue le principal dĂ©cisionnaire. C’est Ă  lui qu’appartient le pouvoir de signer des contrats et d’ engager la sociĂ©tĂ©. Il peut Ă©galement assurer les actes de la vie courante Laconfiguration de la structure permet d’atteindre un niveau d’isolation Ă©levĂ© assez facilement. La structure de toit qu’elle soit en pente ou plate sera assemblĂ©e par des menuisiers. Exemple de plans – Studio de Jardin Ă  Toit Plat 18 mÂČ. PubliĂ© par jeef il y a 11 ans. La surface intĂ©rieure atteint 16,34 mÂČ pour les dimensions suivantes : 3,80 x 4,30 m . On parle de charpente LaSociĂ©tĂ© A ResponsabilitĂ© LimitĂ©e ou SARL est une sociĂ©tĂ© commerciale pour laquelle la responsabilitĂ© financiĂšre est limitĂ©e aux montants respectifs des apports des associĂ©s. Le capital d'une SARL doit ĂȘtre Ă©gal ou supĂ©rieur Ă  1 euros. Les associĂ©s peuvent verser seulement 20% du capital lors de la crĂ©ation de la sociĂ©tĂ© et envigueur lors de la remise des offres ou lors du mois d’établissement des prix (mois Mo ) Liste des piĂšces Ă  fournir Un acte d’engagement, complĂ©tĂ©, datĂ©, et signĂ© par une personne habilitĂ©e Ă  engager la sociĂ©tĂ©, Le Bordereau de prix unitaires/DĂ©tail Quantitatif Estimatif Des fiches techniques des matĂ©riels proposĂ©s LaCour de cassation rappelle ici que selon l ’article 4 al. 1er de la loi du 2 janvier 1970, tout personne habilitĂ©e par un titulaire de la carte professionnelle Ă  nĂ©gocier, s'entremettre ou s'engager pour le compte de ce dernier justifie de sa qualitĂ© et de l'Ă©tendue de ses pouvoirs dans les conditions fixĂ©es par dĂ©cret en Conseil d'Etat. Personne(s) ayant le pouvoir d’engager la sociĂ©tĂ© : c'est Ă  dire la personne qui peut signer les documents contractuels Ex: Le gĂ©rant, M. X.., le co-gĂ©rant, M.X.. La personne qui signe doit pouvoir engager la responsabilitĂ© de l'entreprise. Par ses fonctions, le gĂ©rant ou le PDG bĂ©nĂ©ficie de se pouvoir. Si il s'agit d'une . Les organismes Hlm peuvent exercer des activitĂ©s soumises Ă  la rĂ©glementation applicable aux intermĂ©diaires de l’immobilier, dans le cadre de leurs compĂ©tences telles qu’elles rĂ©sultent du Code de la construction et de l’habitation CCH. En effet, en tant que syndics de copropriĂ©tĂ© ou administrateurs de biens notamment, ils sont, en principe, soumis au statut d’ordre public rĂ©gissant ces professionnels de l’immobilier et dĂ©fini par la loi n° 70-9 du 2 janvier 1970, communĂ©ment dĂ©nommĂ©e loi Hoguet. Cette loi rĂ©glementant les conditions d’exercice des activitĂ©s relatives Ă  certaines opĂ©rations portant sur les immeubles et les fonds de commerce, complĂ©tĂ©e par un dĂ©cret dapplication n° 72-678 du 20 juillet 1972, prĂ©voit l’obligation, pour toute personne physique ou morale, d’ĂȘtre titulaire d’une carte professionnelle pour pouvoir exercer les activitĂ©s entrant dans son champ d’application. À dĂ©faut, des sanctions civiles ou pĂ©nales sont encourues pour la personne exerçant une activitĂ© rĂ©gie par la loi, sans remplir les obligations rĂ©sultant de ces textes impĂ©ratifs. Ainsi, lorsqu’un organisme Hlm rĂ©alise, dans les limites de ses compĂ©tences, de maniĂšre habituelle et mĂȘme Ă  titre accessoire, certaines opĂ©rations, pour des biens immobiliers dont il n’est pas propriĂ©taire, il devra s’interroger, au prĂ©alable, sur la nĂ©cessitĂ© de demander la carte professionnelle imposĂ©e par la loi. Il s’agit de l’activitĂ© d’intermĂ©diaire, notamment pour les opĂ©rations suivantes cf. article 1er de la loi du 2 janvier 1970 l’achat, la vente, la location d’immeubles bĂątis ou non bĂątis ; la gestion immobiliĂšre ; l’exercice des fonctions de syndic de copropriĂ©tĂ© dans le cadre de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis. Toutefois, les organismes Hlm peuvent ĂȘtre dispensĂ©s de demander ladite carte dans les cas prĂ©vus par l’article 95 du dĂ©cret du 20 juillet 1972 fixant les conditions d’application de la loi n° 70-9 du 2 janvier 1970 rĂ©glementant les conditions d’exercice des activitĂ©s relatives Ă  certaines opĂ©rations portant sur les immeubles et fonds de commerce. Il en sera ainsi notamment lorsqu’ils sont syndics de droit, conformĂ©ment Ă  l’article du CCH pour des immeubles leur appartenant mis en copropriĂ©tĂ© et dans lesquels ils ont vendus des lots ou lorsqu’ils commercialisent des logements appartenant Ă  un autre organisme Hlm activitĂ© d’entremise ou transaction immobiliĂšre de mĂȘme lorsqu’ils gĂšrent des logements, propriĂ©tĂ© d’un autre organisme Hlm ou d’une collectivitĂ© publique, d’une sociĂ©tĂ© d’économie mixte, ou d’un organisme Ă  but non lucratif
