Lepetit vieux des Batignolles - Suivi de Mariages d'aventure de Emile Gaboriau - Collection labyrinthes - Livraison gratuite Ă 0,01€ dès 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ
Lisez« Le Petit Vieux des Batignolles » de Emile Gaboriau disponible chez Rakuten Kobo. Un crime - le meurtre d'un homme ayant écrit de son propre sang les lettres «Monis», un policier-enquêteur et pour finir
LePetit Vieux des Batignolles Emile Gaboriau (Auteur) Virginie Berthemet (Illustration) Paru en avril 2012 Scolaire / Universitaire (broché) en français. 4.5 11 avis Résumé; Détails produits; Garanties; Accessoires inclus; Date de parution: avril 2012
FeuilleterÉmile Gaboriau Le Petit Vieux des Batignolles Illustrations : Virginie Berthemet À Paris, dans le quartier des Batignolles, on découvre un petit vieux assassiné chez lui. Des lettres tracées dans son sang désignent le
3Lors du bombardement de mai 1944, le Soleil compte à peu près 330 bâtiments. Sur ce total, 305 au minimum (soit 92 %) ont été construits avant 1914. Entre 1826 et 1914, le mouvement de la construction neuve (305 maisons) et des accroissements de construction (105 opérations enregistrées) se décompose en trois phases : deux phases de forte
Uncrime, un policier-enquĂŞteur et pour finir, un coupable. Classique - mieux - historique, puisque ce roman policier date de la fin du Second Empire ;
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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 0719 Émile Gaboriau 1832-1873 fut un des précurseurs de la Littérature policière. “L’affaire Lerouge” et “Monsieur Lecoq” établirent quelques-unes des bases du roman d’énigme. Gaboriau était conscient de l’aspect ludique du mystère “Le rôle du lecteur est de découvrir l’assassin. Le rôle de l’auteur est de dérouter le lecteur. Voilà toute ma science.” Réédité en 2009 dans la collection Piccolo, chez Liana Levi, “Le petit vieux des Batignolles” est un roman court méritant d’être redécouvert. Paris, 19e siècle. Étudiant en médecine, Godeuil a sympathisé avec le voisin qui l’intriguait tant, Monsieur Méchinet. Cet homme semblant mener une vie agitée s’avère être un policier. Ce jour-là , un crime ayant été découvert au 39 rue Lécluse, le duo se précipite sur les lieux. C’est un vieux monsieur aisé, ancien coiffeur, que l’on a poignardé dans son appartement. Traçant le début d’un nom avec son sang, la victime a désigné son assassin. Il s’agit de Monistrol, neveu et héritier du vieux monsieur. D’ailleurs, la concierge l’a vu arriver vers neuf heures et repartir à minuit. Pourtant, Godeuil remarque que la victime a écrit ces signes de la main gauche, ce qui parait improbable. En outre, l’étudiant diagnostique une mort immédiate du poignardé. Pendant ce temps, Monistrol a été arrêté à son domicile. Tout de suite, il a admis son crime. Sa séduisante épouse Clara a eu beau protester de l’innocence de son mari, on a mis le suspect en cellule à la Préfecture. Godeuil offre au policier Méchinet un bon indice, un bouchon oublié qui servit à protéger la lame du poignard. La concierge témoigne que le vieux monsieur, bien que fort aimable, se refusait à avancer la moindre somme d’argent au couple Monistrol. Elle confirme avoir vu passer la silhouette du neveu, ainsi que son fidèle chien, le soir du meurtre. Méchinet et Godeuil se rendent ensuite au Quai des Orfèvres, où le suspect affirme toujours être coupable. Des aveux incertains, car il ignore visiblement tout des faits réels. À moins qu’il ne joue la comédie ? Caroline Méchinet, l’épouse du policier, expose à son mari et à leur jeune voisin son opinion sur l’affaire. Pour elle, si Monistrol est bien le coupable, la belle Clara serait l’instigatrice du crime. Manquant d’expérience mais pas de réflexion, l’étudiant Godeuil reste convaincu de l’innocence du suspect. Il accompagne le policier dans le quartier où les Monistrol tiennent une modeste boutique. Rusant avec les commerçants du voisinage, constate que Monistrol est estimé de tous. L’opinion sur sa femme Clara est plus mitigée, mais sans rumeur négative à son encontre. Mme Monistrol les