JohnSteinbeck est un Ă©crivain amĂ©ricain nĂ© le 27 fĂ©vrier 1902 Ă  Salinas et mort le 20 dĂ©cembre 1968 Ă  New York. ConsidĂ©rĂ© comme un gĂ©ant des lettres amĂ©ricaines, il est l’auteur de grands classiques de la littĂ©rature, dont Des souris et des hommes, Les Raisins de la colĂšre ou À l’est d’Éden. Prix Nobel de littĂ©rature en 1962, il est l’une des plus Laperle, John Steinbeck, Marcel Duhamel, RenĂ©e Vavasseur, Gallimard. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de rĂ©duction . Laperle John Steinbeck (Prix Nobel de littĂ©rature 1962) Ajouter Ă  une liste; RĂ©sumĂ© . Kino est un pĂȘcheur indien trĂšs pauvre, mais il se contente de la vie qu'il mĂšne auprĂšs de sa femme Juana et de son fils Coyotito jusqu'au jour oĂč il remonte Ă  la surface la plus grosse et la plus parfaite des perles. Cette dĂ©couverte fait de Kino un homme riche, plus riche qu'il n'aurait pu DĂ©cryptezLa Perle de John Steinbeck avec lÂżanalyse du Que faut-il retenir de La Perle, le roman essentiel de la littĂ©rature amĂ©ricaine ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette Âżuvre dans une fiche de lecture complĂšte et dĂ©taillĂ©e. Vous trouverez notamment dans cette fiche :Âż Un rĂ©sumĂ© complet Âż Une Toutce qu’il faut savoir sur La perle de Steinbeck ! Retrouvez l’essentiel de l’Ɠuvre dans une fiche de lecture complĂšte et dĂ©taillĂ©e, avec un rĂ©sumĂ©, une Ă©tude des personnages, des clĂ©s de lecture et des pistes de rĂ©flexion. RĂ©digĂ©e de maniĂšre claire et accessible, la fiche de lecture propose d’abord un rĂ©sumĂ© chapitre par chapitre du roman, puis s’intĂ©resse JohnSteinbeck - La perle. RĂ©sumĂ©. Kino vit avec sa jeune Ă©pouse dans un village de pauvres pĂȘcheurs dans un pays d'AmĂ©rique du Sud. Ils ont un nouveau nĂ© Coyotito, qui se fait piquer par un scorpion : il leur faut trouver de l'argent pour l'emmener chez le mĂ©decin. Kino part Ă  la pĂȘche et trouve la "perle du monde". Il espĂšre la vendre et devenir riche. De nombreux . Lire un extrait Fiche de lecture Les Raisins de la colĂšre - RĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© et analyse littĂ©raire de rĂ©fĂ©rence RĂ©sumĂ© DĂ©tails CompatibilitĂ© Autres formats La collection ConnaĂźtre une Ɠuvre » vous offre la possibilitĂ© de tout savoir des Raisins de la colĂšre, de John Steinbeck, grĂące Ă  une fiche de lecture aussi complĂšte que dĂ©taillĂ©e. La rĂ©daction, claire et accessible, a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  un spĂ©cialiste universitaire. Cette fiche de lecture rĂ©pond Ă  une charte qualitĂ© mise en place par une Ă©quipe d’enseignants. Ce livre numĂ©rique contient un sommaire dynamique, la biographie de John Steinbeck, la prĂ©sentation de l’Ɠuvre, le rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© chapitre par chapitre, les raisons du succĂšs, les thĂšmes principaux et l'Ă©tude du mouvement littĂ©raire de l’auteur. Notre travail Ă©ditorial vous offre un grand confort de lecture, spĂ©cialement dĂ©veloppĂ© pour la lecture numĂ©rique. Lire plusexpand_more Titre Fiche de lecture Les Raisins de la colĂšre - RĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© et analyse littĂ©raire de rĂ©fĂ©rence EAN 9782367884523 Éditeur Les Editions de l'Ebook malin Date de parution 12/05/2020 Format ePub Poids du fichier Inconnue Protection Aucune L'ebook Fiche de lecture Les Raisins de la colĂšre - RĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© et analyse littĂ©raire de rĂ©fĂ©rence est au format ePub check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur liseuse. 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Lire la suite 19,00 € Poche En stock 7,20 € Actuellement indisponible 7,80 € Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 6,99 € Grand format Actuellement indisponible 14,70 € Livre audio Actuellement indisponible 22,00 € Gros caractĂšres ExpĂ©diĂ© sous 8 Ă  17 jours 19,00 € ExpĂ©diĂ© sous 8 Ă  17 jours LivrĂ© chez vous entre le 6 septembre et le 14 septembre "Jouant de sa lame comme d'un levier, il le fit cĂ©der et le coquillage s'ouvrit. Les lĂšvres de chair se crispĂšrent puis se dĂ©tendirent. Kino souleva les replis et la perle Ă©tait lĂ , la grosse perle, parfaite comme une lune. Elle accrochait la lumiĂšre, la purifiait et la renvoyait dans une incandescence argentĂ©e. Elle Ă©tait aussi grosse qu'un oeuf de mouette. C'Ă©tait la plus grosse perle du monde. " Le jour oĂč Kino l'Indien pĂȘche la plus grosse perle du monde, les forces du mal se dĂ©chaĂźnent contre lui