 Seules les modalitĂ©s d’obtention et de renouvellement de la carte pour les organismes Hlm, en qualitĂ© de syndic et d’administrateurs de biens hors cas de dispense sont analysĂ©es ci-aprĂšs. À qui s’adresser pour demander la dĂ©livrance d’une carte professionnelle ? Depuis l’entrĂ©e en vigueur des dispositions rĂ©sultant de la loi ALUR du 24 mars 2014, c’est-Ă -dire le 1er juillet 2015, ce sont les Chambres de commerce et d’industrie CCI territoriales qui sont compĂ©tentes pour la dĂ©livrance des cartes. Auparavant, c’étaient les prĂ©fectures. La demande est prĂ©sentĂ©e au prĂ©sident de la Chambre de commerce et d’industrie territoriale ou de la chambre dĂ©partementale d’Île-de-France, dans le ressort de laquelle se trouve le siĂšge de l’organisme Hlm cf. articles 2 et 5 du dĂ©cret du 20 juillet 1972. Lorsque le demandeur est une personne morale, la dĂ©livrance de la carte est sollicitĂ©e par son reprĂ©sentant lĂ©gal, en l’occurrence par le directeur gĂ©nĂ©ral de l’organisme Hlm. L’organisme Hlm doit indiquer sa dĂ©nomination, sa forme juridique, son siĂšge, son objet ainsi que l’état civil, le domicile, la profession et la qualitĂ© de son reprĂ©sentant lĂ©gal. Elle prĂ©cise la nature des opĂ©rations pour lesquelles la carte est demandĂ©e syndic de copropriĂ©tĂ©, gestion immobiliĂšre
. EffectuĂ©e selon un modĂšle dĂ©fini rĂ©glementairement, elle est dĂ©posĂ©e contre dĂ©charge ou adressĂ©e par lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception ou par voie Ă©lectronique1. Elle est accompagnĂ©e d’un paiement en rĂ©munĂ©ration de l’instruction du dossier et dĂ©livrance de la carte, dont le montant 120 euros et les modalitĂ©s sont dĂ©terminĂ©s par arrĂȘtĂ©2. En cas de demande incomplĂšte, la Chambre de commerce et d’industrie CCI notifie au demandeur, par tout moyen, la liste des piĂšces manquantes, dans un dĂ©lai de quinze jours Ă  compter de la rĂ©ception de la demande. Les piĂšces complĂ©mentaires sont dĂ©posĂ©es contre dĂ©charge ou adressĂ©es par lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception ou par voie Ă©lectronique. À dĂ©faut d’ĂȘtre complĂ©tĂ©e dans les deux mois de cette notification, la demande devient caduque. La carte professionnelle est numĂ©rotĂ©e. Un formulaire de demande Cerfa n° 15312*01 et une notice sont accessibles sur Internet Les organismes Hlm doivent-ils justifier de leur aptitude professionnelle pour l’obtention de la carte ? Non, les organismes Hlm en sont dispensĂ©s par l’article 95 avant-dernier alinĂ©a du dĂ©cret du 20 juillet 1972. Ils n’ont pas Ă  justifier, en la personne de leur reprĂ©sentant lĂ©gal, de diplĂŽmes et/ou d’une expĂ©rience professionnelle. L’aptitude professionnelle ne doit pas ĂȘtre confondue avec l’obligation de formation continue, instituĂ©e par la loi ALUR pour les demandes de renouvellement de carte. Les organismes Hlm ne sont pas dispensĂ©s de cette derniĂšre obligation cf. infra. Quels sont les conditions et les justificatifs Ă  produire lors de la demande de carte ? Les piĂšces Ă©numĂ©rĂ©es par l’article 3 du dĂ©cret de 1972 doivent ĂȘtre jointes Ă  la demande, il s’agit notamment, de l’attestation de garantie financiĂšre ; l’attestation d’assurance contre les consĂ©quences pĂ©cuniaires de la responsabilitĂ© civile professionnelle ; l’extrait du registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s datant de moins d’un mois si la personne est immatriculĂ©e Ă  ce registre, ou d’un double de la demande si elle doit y ĂȘtre immatriculĂ©e ; l’attestation d’ouverture au nom de chaque mandant des comptes bancaires prĂ©vus par l’article 71 du dĂ©cret de 1972 activitĂ© de gestion immobiliĂšre ou de syndic de copropriĂ©tĂ©. L’article 5 du dĂ©cret de 1972 prĂ©voit en outre "En vue de vĂ©rifier que le demandeur n’est pas frappĂ© d’une des incapacitĂ©s ou interdictions d’exercer dĂ©finies au titre II de la loi du 2 janvier 1970 susvisĂ©e, le prĂ©sident de la Chambre de commerce et d’industrie territoriale ou celui de la Chambre de commerce et d’industrie dĂ©partementale d’Île-de-France demande un bulletin n° 2 au casier judiciaire national." Existe-t-il des modĂšles de carte diffĂ©rents selon l’activitĂ© exercĂ©e administrateur de biens, syndic