reçoit quelque peu théâtralement dans sa boutique. Il se confirme que son mari n’a pas d’alibi pour la soirée du meurtre, tandis qu’elle possède plusieurs témoins. Godeuil se demande si le désespoir de la jeune femme est vraiment sincère. Le policier Méchinet doit se montrer subtil pour découvrir la piste déterminante… Écrit vers 1870, ce court roman apparaît aujourd’hui comme l’archétype du récit d’enquête. On peut y détecter beaucoup d’éléments dont se serviront plus tard d’autres romanciers, de Sherlock Holmes le narrateur préfigure Watson à Georges Simenon personnages issus de la population-type, bourgeois ou petites gens. On a même un policier qui s’oppose à la version acceptée par sa hiérarchie, ce qui rappelle bon nombre de romans plus récents, parfois noirs. On devine que Gaboriau veut éviter certains effets trop faciles, courants dans le roman populaire d’alors. Nous avons ici l’ambiance parisienne de l’époque et une intrigue fort habile, avec toutes les hypothèses nous venant à l’esprit. Lire “Le petit vieux des Batignolles”, ce n’est pas seulement compléter sa culture-polar, c’est surtout une vrai plaisir. Publié par Claude LE NOCHER - dans Suspense Story
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Chapitre 9 IX Pour être au magasin de Monistrol, nous n'avions qu'à traverser la rue… Ce fut fait en quatre enjambées. Au bruit de la porte qui s'ouvrait, une petite servante de quinze à seize ans, malpropre et mal peignée, sortit de l'arrière-boutique. – Qu'y a-t-il pour le service de ces messieurs ? demanda-t-elle. – Madame Monistrol ? – Elle est là , messieurs, et je vais la prévenir, parce que, voyez-vous… Monsieur Méchinet ne lui laissa pas le loisir d'achever. D'un geste passablement brutal, je l'avoue, il l'écarta du passage et pénétra dans l'arrière-boutique en disant – C'est bon, puisqu'elle est là , je vais lui parler. Moi, je marchais sur les talons de mon digne voisin, persuadé que nous ne sortirions pas sans connaître le mot de l'énigme. C'était une triste pièce, que cette arrière-boutique, servant tout à la fois de salon, de salle à manger et de chambre à coucher. Le désordre y régnait, et plus encore cette incohérence qu'on remarque chez les pauvres qui s'efforcent de paraître riches. Au fond était un lit à rideaux de damas bleu, dont les oreillers étaient garnis de dentelles, et devant la cheminée se trouvait une table tout encombrée des débris d'un déjeuner plus que modeste. Dans un grand fauteuil, une jeune femme blonde était assise, ou plutôt gisait une jeune femme très blonde, tenant à la main une feuille de papier timbré… C'était madame Monistrol… Et certes, quand ils nous parlaient de sa beauté, tous les voisins étaient restés bien au-dessous de la réalité… je fus ébloui. Seulement une circonstance me déplut elle était en grand deuil, vêtue d'une robe de crêpe légèrement décolletée qui lui seyait merveilleusement… C'était trop de présence d'esprit pour une si grande douleur. Il me sembla voir là l'artifice d'une comédienne revêtant d'avance le costume du rôle qu'elle doit jouer. À notre entrée, elle se dressa, d'un mouvement de biche effarouchée, et d'une voix qui paraissait brisée par les larmes – Que voulez-vous, messieurs ? interrogea-t-elle. Tout ce que j'avais observé, monsieur Méchinet l'avait remarqué comme moi. – Madame, répondit-il durement, je suis envoyé par la justice, je suis un agent du service de la sûreté. À cette déclaration, elle se laissa d'abord retomber sur son fauteuil avec un gémissement qui eût attendri un tigre… Puis, tout à coup, saisie d'une sorte d'enthousiasme, l'œil brillant et la lèvre frémissante – Venez-vous donc pour m'arrêter !… s'écria-t-elle. Alors soyez béni… Tenez, je suis prête, emmenez-moi… Ainsi, j'irai rejoindre cet honnête homme, que vous avez arrêté hier soir… Quel que soit son sort, je veux le partager… Il est innocent, comme je le suis moi-même… n'importe !… S'il doit être victime d'une erreur de la justice humaine, ce me sera une dernière joie de mourir avec lui !