 Date de parution 07/01/2019 Editeur Collection ISBN 978-2-37828-160-1 EAN 9782378281601 Format Grand Format PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 240 pages Poids Kg Dimensions 15,6 cm × 24,0 cm × 2,0 cm ActivitĂ©s Ă©tudiantes pour La Perle Le rĂ©sumĂ© de la perle La nouvelle se dĂ©roule dans un village balnĂ©aire reculĂ© oĂč vit une jeune famille de trois personnes Kino, Juana et leur fils en bas Ăąge, Coyotito. Bien qu'ils soient pauvres, la famille mĂšne une vie relativement heureuse jusqu'au jour oĂč Coyotito est mordu par un scorpion et sa vie est menacĂ©e. Ses parents l'emmĂšnent chez le mĂ©decin ; cependant, ils sont refusĂ©s parce qu'ils n'ont pas de paiement pour son traitement. Pour y remĂ©dier, son pĂšre Kino part en pirogue Ă  la recherche d'une perle qu'il pourra vendre pour payer le mĂ©decin. À la maison, Juana prie pour que son mari trouve une perle plus grosse que n'importe quelle autre et ses priĂšres sont exaucĂ©es. Kino trouve une si grosse perle qu'elle attire l'attention de tous les villageois. Avec cette grosse perle, il commence Ă  rĂȘver et Ă  se vanter de ce qu'il fera de l'argent. Finalement, le mĂ©decin revient et traite Coyotito, et dit qu'il reviendra dans une heure. Pendant ce temps, Coyotito tombe de plus en plus malade, incitant Kino Ă  enterrer la perle dans le coin de la maison. Lorsque le mĂ©decin revient, il est en mesure d'administrer plus de mĂ©dicaments pour aider Coyotito. Lorsqu'il interroge Kino sur la perle, Kino jette un coup d'Ɠil Ă  son lieu de sĂ©pulture secret. Sachant qu'il a peut-ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ© sa position, il rĂ©enfouit la perle sous sa natte de sommeil aprĂšs le dĂ©part du mĂ©decin. Les instincts de Kino Ă©taient corrects, cette nuit-lĂ , un intrus entre vraisemblablement le mĂ©decin Ă  la recherche de la perle dans le coin et Kino combat l'intrus. Des cas et des incidents comme celui-ci deviennent frĂ©quents, et le frĂšre de Kino, Juan Tomas, avertit Kino que tous les marchands sont de mĂšche pour le sous-enchĂ©rir sur la perle. Kino dĂ©cide alors qu'ils doivent se rendre dans la capitale pour vendre la perle. Mal Ă  l'aise Ă  propos de la perle et de l'attention nĂ©gative qu'elle attire sur la famille, Juana essaie de voler la perle et de s'en dĂ©barrasser. Lorsque Kino l'attrape, il la bat violemment et la laisse ensanglantĂ©e sur la plage. Quand il rentre chez lui, il est rencontrĂ© par un groupe d'hommes qui tentent de lui voler la perle. Dans la bagarre, il laisse tomber la perle, que Juana trouve sur le chemin du retour Ă  la maison. Voyant son mari bouleversĂ© par la perte de la perle et allongĂ© Ă  cĂŽtĂ© d'un mort, elle lui rend la perle. Craignant encore plus de danger, Juana prĂ©vient Kino qu'il sera dĂ©sormais qualifiĂ© de meurtrier et que la perle porte malheur. Les deux dĂ©cident inĂ©vitablement qu'ils doivent partir. Juana dĂ©cide de rentrer chez elle pour rassembler leurs affaires tandis que Kino va prĂ©parer le canoĂ«. Cependant, ils sont chacun confrontĂ©s Ă  un dĂ©sastre Kino trouve le canoĂ« dĂ©truit et Juana dĂ©couvre que la maison a Ă©tĂ© incendiĂ©e. S'Ă©chappant de justesse, la famille se cache dans la maison de Juan Tomas jusqu'Ă  ce qu'elle puisse partir en toute sĂ©curitĂ© vers la capitale pour vendre la perle. Au bout de quelques jours, les trois partent pour