 ? Non, il s’agit d’une seule et mĂȘme carte, Ă©tablie selon un modĂšle dĂ©fini par l’arrĂȘtĂ© du 19 juin 2015 prĂ©citĂ©, portant la ou les mentions correspondant Ă  l’activitĂ© exercĂ©e du dĂ©cret de 1972. Pour les organismes Hlm, compte tenu de leurs compĂ©tences, il s’agit le plus frĂ©quemment des mentions "Gestion immobiliĂšre" et/ou "Syndic de copropriĂ©tĂ©". La loi ALUR a distinguĂ© l’activitĂ© de syndic de copropriĂ©tĂ© de celle de gestion immobiliĂšre et, par consĂ©quent, a ajoutĂ© Ă  la liste des activitĂ©s entrant dans le champ d’application de la loi Hoguet "L’exercice des fonctions de syndic de copropriĂ©tĂ© dans le cadre de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis". Les titulaires d’une carte en cours de validitĂ©, portant la mention "gestion immobiliĂšre" et exerçant l’activitĂ© de syndic de copropriĂ©tĂ© peuvent, le cas Ă©chĂ©ant, continuer Ă  exercer avec cette carte cf. du dĂ©cret n° 2015-702 du 19 juin 2015. Quelle est la durĂ©e de validitĂ© d’une carte ? Depuis la modification de l’article 80 du dĂ©cret du 20 juillet 1972 par le dĂ©cret n° 2015-702 du 19 juin 2015, la carte est valable trois ans. Avant l’entrĂ©e en vigueur, le 1er juillet 2015, de ce dĂ©cret de 2015, cette durĂ©e Ă©tait fixĂ©e Ă  dix ans. Toutefois, des dispositions transitoires sont prĂ©vues par le dĂ©cret de 2015 pour les cartes dĂ©livrĂ©es avant le 1er juillet 2008, elles demeurent valables jusqu’à leur date d’expiration ; pour les cartes dĂ©livrĂ©es entre le 1er juillet 2008 et le 30 juin 2015, elles sont valables jusqu’au 1er juillet 2018. Certains changements concernant l’organisme Hlm ont-ils un impact sur la carte ? Il rĂ©sulte de l’article 6 du dĂ©cret du 20 juillet 1972 que le titulaire de la carte, doit notamment dĂ©clarer, sans dĂ©lai, Ă  la CCI tout changement d’adresse de son siĂšge social ; de dĂ©nomination de la personne morale ; de forme de la personne morale ; d’identitĂ© de son reprĂ©sentant lĂ©gal ; d’identitĂ© du garant ou de l’assureur de responsabilitĂ© civile professionnelle. Une demande de modification, entraĂźnant la dĂ©livrance d’une nouvelle carte aprĂšs remise de l’ancienne, doit ĂȘtre faite dans ces circonstances par l’organisme Hlm. Une dĂ©claration devra ĂȘtre effectuĂ©e "en cas d’avenant Ă  la garantie financiĂšre ou Ă  l’assurance contre les consĂ©quences pĂ©cuniaires de la responsabilitĂ© civile professionnelle". Quelles sont les obligations particuliĂšres Ă  remplir lors de la demande de renouvellement de la carte formation continue ? La demande de renouvellement doit ĂȘtre prĂ©sentĂ©e deux mois avant la date d’expiration de la carte et dĂ©posĂ©e contre dĂ©charge ou adressĂ©e par lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception ou par voie Ă©lectronique art. 80 du dĂ©cret de 1972. Les mĂȘmes justificatifs prĂ©vus pour la demande initiale garantie financiĂšre et assurance professionnelle notamment doivent ĂȘtre joints Ă  la demande de renouvellement de la carte Ă©tablie selon un modĂšle rĂ©glementaire arrĂȘtĂ© du 19 juin 2015 prĂ©citĂ©. En outre, depuis l’entrĂ©e en vigueur de dispositions issues de la loi ALUR, complĂ©tĂ©es par un dĂ©cret n° 2016-173 du 18 fĂ©vrier 2016 relatif Ă  la formation continue des professionnels de l’immobilier lors de ce renouvellement, il doit ĂȘtre justifiĂ© du respect de l’obligation de formation continue. L’article 3-1 de la loi Hoguet dispose expressĂ©ment que pour les personnes titulaires de la carte, "eur carte professionnelle ne peut ĂȘtre renouvelĂ©e si elles ne justifient pas avoir rempli cette obligation." Le dĂ©cret du 18 fĂ©vrier 2016 relatif Ă  la formation continue est entrĂ© en vigueur le 1er avril 2016. La durĂ©e de cette formation est fixĂ©e Ă  quatorze heures par an ou Ă  quarante-deux heures au cours de trois annĂ©es consĂ©cutives d’exercice art. 2 du dĂ©cret du 18 fĂ©vrier 2016. Toutefois, des dispositions transitoires sont mises en place par l’article 7 du dĂ©cret de 2016 ; ainsi, pour la demande de renouvellement de leur carte, les titulaires de la carte professionnelle expirant entre le 1er janvier 2017 et le 31 dĂ©cembre 2017, la durĂ©e minimale Ă©tait fixĂ©e Ă  quatorze heures ; entre le 1er janvier 2018 et le 31 dĂ©cembre 2018, la durĂ©e minimale est fixĂ©e Ă  vingt-huit heures. Pour ceux dont la carte expirait entre le 1er avril 2016 et le 31 dĂ©cembre 2016, il n’y avait pas lieu de justifier de cette obligation lors de la demande de renouvellement. Aujourd’hui, il doit en ĂȘtre justifiĂ© lors de la demande de renouvellement de la carte professionnelle, y compris pour les organismes Hlm qui n’en sont pas dispensĂ©s. Quelles sont les personnes soumises Ă  l’obligation de formation continue ? Afin d’assurer " la mise Ă  jour et le perfectionnement des connaissances et des compĂ©tences nĂ©cessaires Ă  l’exercice de leur profession", les personnes mentionnĂ©es aux articles 3-1 de la loi Hoguet, et 1er du dĂ©cret du 18 fĂ©vrier 2016, sont