… Elle fut interrompue par un grognement sourd, qui partait d'un des angles de l'arrière-boutique. Je regardai, et j'aperçus un chien noir, les poils hérissés et les yeux injectés de sang, qui nous montrait les dents prêt à sauter sur nous… – Taisez-vous, Pluton ! fit madame Monistrol ; allons, allez vous coucher, ces messieurs ne me veulent pas de mal. Lentement, et sans cesser de nous fixer d'un regard furieux, le chien se réfugia sous le lit. – Vous avez raison de dire que nous ne vous voulons pas de mal, madame, reprit monsieur Méchinet, nous ne sommes pas venus pour vous arrêter… Si elle entendit, il n'y parut guère. – Déjà ce matin, poursuivit-elle, j'ai reçu ce papier que je tiens, et qui me commande de me rendre ce tantôt, à trois heures, au Palais de Justice, dans le cabinet du juge d'instruction… Que veut-on de moi, mon Dieu !… que veut-on de moi ?… – Obtenir des éclaircissements qui démontreront, je l'espère, l'innocence de votre mari… Ainsi, madame, ne me considérez pas comme un ennemi… ce que je veux, c'est faire éclater la vérité… Il arbora sa tabatière, y fourra précipitamment les doigts, et d'un ton solennel, que je ne lui connaissais pas – C'est vous dire, madame, reprit-il, de quelle importance seront vos réponses aux questions que je vais avoir l'honneur de vous adresser… Vous convient-il de me répondre franchement ? Elle arrêta longtemps ses grands yeux bleus noyés de larmes sur mon digne voisin, et d'un ton de douloureuse résignation – Questionnez-moi, monsieur, dit-elle. Pour la troisième fois, je le répète, j'étais absolument inexpérimenté. Et cependant, je souffrais de la façon dont monsieur Méchinet avait entamé cet interrogatoire. Il trahissait, me paraissait-il, ses perplexités, et au lieu de poursuivre un but arrêté d'avance, portait ses coups au hasard. Ah ! si on m'eût laissé faire … Ah ! si j'avais osé !… Lui, impénétrable, s'était assis en face de madame Monistrol. – Vous devez savoir, madame, commença-t-il, que c'est avant-hier soir, sur les onze heures, qu'a été assassiné le sieur Pigoreau, dit Anténor, l'oncle de votre mari… – Hélas !… – Où était à cette heure-là monsieur Monistrol ? – Mon Dieu !… c'est une fatalité. Monsieur Méchinet ne sourcilla pas. – Je vous demande, madame, insista-t-il, où votre mari a passé la soirée d'avant-hier. Il fallut à la jeune femme du temps pour répondre, parce que les sanglots semblaient l'étouffer. Enfin, se maîtrisant – Avant-hier, gémit-elle, mon mari a passé la soirée hors de la maison. – Savez-vous où il était ? – Oh ! pour cela oui… Un de nos ouvriers, qui habite Montrouge, avait à nous livrer une parure de perles fausses et ne la livrait pas… Nous risquions de garder la commande pour compte, ce qui eût été un désastre, car nous ne sommes pas riches… C'est pourquoi, en dînant, mon mari me dit Je vais aller jusque chez ce gaillard-là !… » Et, en effet, sur les neuf heures, il est sorti, et même je suis allée le conduire jusqu'à l'omnibus, où il est monté devant moi, rue Richelieu… Je respirai plus librement… Ce pouvait être un alibi, après tout. Monsieur Méchinet eut la même pensée, et plus doucement – S'il en est ainsi, reprit-il, votre ouvrier pourra affirmer qu'il a vu monsieur Monistrol chez lui à onze heures… – Hélas ! non… – Comment !… Pourquoi ?… – Parce qu'il était sorti… Mon mari ne l'a pas vu. – En effet, c'est une fatalité… Mais il se peut que la concierge ait remarqué monsieur Monistrol… – Notre ouvrier demeure dans une maison où il n'y a pas de concierge. Ce pouvait être la vérité… C'était à coup sûr une terrible charge contre le malheureux prévenu. – Et à quelle heure est rentré votre mari ? continua monsieur Méchinet. – Un peu après minuit. – Vous n'avez pas trouvé qu'il était bien longtemps absent ? – Oh ! si… et même je lui en ai fait des reproches… Il m'a répondu pour s'excuser, qu'il avait pris par le plus long, qu'il avait flâné en chemin et qu'il s'était arrêté à un café pour boire un verre de bière… – Quelle physionomie avait-il, en rentrant ? – Il m'a paru contrarié, mais c'était bien naturel… – Quels vêtements avait-il ? – Ceux qu'il portait quand on l'a arrêté. – Vous n'avez rien observé en lui d'extraordinaire ? – Rien.