gravir la montagne pour se rendre Ă  la capitale. Kino se rend compte qu'ils sont suivis et ils sprintent jusqu'Ă  une grotte oĂč se cachent Juana et Coyotito. Kino tente alors de crĂ©er des dĂ©tournements pour les pisteurs sous forme de fausses pistes. Quand il les trouve enfin, il tente de les attaquer. Pourtant, au mĂȘme moment, Coyotito et un coup de feu se font entendre. AprĂšs que Kino ait tuĂ© les pisteurs et se soit prĂ©cipitĂ© dans la grotte, il dĂ©couvre que son fils a Ă©tĂ© abattu. Portant leur enfant mort, ils sortent de la montagne vers leur village, oĂč la communautĂ© regarde en silence. Kino prend alors la perle et la jette aussi fort qu'il peut dans l'ocĂ©an. Questions essentielles pour The Pearl Pourquoi l'argent est-il souvent considĂ©rĂ© comme un mal dans la littĂ©rature ? Qu'est-ce qui façonne le plus la vie d'une personne ? destin ou libre arbitre ? Quelles leçons de la vie rĂ©elle tirons-nous de la littĂ©rature ? L’éternel retour de Sylvain TESSON Folio 2€, 2014, 89 p. PremiĂšre Publication 2009 Pour l’acheter L’éternel retour Sylvain Tesson est un Ă©crivain et voyageur français nĂ© le 26 avril 1972 Ă  Paris. Il est le fils de Marie-Claude et Philippe Tesson et le frĂšre de la comĂ©dienne StĂ©phanie Tesson et de la journaliste d’art DaphnĂ© Tesson. GĂ©ographe de formation, il effectue en 1991 sa premiĂšre expĂ©dition en Islande, suivie en 1993 d’un tour du monde Ă  vĂ©lo avec Alexandre Poussin. C’est lĂ  le dĂ©but de sa vie d’aventurier. Il traverse Ă©galement les steppes d’Asie centrale Ă  cheval avec l’exploratrice Priscilla Telmon, dont il fut le compagnon pendant de nombreuses annĂ©es, sur plus de 3000 km du Kazakhstan Ă  l’Ouzbekistan. En 2004, il reprend l’itinĂ©raire des Ă©vadĂ©s du goulag en suivant le rĂ©cit de Slavomir Rawicz The Long Walk 1955. Ce pĂ©riple l’emmĂšne de la SibĂ©rie jusqu’en Inde Ă  pied
 ♣ ♣ ♣ En SibĂ©rie, dans le Dorset anglais ou au cƓur des montagnes de GĂ©orgie, les lois du destin et les forces de la nature sont plus puissantes que les dĂ©sirs et les espĂ©rances les hĂ©ros de ces nouvelles ne devraient jamais l’oublier. Cinq nouvelles, cinq gifles Ă©tourdissantes et toniques, cinq invitations Ă  mĂ©diter sur l’homme et la nature. Sylvain Tesson, quel grand nom de la littĂ©rature de voyage ! Ne sachant pas par quel roman commencer la dĂ©couverte de cet auteur, j’ai pris un chemin dĂ©tournĂ© en me plongeant dans un court recueil de nouvelles. Format bref difficile Ă  apprĂ©hender, je trouve qu’il est un bon indicateur et permet de se faire une idĂ©e du style et de l’imaginaire des Ă©crivains. Et alors que je n’étais pas trĂšs friande des nouvelles voilĂ  10 ans, c’est aujourd’hui un genre que j’affectionne particuliĂšrement
 et ce n’est pas Sylvain Tesson qui va me faire changer d’avis ! Sylvain TESSON, portrait trouvĂ© sur A/R Magazine 2011. Moins de 100 pages dans lesquelles se succĂšdent 5 courtes histoires qui, contrairement Ă  ce que l’on pourrait penser, ne parlent pas de voyages
 mais font tout de mĂȘme voyager puisqu’elles prennent chacune place dans des contrĂ©es plus ou moins lointaines et plus ou moins exotiques. De la GĂ©orgie rurale aux plages d’une Ăźle dĂ©serte en passant par la vue fracassante d’un phare en Bretagne, Sylvain Tesson nous livre les pĂ©ripĂ©ties d’une poignĂ©e de personnages et, Ă  la maniĂšre d’un conteur, il nous offre des histoires atemporelles et puissantes. La premiĂšre nouvelle – L’Asphalte – m’a tout de suite fait penser Ă  un conte et m’a donnĂ© envie de la comparer aux courtes histoires de Luis Sepulveda et John Steinbeck, respectivement les auteurs du Vieux qui lisait des romans d’amour et de La Perle. Avec Sylvain Tesson point d’AmĂ©rique latine mais la GĂ©orgie et ses chemins de terre peu praticables. L’avenir d’un village va se trouver complĂštement transformĂ© par l’arrivĂ©e d’une route goudronnĂ©e qui le relie efficacement Ă  la grande ville. La chute est