soumises Ă  une obligation de formation continue. Par consĂ©quent, pour un organisme Hlm, titulaire de la carte, sont visĂ©s le directeur gĂ©nĂ©ral reprĂ©sentant lĂ©gal de l’organisme Hlm ; les collaborateurs, chargĂ©s ou gestionnaires de copropriĂ©tĂ©, c’est-Ă -dire les "personnes habilitĂ©es par le titulaire de la carte professionnelle Ă  nĂ©gocier, s’entremettre ou s’engager pour le compte de ce dernier". Il s’agit de collaborateurs, salariĂ©s de l’organisme Hlm qui sont habilitĂ©s par le titulaire de la carte, conformĂ©ment aux dispositions des articles 4 de la loi Hoguet et 9 du dĂ©cret de 1972. L’organisme Hlm, titulaire de la carte, remet Ă  ses collaborateurs une attestation conforme Ă  un modĂšle rĂ©glementaire. Cette attestation est "visĂ©e par le prĂ©sident de la Chambre de commerce et d’industrie territoriale ou de la Chambre dĂ©partementale d’Île-de-France compĂ©tente", puis dĂ©livrĂ©e par l’organisme Hlm, titulaire de la carte professionnelle. L’obligation de formation continue est distincte de l’aptitude professionnelle pour laquelle une dispense est prĂ©vue pour les organismes Hlm lorsqu’ils sollicitent la dĂ©livrance de leur carte cf. supra et article 95 du dĂ©cret du 20 juillet 1972. Il n’y a pas de dĂ©rogation pour les organismes Hlm le directeur gĂ©nĂ©ral et les collaborateurs concernĂ©s sont soumis Ă  la formation continue, pour permettre le renouvellement de la carte de l’organisme. À dĂ©faut, sa carte ne pourra pas ĂȘtre renouvelĂ©e et l’activitĂ© de syndic de copropriĂ©tĂ©, par exemple, ne pourra plus ĂȘtre exercĂ©e en dehors des exceptions prĂ©vues par l’article 95 du dĂ©cret de 1972. Quelles sont les activitĂ©s permettant de justifier de la formation continue ? Les activitĂ©s validĂ©es sont prĂ©cisĂ©es Ă  l’article 3 du dĂ©cret du 18 fĂ©vrier 2016. La participation aux actions de formation suivantes – actions d’adaptation et de dĂ©veloppement des compĂ©tences des salariĂ©s ; – actions d’acquisition, d’entretien ou de perfectionnement des connaissances ; – actions de formation continue relatives au dĂ©veloppement durable et Ă  la transition Ă©nergĂ©tique ; L’assistance Ă  des colloques, dans la limite de deux heures par an ; L’enseignement, dans la limite de trois heures par an. "Ces activitĂ©s ont trait aux domaines juridique, Ă©conomique, commercial, Ă  la dĂ©ontologie ainsi qu’aux domaines techniques relatifs Ă  la construction, l’habitation, l’urbanisme, la transition Ă©nergĂ©tique. Elles ont un lien direct avec l’activitĂ© professionnelle exercĂ©e" 
. Au cours de trois annĂ©es consĂ©cutives d’exercice, la formation continue inclut au moins deux heures portant sur la dĂ©ontologie.". Ces activitĂ©s sont accomplies auprĂšs d’organismes de formation, enregistrĂ©s ou ayant dĂ©posĂ© une dĂ©claration d’activitĂ© en cours d’enregistrement. Une attestation est dĂ©livrĂ©e par l’organisme ; elle mentionne "les objectifs, le contenu, la durĂ©e et la date de rĂ©alisation de l’activitĂ©. Lorsqu’il s’agit d’un colloque, ce document atteste de la prĂ©sence du professionnel Ă  cette manifestation" cf. art. 5 du dĂ©cret de 2016. Compte tenu des sanctions encourues, en cas d’exercice des activitĂ©s entrant dans le champ d’application de la loi Hoguet, sans ĂȘtre titulaire de la carte, ou de l’attestation pour les personnes habilitĂ©es par le titulaire de la carte cf. art. 14 de la loi six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende, les organismes Hlm doivent ĂȘtre vigilants sur les formalitĂ©s Ă  accomplir lorsqu’ils ne sont pas dispensĂ©s de l’obligation de dĂ©tenir la carte. Ainsi, peuvent-ils exercer leurs compĂ©tences, telles que dĂ©finies par le Code de la construction et de l’habitation, sous rĂ©serve de remplir au prĂ©alable les conditions rĂ©sultant de la loi Hoguet qui s’impose, en principe, Ă  tout professionnel agissant en tant qu’intermĂ©diaire de l’immobilier dans le cadre des activitĂ©s dĂ©finies par cette loi. ThĂšmes Conditions d’exercice en loi Hoguet — CompĂ©tence de syndic de copropriĂ©tĂ©. Contact GaĂ«lle LecouĂ«dic, conseiller juridique, direction juridique et fiscale ; Tel 01 40 75 78 60. MĂ©l ush-djef 1 Art. 5 du dĂ©cret du 20 juillet 1972 et arrĂȘtĂ© du 19 juin 2015 fixant le modĂšle unique de demande, de renouvellement ou de modification de la carte professionnelle, de la dĂ©claration prĂ©alable d’activitĂ©, de la dĂ©claration de libre prestation de services et le modĂšle de demande d’attestation de personne habilitĂ©e prĂ©vus par le dĂ©cret n° 72-678 du 20 juillet 1972 applicable aux agents immobiliers, syndics et gestionnaires de biens. 