Voyage au bout de la nuit de Céline Personnages principaux Arthur Ganate Ferdinand Bardamu La mère de Bardamu Princhard Mme Hérote Robinson Léon Lola Musyne Le sergent Branledore Roger Puta Jean Voireuse Le directeur de la compagnie Pordurière Tandernot L’homme du carocaro » Le lieutenant Grappa Alcide M Mischief Molly Bézin Bébert La tente à Bébert Parapine Le fils Henrouille La bru Henrouille La vieille Henrouille L’abbé Prostite Madelon Baryton Aimée Gustave Mandamour Sophie Résumé par chapitres Chapitre 1 Voyager est la seule chose utile, cela fait travailler l’imagination. Chapitre 2 Il dit que s’il n’en avait pas besoin pour vivre, il supprimerait tout. Le voyage » est le pire des livres. Il va être hué. Chapitre 3 Ferdinand et Arthur discutent de la vie, de la politique, de la guerre. Ferdinand s’engage, ça a l’air drôle ? Quand il veut partir, ils sont enfermés comme des rats ». Chapitre 4 C’est la guerre. Il ne sait même pas pourquoi ils se battent. Il dit que la guerre c’est moche. Son colonel est tué par un obus devant lui. Il retourne au campement, personne ne s’inquiète de cette mort. On se bat pour la nourriture. Chapitre 5 Un mois de guerre. L’espoir s’en va petit à petit Les gradés ont des exigences qu’on ne peut plus satisfaire au fur et à mesure de la guerre. Les villages et les forêts sont brulés. Chapitre 6 Bardamu est envoyé en éclaireur vers Noirceur voir si les Allemands y sont. Il rencontre Robin Léon qui est réserviste et qui, pour sauver sa peau, veut être fait prisonnier. Le maire de Noirceur les fait décamper par peur des représailles allemandes. Tous ne cherchent qu’à survivre. Chapitre 7 Rencontre avec Lola, il ne l’aime que pour le sexe, elle aime la guerre et lui ne comprend pas. Il était blessé, il avait peur d’y retourner, il est devenu fou à cause de la peur. Chapitre 8 Bardamu est dans un lycée transformé en hôpital pour les soldats en attente. Il n’y a que trois choix retourner au front, aller à l’asile ou mourir. Lola le quitte car il refuse la guerre, il est lâche. Rencontre avec Princhard qui est retourné au front et a disparu ». Chapitre 9 Il est transféré dans un autre hôpital. Musyne le fuit et finit par l’abandonner pour les riches. Il doit faire croire qu’il est patriote et qu’il retournerait bien au front s’il n’était pas malade. Le docteur Bestombes pense qu’il est sur la voie de la guérison. Il ne lui reste que sa mère. Chapitre 10 Leur héroïsme falsifié est fêté. Il est le héros » de vers récité à la Comédie Française. Branledore lui ravit les honneurs. Le poète aimerait jouer avec Bardamu. Celui-ci s’en va et rentre seul. Chapitre 11 retrouvailles avec un ancien collègue de travail Jean Voireuse. Ils veulent retourner chez leur ancien employeur qui les congédie gentiment. Voireuse a un plan, qui ne marche pas, pour faire de l’argent. Bardamu retrouve Robinson. Chapitre 12 Il s’embarque pour l’Afrique. Il est vu comme l’ennemi public n°1, car il a payé son voyage, par les militaires coloniaux. Il évite la bagarre » en jouant la carte du patriotisme avec le capitaine Frémizon. Il s’enfuit à la première escale. Chapitre 13 La vie à la colonie est dure. Il ne rêve que de repartir mais il lui faut d’abord travailler. Il s’est fait quelques amis. Chapitre 14 La vie à Togo est affreuse. Le lieutenant Grappa n’aime as réfléchir même pour