brillante. Un petit coup de poing. Un peu moins surprenante dans sa conclusion mais trĂšs forte dans le discours, la nouvelle Les Porcs offre le tĂ©moignage d’un exploitant de porcs qui ouvre les yeux sur l’horreur qu’est devenu son Ă©levage en se modernisant ». La premiĂšre personne du singulier permet une assez grande empathie et donc pas mal d’émotions. Le Lac est sans doute le texte que j’ai prĂ©fĂ©rĂ©. C’est la nouvelle centrale. On y dĂ©couvre, Ă  la troisiĂšme personne du singulier, la vie quotidienne d’un homme – Piotr – qui vit seul au monde au milieu d’une forĂȘt enneigĂ©e. Loin de tout Ă  part des bĂȘtes sauvages depuis des annĂ©es, il dĂ©compte pourtant le nombre de jours qui lui reste avant de retrouver la vie civilisĂ©e. Ce sera dans 20 jours exactement. Pourquoi cette date ? Et qui est cet homme ? Chaque jour un court paragraphe nous rĂ©sume ce qu’il s’est passé  jusqu’au jour -J. J’ai ressenti comme une sorte d’urgence, une accĂ©lĂ©ration. Et surtout l’idĂ©e que le destin nous rattrape toujours. Inexorable. La quatriĂšme nouvelle – baptisĂ©e L’Ile – est elle aussi assez passionnante. Je ne sais pas trop Ă  quelle Ă©poque on peut dater les faits, ni mĂȘme dans quel endroit exact ils prennent place
 mais cela participe au cĂŽtĂ© atemporel du rĂ©cit, typique du conte. Un bateau fait naufrage, Ă  peine une dizaine de matelots survivent. La vie s’organise au fil des jours sur l’üle dĂ©serte, chacun apporte sa spĂ©cialitĂ©. L’ennui pointe malgrĂ© tout le bout de son nez mais un homme trouve la solution chaque soir il raconte une histoire et devient comme une sorte de dieu pour ses camarades jusqu’au jour oĂč
 la chute est assez Ă©tonnante. D’une simplicitĂ© qui frise le ridicule. Mais trĂšs percutante. Le Phare ferme le recueil et c’est peut-ĂȘtre l’histoire qui m’a le moins sĂ©duite, malheureusement. Dans un phare, la veille de NoĂ«l, deux cultures diffĂ©rentes s’apprivoisent Ă  travers deux hommes un Breton et un Russe. MalgrĂ© la chute qui est la seule positive » du recueil qui apporte un peu d’espoir et qui donne d’ailleurs son titre Ă  celui-ci, c’est le texte que j’ai trouvĂ© le moins marquant. Comme vous pouvez le constater, cinq textes qui n’ont pas grand chose en commun si ce n’est le talent de conteur de Sylvain Tesson. Le style est simple mais toujours percutant, les descriptions sont hyper efficaces
 c’est immersif dĂšs la premiĂšre phrase, un rĂ©gal ! 100 pages, 5 nouvelles, 5 contes qui nous rappellent l’inexorabilitĂ© du destin, la cruautĂ© de certaines situations, la bĂȘtise de certains hommes mais aussi le possible rapprochement de cultures que tout oppose. Sylvain Tesson, je suis conquise. À l'est d'Éden Auteur John Steinbeck Pays États-Unis Genre Roman Version originale Langue Anglais amĂ©ricain Titre East of Eden Éditeur Viking Press Date de parution 1952 Version française Traducteur J. C. Bonnardot Éditeur Del Duca Date de parution 1954 Nombre de pages 748 À l'est d'Éden titre original East of Eden est un roman de John Steinbeck, laurĂ©at du prix Nobel de littĂ©rature, publiĂ© en septembre 1952. Souvent dĂ©crit comme le roman le plus ambitieux de Steinbeck, À l'est d'Éden Ă©voque les histoires complexes de deux familles, les Trask et les Hamilton, ainsi que leurs aventures entrelacĂ©es. Le roman Ă©tait Ă  l'origine destinĂ© aux jeunes fils de Steinbeck, Thom et John ĂągĂ©s respectivement de six ans et demi et de quatre ans et demi. Steinbeck a voulu dĂ©crire en dĂ©tail la vallĂ©e de la Salinas ses images, ses sons, ses odeurs et ses couleurs. La famille Hamilton dans le roman serait basĂ©e sur la famille rĂ©elle de Samuel Hamilton, le grand-pĂšre maternel de Steinbeck[1]. Le jeune John Steinbeck apparaĂźt Ă©galement briĂšvement dans le roman sous les traits d'un personnage mineur[2]. Selon sa troisiĂšme et derniĂšre Ă©pouse, Elaine, Steinbeck considĂ©rait À l'est d'Éden comme son Ɠuvre maĂźtresse[3], dĂ©clarant Ă  son propos Le livre contient tout ce que j'ai pu apprendre sur mon mĂ©tier ou ma profession au cours de toutes ces annĂ©es. » Il a en outre affirmĂ© Je pense que tout ce que j'ai Ă©crit a Ă©tĂ©, dans un sens, une pratique pour ce livre. » Le titre vient du verset biblique relatant la fuite de CaĂŻn, aprĂšs le meurtre d'Abel CaĂŻn se retira loin de devant JĂ©hovah, et sĂ©journa dans le pays de NĂŽd, Ă  l'est d'Éden. » — GenĂšse 4;16 RĂ©sumĂ© Le roman est divisĂ© en quatre parties. L'action se situe dans la vallĂ©e de la Salinas Californie. 