2 ArrĂȘtĂ© du 19 juin 2015 fixant le paiement dĂ» en rĂ©munĂ©ration de procĂ©dures prĂ©vues par le dĂ©cret n° 72-678 du 20 juillet 1972 applicables aux agents immobiliers, syndics et gestionnaires de biens. Les rĂŽles du dirigeant d’entreprise Le dirigeant d’entreprise assure plusieurs rĂŽles au sein de la sociĂ©tĂ© et endosse de nombreuses responsabilitĂ©s en fonction du statut juridique de la sociĂ©tĂ©. Mais en principe, il assure la gestion des affaires courantes de l’entreprise et le reprĂ©sente auprĂšs des tiers. Dans les SARL, les EURL et les SCI, le dirigeant est appelĂ© gĂ©rant il peut y avoir plusieurs gĂ©rants, Ă  l’exception des EURL. Il a pour rĂŽle de reprĂ©senter la sociĂ©tĂ© ;signer des contrats pour et au nom de la structure ;engager la sociĂ©tĂ© auprĂšs des tiers. Ses prĂ©rogatives sont encadrĂ©es par les statuts. Dans les SAS, les SASU et les SA, le dirigeant a la qualitĂ© de prĂ©sident. Il est le reprĂ©sentant lĂ©gal de la sociĂ©tĂ© et prend en charge l’organisation, la gestion et l’administration des affaires courantes. Le prĂ©sident peut ĂȘtre assistĂ© par un ou plusieurs directeurs gĂ©nĂ©raux. Dans quel cas un changement de dirigeant intervient-il ? Le dirigeant peut ĂȘtre changĂ© Ă  tout moment. En principe, le changement de dirigeant rĂ©sulte de deux causes principales l’arrivĂ©e Ă  terme de son mandat ;sa dĂ©mission. Toutefois, d’autres raisons peuvent Ă©galement motiver le changement de dirigeant, en l’occurrence la rĂ©vocation ;le dĂ©part en retraite ;le dĂ©cĂšs ;la condamnation ;la dissolution, la fusion ou la transformation de la sociĂ©tĂ©. L’arrivĂ©e Ă  terme du mandat du dirigeant d’entreprise Le dirigeant est nommĂ© en principe pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e. GĂ©nĂ©ralement, ce sont les statuts qui fixent la durĂ©e du mandat. De ce fait, en cas de silence des statuts, le dirigeant est nommĂ© pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Par ailleurs, d’autres documents peuvent prĂ©voir la durĂ©e du mandat du dirigeant comme le pacte d’associĂ©s. Dans les sociĂ©tĂ©s anonymes, les statuts prĂ©voient souvent une limite d’ñge au prĂ©sident et aux diffĂ©rents administrateurs. Ainsi, quand cette limite est atteinte, leurs fonctions prennent fin automatiquement. La dĂ©mission La dĂ©mission peut avoir plusieurs causes maladie ;dĂ©mĂ©nagement ;changement de profession ;mĂ©sentente avec les associĂ©s. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, le dirigeant peut dĂ©missionner Ă  tout moment sans motif lĂ©gitime. Toutefois, les statuts, notamment des SARL, peuvent prĂ©voir les conditions de la dĂ©mission dĂ©lai de prĂ©avis, notification des associĂ©s, acceptation par la sociĂ©tĂ©, etc. La rĂ©vocation La rĂ©vocation du dirigeant d’entreprise est votĂ©e en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire des associĂ©s dans les conditions de majoritĂ© prĂ©vues par les statuts. Dans les dĂ©tails, le gĂ©rant de SARL peut ĂȘtre rĂ©voquĂ© Ă  la majoritĂ© absolue Ă  la premiĂšre consultation ;Ă  la majoritĂ© relative Ă  la deuxiĂšme consultation. Elle doit ĂȘtre motivĂ©e par un juste motif. En cas de rĂ©vocation abusive, le dirigeant peut exiger le versement de dommages et intĂ©rĂȘts. Par ailleurs, le gĂ©rant de SARL peut Ă©galement ĂȘtre rĂ©voquĂ© par le tribunal sur demande d’un associĂ© et pour une cause lĂ©gitime abandon de poste, dĂ©sintĂ©ressement de l’entreprise, mise en pĂ©ril de la SARL, etc. En SAS, les conditions de rĂ©vocation sont librement prĂ©vues par les statuts. Par ailleurs, le prĂ©sident peut ĂȘtre rĂ©voquĂ© sans juste motif et sans prĂ©avis. Cependant, en cas de rĂ©vocation abusive, le prĂ©sident peut Ă©galement demander le versement de dommages et intĂ©rĂȘts. Le dĂ©part en retraite La retraite est incontournable pour tous les professionnels et les dirigeants d’entreprise n’échappent pas Ă  cette rĂšgle. Il est indispensable de prĂ©parer le dĂ©part en retraite bien avant l’échĂ©ance afin que des actions ou des parts sociales ne soient pas vacantes. Ainsi, il peut ĂȘtre prĂ©vu une cession des parts aux hĂ©ritiers ou aux associĂ©s par exemple. Le dĂ©cĂšs Effectivement, si le dirigeant d’entreprise venait Ă  dĂ©cĂ©der au cours de son mandat, il doit ĂȘtre remplacĂ© selon les conditions dĂ©finies par les statuts. La condamnation Le dirigeant d’entreprise engage sa responsabilitĂ© civile et pĂ©nale dans le cadre de ses fonctions. Si les agissements du dirigeant mettent en pĂ©ril l’avenir de l’entreprise ou s’il abusait de ses pouvoirs, les tiers et les associĂ©s peuvent porter plainte contre lui. Dans