NIVEAUCONFIRME. Votre enfant pratique le tennis depuis 2 ou 3 ans et joue plus d'une fois par semaine. Il/Elle cherche à progresser et aura donc besoin d'une raquette pour s'améliorer. Il/Elle lui faudra du confort et de la maniabilité. Pour
Pourlimiter les mouvements de vos chaussures dans la machine et protéger la mécanique de votre lave-linge, ajoutez dans le tambour du linge qui ne craint rien comme des serviettes éponge bien épaisses. En effet, l'action mécanique de la machine va faire rebondir les baskets sur le tambour, et comme elles sont plus rigides que le linge, elles peuvent causer des dommages
Cependant une raquette électrique peut tuer une guêpe ou un frelon égarés chez vous sans problème. Les gestes lents de la chasse à la raquette électriques en font d’ailleurs un outil bien plus adapté que la tapette à mouche pour chasser des guêpes sans risque de se faire piquer. En revanche, une raquette électrique seule n’est
. 23 févr. 2021 Lorsque que l’on choisit une raquette de padel, il y a différents éléments à prendre en compte. Ces principaux éléments sont le poids, la forme et la composition de la raquette. Si vous rechc Aujourd’hui, nous allons voir en détail la composition de la raquette et plus particulièrement les différents types de mousses que nous pouvons retrouver sur les raquettes de padel. On distingue 2 types de mousse principalement utilisée dans la composition d’une raquette de padel la mousse EVA et la mousse FOAM. Raquette composée d’une mousse FOAM Il faut savoir que la mousse FOAM est une gomme souple. Elle permettra à la raquette d’avoir plus de sensations, plus de confort de jeu et plus de puissance lors de la majorité des coups. En revanche, avec cette mousse, la raquette de padel possède moins de contrôle qu’avec une mousse EVA. Ce type de mousse est conseillé pour les personnes ayant des problèmes de tendinite. En effet, un des gros avantages de cette mousse est qu'elle a une capacité d'absorption des chocs et des vibrations beaucoup plus importante que sa voisine EVA. Voici quelques exemples de raquettes en FOAM agréables et faciles à jouer que vous pourrez adopter facilement Head Evo Sanyo, Babolat Reflex, Wilson Balde Elite et la Head Alpha Elite. Comme avec le cordage d’une raquette de tennis, plus la mousse est souple, plus la raquette profite d’un effet élastique pour faire ressortir la balle plus vite qu’elle est arrivée lors de l’impact dans la raquette. C’est donc pour cela que les mousses FOAM ont des caractéristiques qui donnent à la raquette de padel une meilleure sortie de balle et donc une plus grande puissance. Raquette composée d’une mousse EVA Les mousses EVA sont des mousses plus rigides que les mousses FOAM. Elles apportent plus de contrôle lors de la frappe de balle mais moins de sensation et de confort de jeu. Ces raquettes de padel sont plus dures » à l’impact, et plus la gomme EVA est rigide, plus on a la sensation de jouer avec une planche en bois. Ces raquettes en mousse EVA sont moins puissantes que leurs voisines en FOAM. En effet, lors d’une frappe de balle normale, la raquette n’aura pas cet effet trampoline qui lui permet de donner de la vitesse dans la balle. Certaines raquettes de padel sont composées de plusieurs couches EVA afin d’atténuer l’effet rigide de la raquette La couche interne du noyau en général plutôt souple et de faible densité, elle permet d’être principalement utilisée lors des frappes de balle peu puissantes. Elle a donc pour but de rendre la raquette agréable à jouer sur ces coups de faible intensité en lui procurant plus de toucher et plus de confort de jeu. La couche externe du noyau en général plus compacte et rigide, est utilisée lors des frappes de balle plus intenses et permet d’avoir une meilleure sortie de balle. C’est cette couche qui est très utile lorsque l’on frappe très fort à plat. Les raquettes avec de la mousse EVA sont