1re partie Le jeune Samuel Hamilton et sa femme Liza ont quittĂ© l'Irlande du Nord et se sont Ă©tablis comme fermiers en Californie. Ils ont quatre fils Georges, Will, Tom et Joseph, et cinq filles Una, Lizzie, Dessie, Olive mĂšre du narrateur et Mollie. Cyrus Trask, soldat ayant Ă©tĂ© blessĂ© Ă  la jambe, est propriĂ©taire d'une ferme dans le Connecticut. Il a eu un premier enfant, Adam, de sa premiĂšre femme qui s'est suicidĂ©e, puis un deuxiĂšme, Charles, avec une jeune fille de fermiers prĂ©nommĂ©e Alice. Cette premiĂšre partie raconte la vie des deux familles jusqu'Ă  la fin du siĂšcle. 2e partie À l'aube du XXe siĂšcle. Dans cette seconde partie, Adam et Charles vivent diffĂ©rents conflits qui mĂšnent Ă  des chicanes entre les deux frĂšres. Adam quitte et revient dans l'armĂ©e et voyage un peu partout aux États-Unis entre leurs chicanes. De plus, c'est durant ce temps qu'Adam rencontre sa future femme. 3e partie Adam, Ă  la suite d'une grosse mĂ©sentente avec son frĂšre, dĂ©cide de dĂ©mĂ©nager en Californie, plus prĂ©cisĂ©ment dans la VallĂ©e de Salinas, avec sa femme. C'est dans cette troisiĂšme partie qu'il y a plusieurs rencontres avec la famille d'Adam et celle de Samuel Hamilton. La femme d'Adam accouche des jumeaux Aaron et Caleb. Lee, le serviteur chinois, aide la famille Ă  s'occuper des deux nouveaux arrivants dans la famille. La femme d'Adam les quitte pour s'installer ailleurs. 4e partie C'est dans cette derniĂšre partie qu'Adam habite avec Aaron et Caleb, non pas Ă  la campagne, mais dans une maison en ville. Caleb apprend que sa mĂšre n'est pas morte et qu'elle rĂ©side dans la mĂȘme ville. Elia Kazan a utilisĂ© cette partie pour son film. Personnages La famille Trask Cyrus Trask, Mme Trask, Alice, Adam, Charles, Aron, Caleb. La famille Hamilton Samuel Hamilton, Liza, George, Will, Tom, Joe, Lizzie, Una, Dessie, Olive, Mollie. Autres personnages Cathy Ames, Lee, Abra Bacon, M. Edwards, Faye, Ethel, Joe Valery. ThĂšmes Inspiration biblique Le livre explore les thĂšmes de la dĂ©pravation, de la bienfaisance, de l'amour, de la lutte pour l'acceptation, de la grandeur et de la capacitĂ© de s'autodĂ©truire, en particulier de la culpabilitĂ© et de la libertĂ©. Il relie ces thĂšmes Ă  des rĂ©fĂ©rences et Ă  de nombreux parallĂšles avec le Livre de la GenĂšse[4] en particulier le chapitre 4 de la GenĂšse, l'histoire de CaĂŻn et d'Abel[5]. L'inspiration de Steinbeck pour le roman provient du quatriĂšme chapitre de la GenĂšse, les versets un Ă  seize, qui raconte l'histoire de CaĂŻn et d'Abel[6]. Le roman contient de multiples parallĂšles bibliques Livre de la GenĂšse, CaĂŻn et Abel À l'est d'Éden, Charles et Adam À l'est d'Éden, Caleb et Aron CaĂŻn est un travailleur de la terre ; Abel est un gardien de moutons. Gen. 42. Charles est un agriculteur qui travaille avec diligence mĂȘme aprĂšs avoir hĂ©ritĂ© d'une fortune considĂ©rable de son pĂšre, Cyrus. Caleb investit dans les cultures de haricots. Aron Ă©tudie pour devenir prĂȘtre le prĂȘtre est souvent comparĂ© Ă  un pasteur, un gardien des brebis du Seigneur. Dieu rejette le don de rĂ©coltes de CaĂŻn en faveur de l'agneau d'Abel. Gen. 43. Cyrus prĂ©fĂšre le cadeau de son fils Adam un chiot errant qu’il a trouvĂ© au cadeau de son autre fils Charles un couteau cher et durement gagnĂ©. Adam rejette l'argent de son fils Caleb et prĂ©fĂ©rerait qu'il mĂšne une belle vie