ce cas, le dirigeant peut ĂȘtre frappĂ© d’une interdiction de gĂ©rer. Le changement de dirigeant, dĂšs lors que celui-ci est nommĂ© par les statuts, entraĂźne indubitablement une modification statutaire. Cette modification est soumise Ă  un formalisme strict avec l’accomplissement de plusieurs formalitĂ©s obligatoires. Tenir une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire Toute modification des statuts doit ĂȘtre votĂ©e au cours d’une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des associĂ©s. Les conditions de majoritĂ© dĂ©pendent du statut juridique de la sociĂ©tĂ© Ă  la majoritĂ© de plus de la moitiĂ© des parts sociales pour les SARLlibrement fixĂ©es par les statuts. À l’issue de cette rĂ©union, un procĂšs-verbal d’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire ou une dĂ©cision de l’associĂ© unique constatant la nomination d’un nouveau dirigeant doit ĂȘtre Ă©tabli. Par ailleurs, le nouveau prĂ©sident doit accepter ses nouvelles fonctions et indiquer qu’il n’y a aucune incompatibilitĂ© avec son nouveau mandat. Enfin, le nom du nouveau dirigeant doit ĂȘtre indiquĂ© dans les statuts. Publier un avis de modification dans un journal d’annonces lĂ©gales Cette formalitĂ© doit ĂȘtre accomplie dans le mois qui suit l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire. L’annonce doit ĂȘtre publiĂ©e dans un journal d’annonces lĂ©gales habilitĂ© situĂ© dans le dĂ©partement du siĂšge social de la sociĂ©tĂ©. Le contenu de l’avis est dĂ©fini par la loi. Ainsi, pour ĂȘtre opposable aux tiers, il doit contenir plusieurs mentions obligatoires, Ă  savoir la dĂ©nomination sociale ;la forme juridique SARL, SAS, EURL, SASU, SA, SCI, SNC, etc. ;l’adresse du siĂšge social ;l’objet social ;le montant du capital social ;le numĂ©ro d’inscription au RCS et la ville d’immatriculation ;le nom et prĂ©nom du nouveau dirigeant ainsi que son adresse ;le nom de l’ancien dirigeant ;le motif de changement de dirigeant. DĂ©poser le dossier de demande d’inscription modificative au RCS Ce dossier peut ĂȘtre dĂ©posĂ© au centre de formalitĂ©s des entreprises compĂ©tent ou directement au greffe du tribunal de commerce dont relĂšve la sociĂ©tĂ© article R123-5 du code de commerce. Le dossier doit ĂȘtre dĂ©posĂ© au plus tard un mois aprĂšs l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire accompagnĂ©e d’un certain nombre de piĂšces justificatives. La cessation des fonctions de l’ancien dirigeant et la nomination du nouveau sont opposables aux tiers une fois toutes ces formalitĂ©s rĂ©alisĂ©es. Les documents justificatifs nĂ©cessaires La liste des piĂšces justificatives demandĂ©es par le greffe du tribunal de commerce est quasi similaire pour toutes les sociĂ©tĂ©s, Ă  quelques exceptions prĂšs. Les piĂšces Ă  fournir pour les SAS Un exemplaire de l’acte constatant le changement de prĂ©sident de la sociĂ©tĂ© certifiĂ© conforme par le reprĂ©sentant lĂ©gal. L’identitĂ© de l’ancien prĂ©sident doit Ă©galement apparaĂźtre dans cet formulaire M3 dĂ»ment rempli et signĂ© par le reprĂ©sentant lĂ©gal de la cas Ă©chĂ©ant, une copie des statuts mis Ă  pouvoir en original du reprĂ©sentant lĂ©gal s’il n’a pas signĂ© lui-mĂȘme le formulaire M3-A. À noter que ce pouvoir peut ĂȘtre donnĂ© dans les attestation de parution d’un avis de modification dans un journal d’annonces copie de l’autorisation, du diplĂŽme ou du titre, selon le cas, dĂ©livrĂ© par l’autoritĂ© compĂ©tente si l’activitĂ© dĂ©clarĂ©e de la SAS est chĂšque libellĂ© Ă  l’ordre du greffe du tribunal de commerce. D’autres piĂšces justificatives relatives au nouveau prĂ©sident de la SAS doivent Ă©galement ĂȘtre jointes au dossier. Pour le prĂ©sident personne physique Il faudra rĂ©unir les justificatifs ci-aprĂšs Une copie de la carte nationale d’identitĂ© ou du passeport. Si le nouveau prĂ©sident est de nationalitĂ© Ă©trangĂšre et soumis Ă  l’obligation d’ĂȘtre titulaire d’un titre de sĂ©jour, il doit fournir une copie recto verso de son titre de sĂ©jour en cours de validitĂ©. Dans le cas contraire, il doit prĂ©senter tout document officiel Ă©tablissant son identitĂ© de la personne. Cela peut ĂȘtre par exemple un dĂ©claration sur l’honneur de non-condamnation du nouveau prĂ©sident, signĂ©e par lui-mĂȘme. Cette dĂ©claration fera l’objet d’une vĂ©rification par le juge commis au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s auprĂšs du casier judiciaire dĂ©claration de filiation nom et prĂ©noms du pĂšre, nom de jeune fille et prĂ©nom de la mĂšre, sauf si la filiation figure dans un document dĂ©jĂ  produit Pour le prĂ©sident personne