généralement représentées par les raquettes haut de gamme de chaque marque. On y retrouve notamment la Wilson Bela Pro, la Babolat Air Viper ou encore de la Technifibre Wall Master 375. La Bullpadel Vertex 03 et Vertex 03 CTR sont elles deux exemples de raquette possédant plusieurs couches de mousse EVA. Avec quelle mousse est-on le plus puissant ?? Ayant lu cet article, vous allez me dire naturellement qu’il faut une raquette avec une mousse FOAM pour gagner en puissance. Mais c’est un peu plus complexe que cela… Car attention ! L’élasticité qui permet à la mousse FOAM d’être puissante à ses limites. En effet, vous vous demandez pourquoi vous avez plus de mal à sortir la balle du terrain avec une raquette souple qu’avec une raquette rigide ? C’est en général une mauvaise utilisation de la raquette en mousse FOAM qui est liée à ce ressenti. Eh oui ! Avec une mousse FOAM, il est contre-productif de frapper de toutes ses forces dans la balle en smash. Vous allez, en faisant ça, casser » l’élasticité de la mousse FOAM et faire sortir la balle beaucoup moins rapidement que prévu. Romain de Padelonomics l'explique d'ailleurs très bien en vidéo. Avec ce type de raquette, il est conseillé d’avoir un meilleur geste qui permettra de mettre plus d’effet que de puissance dans la balle afin de réaliser ce fameux "smash par 3" En conclusion, si vous êtes à la recherche de puissance dans tous vos coups mais que les smashs ne sont pas votre priorité, on vous conseille de partir sur une raquette dotée d’une mousse FOAM. En revanche, si êtes un gros smasheur » et que vous ressentez le besoin de frapper très fort dans la balle afin de la faire sortir du terrain ou de la faire revenir dans votre camp, on vous conseille de partir sur une mousse EVA / MULTIEVA. Joffrey GILANT, le "boucher" d'Esprit Padel
Cet hiver, c’est décidé, vous profiterez de la neige raquettes aux pieds. Après avoir choisi votre modèle de raquettes, il est important de penser au matériel complémentaire et indispensable pour profiter pleinement de cette activité. Alors, quelle chaussure pour pratiquer la raquette à neige ? Comme dans tout sport pratiqué dans le froid, la pratique de la raquette nécessite un équipement spécifique. En plus d’une paire de raquettes, le pratiquant doit s’équiper d’une paire de bâtons, de vêtements chauds et respirants, d’une paire de gants, d’un bonnet, d’une paire de lunettes, d’un sac à dos avec change et victuailles, et d’une paire de chaussures adaptées. Contrairement au ski, alpin ou nordique, où il est impératif de s’équiper d’une paire de chaussures spéciale, la raquette à neige est compatible avec de nombreuses chaussures de marche. Il faut bien sur garder à l’esprit que l’on évolue dans la neige donc on ne portera pas de petites ballerines ! Une chaussure imperméable et montante. La chaussure de randonnée ou la botte fourrée / canadienne s’avère être la plus adaptée pour protéger efficacement le pied de la neige. Il existe des chaussures spéciales raquette proposées par certains fabricants mais ce n’est pas une obligation. Quoiqu’il en soit il est important que la tige soit montante pour un bon maintien de la cheville et pour empêcher l’entrée de la neige à l’intérieur de la chaussure. Une membrane imperméable type Gore-Tex est primordiale pour pouvoir marcher de longues heures dans la neige en gardant les pieds au sec. Isolante mais aussi respirante. La raquette se pratique l’hiver dans des conditions froides. Il est donc important d’opter pour des chaussures chaudes pour ne pas se retrouver avec des gelures en fin de journée ! Différents matériaux isolants, plus ou moins chauds, sont à choisir selon ses préférences. Tenir les pieds au chaud c’est bien mais les laisser respirer c’est mieux. La chaussure doit donc être chaude ET respirante au vue de l’effort fourni si on ne veut pas se retrouver avec les pieds tremper de sueur