comme Aron. AprĂšs le rejet de Dieu, CaĂŻn tue Abel. Gen. 48. AprĂšs avoir Ă©tĂ© rejetĂ© par leur pĂšre, Charles attaque Adam et le bat presque Ă  mort. Charles va ensuite chercher une hache, probablement pour tuer Adam, mais ce dernier parvient Ă  s'Ă©chapper. AprĂšs qu'Adam a rejetĂ© l'argent de Caleb, Caleb informe Aron du bordel de leur mĂšre. Aron, dĂ©semparĂ©, s'engage dans l'armĂ©e et est tuĂ© au combat. Dieu a mis une marque sur CaĂŻn pour dissuader les autres de le tuer Gen. 415. Charles reçoit une cicatrice noire sur le front en essayant de dĂ©placer un rocher de ses champs. Caleb est dĂ©crit comme ayant une apparence plus sombre et sinistre qu’Aron. Il convient Ă©galement de noter qu'Adam a dit Ă  Caleb timshel, signifiant tu peux. Cela implique que Caleb peut vaincre sa nature perverse Ă  cause de la marque que Dieu lui a appliquĂ©e. En lui demandant de pardonner Ă  son fils, Lee dit Ă©galement Ă  Adam Votre fils est marquĂ© de culpabilitĂ© ». CaĂŻn est le seul Ă  avoir une progĂ©niture. Adam a deux enfants, mais Kate insinue que les enfants peuvent ĂȘtre de Charles. Aron meurt Ă  la guerre et Caleb est le seul capable d'avoir des enfants. Dans le roman, Adam, Samuel et Lee ont une conversation importante dans laquelle ils se rendent compte qu'Ă©tant donnĂ© qu'Abel est mort avant d’avoir des enfants, ils sont eux-mĂȘmes les descendants de CaĂŻn. Cependant, cela ne correspond pas au texte de la GenĂšse, qui indique que les hommes ne descendent ni de CaĂŻn ni d'Abel, mais du troisiĂšme fils d'Adam et Ève, Seth. Individualisme Steinbeck dĂ©fend l'importance de l'individu dans la sociĂ©tĂ©, notamment au chapitre XIII Notre espĂšce est la seule crĂ©atrice et elle ne dispose que d'une seule facultĂ© crĂ©atrice l'esprit individuel de l'homme. Deux hommes n'ont jamais rien créé. Il n'existe pas de collaboration efficace en musique, en poĂ©sie, en mathĂ©matiques, en philosophie. C'est seulement aprĂšs qu'a eu lieu la crĂ©ation que le groupe peut l'exploiter. Le groupe n'invente jamais rien. Le bien le plus prĂ©cieux de l'homme est le cerveau isolĂ© de l'homme. » — À l’est d’Éden, Le Livre de Poche, 1974, trad. J. C. Bonnardot, p. 155. Cet individualisme trĂšs marquĂ© a mĂȘme un cĂŽtĂ© libertaire lorsque Steinbeck dĂ©clare, peu aprĂšs dans le roman Voici pour quoi je me battrai la libertĂ© pour l'esprit de prendre quelque direction qui lui plaise. Et voici contre quoi je me battrai toute idĂ©e, toute religion ou tout gouvernement qui limite ou dĂ©truit la notion d'individualitĂ©. Tel je suis, telle est ma position. Je comprends pourquoi un systĂšme conçu dans un gabarit et pour le respect du gabarit se doit d'Ă©liminer la libertĂ© de l'esprit, car c'est elle seule qui, par l'analyse, peut dĂ©truire le systĂšme. Oui, je comprends cela et je le hais, et je me battrai pour prĂ©server la seule chose qui nous mette au-dessus des bĂȘtes qui ne crĂ©ent pas. » Apparence et prĂ©jugĂ©s Steinbeck, dans une discussion entre Samuel Hamilton et Lee, le serviteur asiatique d'Adam Trask, montre l'importance des apparences et des prĂ©jugĂ©s dans les relations interindividuelles, ainsi que la faussetĂ© de ces relations du fait de la prĂ©sence de ces prĂ©jugĂ©s. On retiendra notamment ces quelques propos de Lee, lorsqu'il explique Ă  Samuel pourquoi il a pris l'habitude de parler pidgin ici, un anglais hachĂ© mĂȘlĂ© Ă  un fort accent asiatique, alors qu'il est nĂ© aux États-Unis et maĂźtrise aussi bien, voire mieux la langue anglaise que la plupart des AmĂ©ricains C'est plus qu'une commoditĂ©. [
] C'est mĂȘme plus qu'une protection. Nous devons utiliser ce langage si nous voulons ĂȘtre compris. [
] Si je me prĂ©sente Ă  un homme ou Ă  une femme et que je leur parle comme je le fais maintenant, ils ne me comprendront pas. [