morale Si le nouveau prĂ©sident de la SAS est une personne morale, ce sont les justificatifs suivants qu’il faudra dĂ©poser au greffe du tribunal de commerce. Un extrait de l’immatriculation en original de moins de trois mois. À dĂ©faut, un titre justifiant l’existence de la personne morale par exemple ses statuts si elle n’est pas inscrite au RCS ou si elle relĂšve d’un pays non membre de la communautĂ© europĂ©enne. Les statuts doivent ĂȘtre traduits en langue française et certifiĂ©s conformes par le reprĂ©sentant la personne morale n’est pas immatriculĂ©e ou relĂšve d’un pays non membre de la communautĂ© europĂ©enne, son reprĂ©sentant lĂ©gal doit ĂȘtre dĂ©clarĂ© au RCS. Dans ce cas, il faudra joindre les piĂšces justificatives suivantes au dossier une copie de la carte nationale d’identitĂ©, du passeport ou d’un titre de sĂ©jour accompagnĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant, de la copie du rĂ©cĂ©pissĂ© de la dĂ©claration rĂ©alisĂ©e Ă  la prĂ©fecture pour l’exercice d’une profession commerciale, industrielle ou artisanale selon la nationalitĂ© du reprĂ©sentant ;une dĂ©claration sur l’honneur de non-condamnation datĂ©e et signĂ©e en original par le reprĂ©sentant lĂ©gal, ainsi que l’attestation de filiation si celle-ci ne figure pas dans un document dĂ©jĂ  produit. Les piĂšces Ă  fournir pour les SARL Dans le cas d’une SARL, les piĂšces justificatives Ă  joindre au dossier sont les suivantes. Un exemplaire de l’acte de la sociĂ©tĂ© le procĂšs-verbal de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire dĂ©cidant du changement de gĂ©rant, certifiĂ© conforme par le nouveau gĂ©rant. Par ailleurs, l’acte devra Ă©galement indiquer le nom de l’ancien formulaire M3 SARL-SELARL dĂ»ment rempli et signĂ© par le reprĂ©sentant cas Ă©chĂ©ant, une copie des statuts mis Ă  pouvoir en original du nouveau gĂ©rant s’il n’a pas signĂ© lui-mĂȘme le formulaire attestation de parution d’un avis dans un journal d’annonces photocopie de la piĂšce d’identitĂ© du nouveau gĂ©rant. Si ce dernier est de nationalitĂ© Ă©trangĂšre et rĂ©side en France, il doit fournir une copie recto verso de son titre de dĂ©claration sur l’honneur de non-condamnation signĂ©e du nouveau gĂ©rant. Cette dĂ©claration fera l’objet d’une vĂ©rification par le juge commis au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s auprĂšs des services du casier judiciaire attestation de filiation du nouveau gĂ©rant nom et prĂ©noms des parents si la filiation ne figure pas dans un document dĂ©jĂ  chĂšque libellĂ© Ă  l’ordre du greffe du tribunal de commerce. Quel est le coĂ»t d’un changement de dirigeant ? Un changement de dirigeant s’accompagne des coĂ»ts obligatoires suivants Frais de publicitĂ© entre 110 et 170 euros TTC en fonction du nombre de de greffe 192,01 € TTC rĂ©partis comme suit Émoluments du greffe 46,82 €INPI 5,9 €BODACC 116 €DĂ©pĂŽt d’actes 13,93 €TVA 9,36 € Par ailleurs, si la sociĂ©tĂ© dĂ©cide de dĂ©lĂ©guer les formalitĂ©s Ă  des professionnels avocat, expert-comptable ou plateforme en ligne, il faudra compter des frais supplĂ©mentaires. Dans le cas des Legaltechs, le tarif commence gĂ©nĂ©ralement Ă  partir de 150 € HT. La dĂ©lĂ©gation de pouvoirs La dĂ©lĂ©gation de pouvoir est un document ayant une valeur juridique qui atteste du transfert de responsabilitĂ©s d'une autoritĂ© le dĂ©lĂ©gant envers un subalterne le dĂ©lĂ©gataire pour les Ă©lĂ©ments et les modalitĂ©s qui y sont indiquĂ©es. Ainsi, elle permet au dĂ©lĂ©gataire d'accomplir les actes juridiques et administratifs convenus au nom de la sociĂ©tĂ©, le plus souvent pour soulager le dĂ©lĂ©gant d'une partie de sa charge de travail. Le dĂ©lĂ©gataire reprĂ©sente et engage donc la sociĂ©tĂ© pour les actes qui lui ont Ă©tĂ© mandatĂ©s et le cas Ă©chĂ©ant engagera sa responsabilitĂ© civile et pĂ©nale. La dĂ©lĂ©gation ne doit pas avoir pour but de permettre au dirigeant d'Ă©chapper Ă  ses responsabilitĂ©s, sous peine de nullitĂ©. Le dĂ©lĂ©gataire doit impĂ©rativement faire partie de l'entreprise, ĂȘtre en situation de subordination, mais aussi possĂ©der l'autoritĂ©, les compĂ©tences et les moyens nĂ©cessaires pour exercer sa dĂ©lĂ©gation. Il existe Ă©galement la dĂ©lĂ©gation de signature qui permet uniquement au dĂ©lĂ©gataire de parapher et de signer des documents au nom du chef d'entreprise, mais pas de reprĂ©senter la sociĂ©tĂ©. Comment rĂ©diger une dĂ©lĂ©gation de pouvoirs ? Les principes de la dĂ©lĂ©gation de pouvoir ne sont pas expressĂ©ment dĂ©finis par le lĂ©gislateur, mais la jurisprudence reconnait que pour ĂȘtre valable, l'objet de la