en fin de ballade. Légère. Après plusieurs kilomètres de marche, vous serez bien contents d’avoir des chaussures pas trop lourdes aux pieds pour profiter du paysage au lieu de pensez à vos jambes qui commencent à tirer. Il ne faut pas oublier qu’à chaque pas il y a aussi le poids des raquettes qui s’ajoute. Accrocheuse. Avoir des chaussures dotées d’une bonne accroche peut s’avérer bien utile lors des passages de marche sans raquettes. Cela peut en effet arriver en cas de manque de neige sur certaines zones, notamment en forêt ou aux endroits les plus exposés au soleil. Renforcée. Comme c’est le cas pour la majorité des chaussures de randonnée, une bonne chaussure pour la pratique de la raquette possède des renforts au niveau du talon et de la pointe du pied pour une plus grande durabilité. D’autant plus que les raquettes se fixent à la chaussure avec des sangles qui englobent ces zones. Comme en ski, une fois la chaussure idéale trouvée, le choix de la chaussette a toute son importance pour ne pas entraver les qualités de sa chaussure. Elle devra donc être chaude et respirante pour évacuer la transpiration et garder les pieds chauds et secs. Enfin, si la sortie raquette s’annonce poudreuse en neige fraîche, il est conseillé de s’équiper de guêtres pour s’assurer que la neige ne s’infiltre pas dans les chaussures. Découvrez toutes nos chaussures pour pratiquer la raquette à neige sur Val et Mont
Les raquettes en montagne permettent une évolution plus souple et plus agréable sur la neige. Il faut cependant se préparer un minimum comme avant toute randonnée afin de rendre l’expérience plus agréable. Notamment au niveau du choix des vêtements qui sont essentiels pour ce type d’activité. Les raquettes en montagne gagnent en popularité. En effet, de nos jours, la raquette est une activité assimilée au ski. De plus en plus de particuliers cherchent à partir à la découverte de la montagne en raquette lors d’une randonnée à la recherche de paysages grandioses et d’une expérience unique. Il faut cependant une tenue adaptée afin d’éviter tout problème durant l’expédition. Quelle est la tenue idéale pour une sortie randonnée en raquette ? Bien que tous ne s’accordent pas sur la tenue idéale, nous avons sélectionné la meilleure tenue selon nous, et nous allons vous expliquer pourquoi. La tenue idéale pour faire de la raquette Tout d’abord, pour le haut, un haut à manche longue similaire à un collant thermique sera idéal. Cette matière permet de réguler la température et de maintenir votre corps à la fois au chaud et au sec. Ajoutez ensuite une veste polaire pour femme ou homme ainsi qu’un imperméable qui permettra d’empêcher l’humidité de rentrer et de vous garder au sec. Pour réguler votre température, vous pourrez enlever certaines couches puis les remettre en fonction de votre ressentit afin de toujours évoluer dans des conditions agréables. Préserver ses jambes de l’humidité Pour protéger efficacement vos jambes, portez un collant utilisé pour le ski de fond. Par-dessus, vous pourrez porter un jogging toujours en matière synthétique afin de rester léger même humide. Cet ensemble vous permettra d’évoluer au sec tout en préservant votre mobilité. Un pantalon de ski permettra enfin de vous protéger du vent et le pluie de manière efficace. Pour garder les pieds au sec, choisissez les bonnes chaussures Les chaussures de randonnée avec des propriétés imperméables sont indispensables pour garder vos pieds au sec efficacement. En effet, le fait de marcher dans la neige peut tremper vos pieds en un rien de temps. Des chaussettes épaisses en coton peuvent également vous être utiles afin de réguler l’humidité dans votre chaussure. Pour découvrir la randonnée en raquette dans de bonnes conditions, rien de tel qu’un bon équipement et un habillage en couche astucieux qui vous permet de réguler votre température corporelle à votre guise.