] Ils s'attendent Ă  entendre du pidgin et ils n'Ă©couteront que cela. Si je parle anglais, ils ne m'Ă©couteront pas, donc ils ne me comprendront pas. » — À l’est d’Éden, Le Livre de Poche, 1974, trad. J. C. Bonnardot, p. 192. Cette analyse de Steinbeck rĂ©vĂšle ici encore l'Ă©crasement de l'individu par la sociĂ©tĂ©. En effet, selon lui, les gens ne voient pas chaque individu dans sa personnalitĂ©, son essence mĂȘme, mais uniquement au travers de prĂ©jugĂ©s liĂ©s Ă  l'apparence ethnique ou Ă  sa fonction. Steinbeck proteste ici pour la justice sociale, l'Ă©galitĂ© civile et le respect de l'individu. On notera d'ailleurs que plusieurs des personnages de son roman sont trĂšs diffĂ©rents en apparence et en rĂ©alitĂ© Lee, Samuel Hamilton, Cathy Trask, entre autres. Dans la mĂȘme conversation que prĂ©cĂ©demment, Samuel et Lee Ă©voquent les diffĂ©rences de possibilitĂ© d'intĂ©gration sociale existant entre les AmĂ©ricains selon leur ethnie. Samuel est Irlandais ; Lee est d'origine chinoise, mais est nĂ© en AmĂ©rique. Samuel est cultivĂ©, mais il n'a pas fait d'Ă©tudes prestigieuses ; Lee est intelligent, cultivĂ© lui aussi et a suivi des Ă©tudes Ă  l'universitĂ© de Californie. Pourtant, Lee a l'impression qu'il n'a aucune chance de jamais passer pour un AmĂ©ricain »[7]. Samuel lui rĂ©torque qu'il le pourrait peut-ĂȘtre en coupant la natte qu'il porte, en s'habillant et parlant comme les AmĂ©ricains. Mais Lee lui rĂ©pond Non. J'ai essayĂ©. Pour les prĂ©tendus Blancs, j'Ă©tais toujours un Chinois, mais un Chinois qui essayait de le cacher. Et en mĂȘme temps, mes amis s'Ă©loignaient de moi.[7] » Petite histoire du roman Lorsqu’il Ă©crivait le roman, Steinbeck a considĂ©rĂ© alternativement plusieurs titres pour le livre, notamment La VallĂ©e de Salinas The Salinas Valley, titre provisoire du dĂ©but ; Ma vallĂ©e My Valley et Dans la vallĂ©e Down the valley, aprĂšs qu'un homme d'affaires texan ait suggĂ©rĂ© de rendre le titre plus universel ; ensuite, aprĂšs avoir dĂ©cidĂ© d’incorporer l’allusion biblique directement dans le titre Le Signe de CaĂŻn Cain Sign. Ce n’est que lors de la transcription des 16 versets de CaĂŻn et Abel dans le texte lui-mĂȘme qu’il a choisi, avec enthousiasme, pour titre les derniers mots du dernier vers À l'est d'Éden East of Eden. Ce dernier vers est CaĂŻn se retira de devant l'Éternel, et sĂ©journa dans le pays de NĂŽd, Ă  l'est d'Éden. » — GenĂšse 4;16 Steinbeck a Ă©crit Ă  un ami aprĂšs avoir terminĂ© son manuscrit[8] J’ai terminĂ© mon livre il y a une semaine. [
] C’est le travail le plus long et le plus difficile que j’ai jamais accompli. [
] J’y ai mis tout ce que je voulais Ă©crire toute ma vie. C’est le livre ». Si ce n’est pas bon, je me suis toujours trompĂ©. Je ne veux pas dire que je vais arrĂȘter, mais c’est un jalon important et je me sens libĂ©rĂ©. Cela fait, je peux faire ce que je veux. J’ai toujours eu ce livre en attente d’ĂȘtre Ă©crit. » RĂ©ception À sa sortie en septembre 1952, le grand public fut profondĂ©ment impressionnĂ© par À l'est d'Éden et le propulsa rapidement au premier rang des best-sellers de fiction. Dans une lettre Ă  un ami, Steinbeck a Ă©crit[8] Je reçois des volĂ©es de lettres
 Les gens Ă©crivent comme si c'Ă©tait leur livre. » Cependant, les critiques littĂ©raires n'Ă©taient pas aussi aimables. Le roman n’a pas Ă©tĂ© bien accueilli par les critiques, qui l’ont trouvĂ© trop appuyĂ© et peu convaincant, en particulier dans son utilisation d’allusions bibliques[9]. De nombreux critiques ont trouvĂ© le roman repoussant, mais captivant en raison de sa reprĂ©sentation de la violence et du sadisme sexuel. En particulier, les critiques ont trouvĂ© le personnage de Cathy et sa brutalitĂ© peu crĂ©dible et choquant[10]. D'autres ont trouvĂ© la philosophie de Steinbeck trop forte dans le roman et ont affirmĂ© qu'il Ă©tait un moraliste[9]. Selon les critiques, la reprĂ©sentation du bien et du mal par Steinbeck Ă©tait Ă  la fois hyperbolique et simplifiĂ©e Ă  l'excĂšs, en particulier dans le personnage de Cathy[10]. En plus de critiquer les thĂšmes principaux