dĂ©lĂ©gation ne doit pas ĂȘtre contraire Ă  une loi, ĂȘtre clair et prĂ©cis et Ă©tabli par une personne lĂ©gitimement habilitĂ©e Ă  le faire. Note les statuts de la sociĂ©tĂ© peuvent interdire au dirigeant de dĂ©lĂ©guer ses pouvoirs. Il est donc important de bien identifier les parties concernĂ©es, d'inclure une durĂ©e de validitĂ©, de dĂ©tailler les pouvoirs dĂ©lĂ©guĂ©s avec une liste exhaustive et non Ă©quivoque, les moyens mis Ă  dispositions, ainsi qu'une clause sur les obligations du dĂ©lĂ©gataire. Ainsi et Ă  titre exclusivement informatif, vous trouverez ci-dessous un modĂšle de dĂ©lĂ©gation de pouvoir pour une entreprise privĂ©e, qu'il vous sera facile d'adapter en la tĂ©lĂ©chargeant format Word. Courriers similaires Mandat de dĂ©lĂ©gation de mission, Exemple d'une procuration postale, ModĂšle type d'un contrat de mandat, Procuration bancaire. PROCURATIONS - Votre entreprise est-elle liĂ©e par un contrat qu’a signĂ© un travailleur ou un dirigeant qui n’y Ă©tait pas habilitĂ© ? Quand l’est-elle et quand ne l’est-elle pas ? L’entreprise peut-elle demander a posteriori une indemnitĂ© ou licencier le travailleur concernĂ© ? Pourquoi vaut-il mieux travailler avec des procurations internes Ă©crites ? Vos clients et fournisseurs sont-ils Ă©galement liĂ©s par celles-ci ? Quelles sont les autres mesures Ă  prendre pour protĂ©ger autant que possible les intĂ©rĂȘts de votre sociĂ©tĂ© ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed bibendum, sapien nec interdum commodo, ex elit feugiat velit, vel tincidunt nibh massa nec turpis. Phasellus rutrum pulvinar tristique. Aenean vel maximus velit. Integer in purus dictum, commodo diam sed, facilisis metus. Duis sed consequat nisi. Phasellus et risus neque. Curabitur mattis, nibh ac finibus bibendum, nulla augue commodo ipsum, vitae tristique urna felis in velit. Cras et eleifend lorem, in convallis leo. Fusce id nibh et leo congue convallis. Vivamus imperdiet ipsum sit amet felis condimentum, a lobortis felis rutrum. Integer ullamcorper, turpis in aliquet tincidunt, est tellus volutpat leo, id pretium massa nibh sed orci. Pellentesque ac viverra lacus. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Ut ut ante eget nulla volutpat tempor. Donec commodo leo mi, congue blandit leo euismod ut. L'attestation sur l'honneur est un document officiel sur lequel une personne s'engage sur les termes qu'elle a Ă©crits dans le but de faire valoir un droit pour elle-mĂȘme ou pour un tiers. Ainsi, elle peut servir par exemple Ă  produire un tĂ©moignage en justice, Ă  certifier de sa non-condamnation pĂ©nale pour exercer certaines fonctions professionnelles, se dĂ©clarer comme tĂ©moin d'un accident pour une compagnie d'assurances, attester de la rĂ©sidence Ă  son domicile d'un proche ou encore de sa non-imposition, etc. Le plus souvent on y a recours lorsqu'on ne peut pas prouver par d'autres moyens matĂ©riels un fait, une situation ou des circonstances. L'attestation n' a pas de valeur juridique Ă  proprement parler et les consĂ©quences d'une fausse dĂ©claration dĂ©pendront du contexte de son utilisation, mais le fait de produire une fausse dĂ©claration peut constituer un faux et un usage de faux sanctionnable jusqu'Ă  trois ans d'emprisonnement et Ă  45 000 euros d'amende Article 441-1 du Code pĂ©nal. Comment rĂ©diger une attestation sur l'honneur ? Afin d'ĂȘtre recevable, l'attestation sur l'honneur doit clairement Ă©tablir l'identitĂ© de son auteur et exprimer les faits de maniĂšre factuelle et objective. Elle peut aussi bien ĂȘtre manuscrite que rĂ©digĂ©e Ă  l'aide d'un ordinateur, mais la prĂ©sence d'une signature manuscrite est indispensable, Ă  minima pour pouvoir identifier formellement l'auteur le cas Ă©chĂ©ant. D'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale on y prĂ©cisera donc les identitĂ©s et les coordonnĂ©es des parties concernĂ©es, le rĂ©sumĂ© des faits ou de circonstances, le lieu et la date de sa rĂ©daction et comme prĂ©cisĂ© ci-dessus la signature de l'auteur. A titre pĂ©dagogique, nous vous suggĂ©rons ce modĂšle type d'attestation sur l'honneur au format Word que vous adapterez en fonction des Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires pour votre dĂ©marche. Attestations similaires Absence de liens familiaux, Lieu de rĂ©sidence commune, Concubinage notoire, HĂ©bergement Ă  titre gratuit, Certificat de non-engagement bancaire crĂ©dit, Attestation de cessation d'activitĂ© retraite, congĂ© paternitĂ©, Du dĂ©part du conjoint du domicile conjugal.

attestation pouvoir de la personne habilitée à engager la société