rendre la justice le jeudi. Alcide est un homme qui fait du commerce illégal pour entretenir sa nièce qui vit en France. Bardamu va bientôt partir pour son magasin » Chapitre 15 L’homme qu’il remplace c’est Robinson, il en a peur. Il s’inquiète d’abord des affaires de la compagnie puis fait tout bruler pour partir loin. Faire confiance aux hommes, c’est déjà se faire tuer un peu. » Chapitre 16 Traversée de la foret, arrivée à San Tapeta dans un sale état. Il est vendu à une galère comme rameur. L’air de la mer lui fait du bien malgré une légère folie. Où sont-ils arrivés ? Chapitre 17 Ils sont en Amérique. Il fuit la galère et commence à travailler au port pour enlever les puces des immigrants. Il a une promotion et entre pour la première fois dans New-York. Il ne voit que les pauvres. Chapitre 18 Il est perdu dans New-York, il est entrainé malgré lui dans un grand hôtel où il réserve une chambre pour la nuit. Il n’arrive pas dormir alors il va au cinéma et arrive à s’endormir en rentrant car ses rêves comblent sa solitude. Chapitre 19 Il s’ennuie toujours. Il veut un peu de plaisir avec une serveuse mais on le jette dehors. Il dit que les hommes s’en foutent du sort des autres. Il aimerait retrouver Lola pour avoir de l’argent. Il espère aussi retrouver Robinson. Chapitre 20 Il retrouve Lola qui est riche, il arrive à lui soutirer 100 dollars. Cela le remotive. Il part pour Détroit afin de trouver du travail. Chapitre 21 Il travaille chez Ford où on lui dit qu’il ne doit as réfléchir car on le fait pour lui. Rencontre avec Molly, femme sincère qu’il regrette d’avoir quittée. Il revoit Robinson. Il continue à fuir, il retourne en France. Chapitre 22 Bardamu a fini ses études, il est médecin. Il est installé dans un petit village. Tout le monde profite de sa gentillesse pour ne pas payer. Même là , il ne peut pas penser c’est trop déprimant. Chapitre 23 Les Henrouille lui racontent leur pitoyable histoire. Ils espèrent qu’il fera interner la vieille mais celle-ci se défend et fait fuir Bardamu. Il n’aura pas les 1000 francs. Chapitre 24 Il est appelé pour une fille qui en est à son troisième avortement. Elle saigne énormément mais il ne fait rien, la mère ne veut pas de scandale. Il a honte de demander ses honoraires, il a l’impression de voler les pauvres. Il ne réagit plus à rien même quand il entend que la voisine se fait battre. Chapitre 25 Robinson est de retour. Pourquoi cela l’a-t’il autant bouleversé ? Il fait scandale dans une famille où il est pour un bébé. Pourquoi dit-il ne pas pouvoir quitter Rancy ? Chapitre 26 Bébert est très malade. Bardamu a tout tenté sans succès. Il va voir un spécialiste qui, à part lui raconter sa vie, ne l’aide pas. Chapitre 27 Il ne veut pas rentrer car il n’a pas de solution pour Bébert. Episode de la lecture de Montaigne et de la torture du cochon. Retour chez lui. Il ne sait pas comment va Bébert et se demande que faire. Chapitre 28 Mort de Bébert. Robinson est de retour dans les parages. Bardamu ne soigne personne. La vieille Henrouille se met à sortir. Robinson a préparé un sale coup pour tuer la vieille afin de toucher les sous des enfants. Chapitre 29 C’est la fête, souvenir de l’époque Lola ». Il soigne Séverine. Il est tard. Robinson n’a toujours pas abandonné son plan. Chapitre 30 Bardamu est appelé chez les Henrouille. Le piège