du roman, d'autres ont attaquĂ© sa construction et son rĂ©cit. Par exemple, les critiques Ă©taient perplexes devant le manque d'unitĂ© dans le roman alors que Steinbeck tentait d'intĂ©grer les rĂ©cits de deux familles[11]. Beaucoup ont trouvĂ© la narration Ă  la premiĂšre personne distrayante, car elle apparaĂźt de maniĂšre incohĂ©rente dans le roman. Les critiques ont Ă©galement dĂ©noncĂ© le symbolisme comme une Ă©vidence, le rĂ©cit dĂ©sorganisĂ© et les personnages irrĂ©alistes[9]. Ces aspects sont ce que les lecteurs ont aimĂ© et ce qui est maintenant largement acclamĂ© par les critiques littĂ©raires. À l'est d'Éden est devenu un best-seller instantanĂ© en novembre 1952, un mois aprĂšs sa sortie, et est maintenant considĂ©rĂ© comme l'une des plus belles rĂ©alisations de Steinbeck. Environ 50 000 exemplaires du roman sont vendus chaque annĂ©e. La popularitĂ© du roman a de nouveau explosĂ© en 2003 aprĂšs sa sĂ©lection au club de lecture d'Oprah. Le livre s'est alors hissĂ© en deuxiĂšme place sur la liste des best-sellers, ce qui prouve qu'il reste extrĂȘmement populaire auprĂšs du grand public[12]. Adaptations À l’est d’Éden East of Eden, film amĂ©ricain rĂ©alisĂ© par Elia Kazan en 1955. À l’est d’Éden East of Eden, feuilleton tĂ©lĂ©visĂ© amĂ©ricain rĂ©alisĂ© par Harvey Hart en 1981. RĂ©fĂ©rences ↑ en Carl Nolte, In Steinbeck Country As America celebrates the centennial of his birth, we go in search of the author's world, from Salinas to Cannery Row », San Francisco Chronicle, sur SFGate, San Francisco, 24 fĂ©vrier 2002 consultĂ© le 18 juin 2018. ↑ en John Steinbeck, East of Eden, Londres, Penguin Books, 1952, 602 p. ISBN 978-0-14-018639-0, p. 1496. ↑ en John Ditsky, Essays on East of Eden, Muncie, Steinbeck Society of America, universitĂ© d’État de Ball, 1977 lire en ligne, p. 3. ↑ en Eva KrĂĄlovĂĄ, Inseparability of good and evil as a challenge in Steinbeck’s East of Eden’, Trenčín, universitĂ© de Trenčín, janvier 2013. ↑ en David Stewart McCright, East of Eden Steinbeck's proclamation of human greatness » [PDF], Ames, universitĂ© d’État de l’Iowa, 1990. ↑ en John Steinbeck, Journal of a Novel The East of Eden Letters by John Steinbeck, New York City, Viking Press, 1969, 182 p. ISBN 978-0-14-014418-5. ↑ a et b À l’est d’Éden, Le Livre de Poche, 1974, trad. J. C. Bonnardot, p. 193. ↑ a et b en Jackson J. Benson, John Steinbeck, a Writer a Biography, Londres, Penguin Books, 1990, 1116 p. ISBN 978-0-14-014417-8, p. 697 I finished my book a week ago. [
] Much the longest and surely the most difficult work I have ever done. [
] I have put all the things I have wanted to write all my life. This is “the book.” If it is not good I have fooled myself all the time. I don’t mean I will stop but this is a definite milestone and I feel released. Having done this I can do anything I want. Always I had this book waiting to be written. » ↑ a b et c en Hannah Noel, Defending Steinbeck Morality, Philosophy, and Sentimentality in East of Eden » [PDF], Asheville, universitĂ© de Caroline du Nord, 2015 consultĂ© le 13 dĂ©cembre 2020. ↑ a et b en Claire Warnick, Cathy Trask, Monstrosity, and Gender-Based Fears in John Steinbeck’s East of Eden » [PDF], Provo, universitĂ© Brigham Young, 1er juin 2014 consultĂ© le 13 dĂ©cembre 2020. ↑ en Lowell D. Wyse, Convenient Disguise Engaging Lee in John Steinbeck’s East of Eden, Bluffton, universitĂ© de Bluffton, 2006 lire en ligne [PDF]. ↑ en East of Eden – Critical Reception », sur Steinbeck in the Schools, San JosĂ©, universitĂ© d’État de San JosĂ© consultĂ© le 13 dĂ©cembre 2020. Voir aussi Liens externes Notices d'autoritĂ© Fichier d’autoritĂ© international virtuel BibliothĂšque nationale de France donnĂ©es SystĂšme universitaire de documentation Gemeinsame Normdatei BibliothĂšque nationale de Pologne BibliothĂšque nationale d’IsraĂ«l Portail de la littĂ©rature amĂ©ricaine

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