s’est retourné contre Robinson. La vieille a survécu et n’a vraiment pas l’intention de mourir ni même de laisser faire sa bru. Chapitre 31 Les gens commencent à jaser. Robinson est dans un sale état. Il va être aveugle ? Evocation de souvenirs. Ils ont peur d’être dénoncés par les voisins. Chapitre 32 Bardamu a été désigné comme médecin d’un dispensaire de tuberculeux. Ça lui fait de l’argent. Tout le monde le dénigre malades comme confrères. Il a la visite d’un abbé. Que lui veut-il ? Chapitre 33 Le prêtre est embarqué dans la même galère que lui à propos de Robinson et des Henrouille. Ils ont une solution. Ils veulent envoyer la vieille et Robinson dans le midi. C’est à Bardamu de convaincre Robinson. Il reçoit 200 francs d’acompte. Chapitre 34 Il quitte Rancy sans rien dire à personne. Il suit la route des légumes ». Il retrouve Parapine. Il est embauché dans une troupe pour le Tarapout » un cinéma. Chapitre 35 Rencontre avec une nouvelle femme. Sa vie est catastrophique. Philosophie de l’amour. Chapitre 36 L’histoire de Robinson le tracasse. Il ne sait pas ce qui lui est arrivé. Il va chez les Henrouille pour avoir de ses nouvelles. Le vieux Henrouille est en train de mourir. Il se fâche avec la bru à propos d’un râtelier en or. Chapitre 37 L’abbé Protiste lui donne sa part et lui donne des nouvelles de Robinson qui va se marier avec Madelon. Il se rend à Toulouse pour le voir. Episode de la constipation. Il fait l’amour avec Madelon, future femme de Robinson. Chapitre 38 La vie à Toulouse est agréable. La vieille Henrouille gagne bien » sa vie. Robinson râle tout le temps. Bardamu doit rentrer, ses économies s’épuisent. Il donne des conseils à Madelon à propos de ses écarts de fidélité ». Chapitre 39 Madelon et Robinson le retiennent pour une dernière semaine. Episode de la péniche dans laquelle ils étaient invités car les hôtes étaient 13 à table. Madelon convainc Robinson de ne plus voir Bardamu. Chapitre 40 Alors qu’il fait ses valises, on l’appelle parce que la vieille Henrouille a eu un accident. A la place de s’y rendre, il va prendre son train. Chapitre 41 Grace à Parapine, il travaille pour Baryton dans un asile. Baryton l’aime bien car il n’est pas contrariant par contre il croit que Parapine va devenir fou. Chapitre 42 Première fois qu’une situation finie bien pour Bardamu Baryton, après de nombreux cours d’anglais, décide de lui laisser la tête de l’asile. En effet, il veut vivre et part donc vers l’Angleterre. Chapitre 43 Robinson est de retour, sans Madelon qu’il cherche à fuir. Baryton ne semble pas près de revenir. Bardamu se sent plus que jamais écouté du monde, il commence à s’éloigner de tout et de tous. Chapitre 44 Il sent le malheur arriver et en effet Madelon est de retour. Il la gifle. Chapitre 45 Il embauche Sophie comme infirmière. Il veut se réconcilier avec Madelon et Robinson, ils sont de nouveau ensemble ? Il suit les conseils de Sophie. Les retrouvailles se feront lors de la fête des Batignolles. Chapitre 46 Dispute avec Madelon. Rien ne la calme. Robinson ne veut pas partir avec elle, elle ne supporte pas ce refus. Elle lui tire deux balles dans le ventre. Il meurt peu après. Chapitre 47 Ils doivent faire un rapport sur la mort de Robinson. Bardamu espère avoir la force de mourir comme son ami.
le petit vieux des batignolles résumé par chapitre