Les premières photos de neige commencent à apparaître sur les réseaux sociaux. Comme chaque année, le retour de l’hiver se vit pour les passionnés d’activités nature comme une fête. Si, pour la plupart, cet univers de givre et de froid n’est plus un inconnu, pour d’autres il reste encore entouré d’un voile épais de mystère. En randonnée, l’usage des raquettes à neige en zone montagne devient ainsi indispensable pour progresser. Mais comment s’utilisent ces drôles d’engins ? Comment les choisir ? La pratique est-elle sans risque ? Pour toutes celles et ceux qui s’interrogent avant de franchir le pas, mais aussi en guise de révision pour les autres, voici 10 fausses idées à oublier quant on veut s’initier à la randonnée à raquettes. 1. Les raquettes à neige, c’est plus difficile que la randonnée pédestre Faux ! Ce n’est que le prolongement de la randonnée estivale. Si vous savez marcher l’été, vous le saurez tout autant l’hiver ! Les raquettes ont une forme en taille de guêpe qui a été pensée pour s’adapter au mouvement naturel du marcheur, autrement dit sans que l’une ou l’autre se chevauche quand on progresse. Le fait – comme en ski de fond ou ski de randonnée – que le talon soit libre permet un déroulé spontané du pied. On marche avec des raquettes comme on marcherait normalement sur un sentier. Inutile de lever le genou plus haut ou d’écarter les pieds. La taille des raquettes s’adapte en fonction de la taille et de la corpulence du marcheur. Il suffit de bien la choisir. 2. Il faut un guide pour faire des raquettes Pas nécessairement. La plupart des stations de ski – en particulier les stations dites familiales – disposent désormais de leurs itinéraires à raquettes balisés et sécurisés. Un topo-guide est proposé généralement en complément au randonneur pour l’accompagner sur le terrain. La difficulté de ces sentiers est modérée pour permettre la découverte de l’activité. Autrement dit, sur ce type de terrain – où le sentier est régulièrement tracé par le passage des autres randonneurs – il y a peu de chance de se perdre et vous pouvez marcher sans guide. La présence du guide devient recommandée pour une approche plus sportive, hors des traces balisées, ainsi que pour disposer d’un regard et d’une lecture affutés sur l’environnement et le paysage. La Nature se révèle alors d’une toute autre façon, croyez-le ! 3. Je n’ai pas besoin de raquettes pour faire de la randonnée dans la neige La bonne blague ! A cette affirmation j’ai juste envie de dire essayez et on en reparle ! Le randonneur qui a passé sa demie-journée à s’enfoncer jusqu’aux genoux dans la neige vous dira probablement plus jamais ça » ! C’est évidemment insupportable et, surtout, extrêmement fatigant. La forme de la raquette et son tamis lui confèrent une portée adaptée qui limite l’enfoncement dans la neige. Dans un autre ordre d’idée, même avec des raquettes aux pieds, progresser au fil d’une trace qui a été saccagée » par le passage de randonneurs sans raquettes, est particulièrement pénible ! Tout accompagnateur vous confirmera l’absurdité de marcher sans raquette dans la neige et son agacement à voir les traces trouées et abimées par les pas des marcheurs non équipés. Aussi, si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour les autres ! 4. Les raquettes c’est moins fun que le ski Faux ! Archi faux ! Une réflexion infondée, dans le même esprit que la randonnée, c’est un truc de vieux » ! Si la raquette est majoritairement utilisée en progression lente, il est tout à fait possible de la rendre sportive et aventureuse. Vous pensez qu’il n’y a que la glisse pour avoir des sensations ? C’est que vous n’avez jamais dévalé une pente raide à travers la forêt ! Ou que vous n’avez jamais sauté d’une corniche de deux mètres dans la poudreuse ! Et si les sensations fortes ce n’est pas votre truc, sachez que la nature immersive de la raquette vous ouvrira les yeux sur un univers de silence et de nature qui est purement et simplement impossible à pénétrer pour un skieur. L’écart entre chaque rythme de progression permet au randonneur à raquettes de vivre une expérience de pleine nature où le fun » n’est pas uniquement lié à la glisse. Le fun » c’est le dépaysement, la plongée dans un univers unique qui ne se révèle qu’à ceux qui font l’effort de le pénétrer. L’essayer, c’est l’adopter. Changez de point de vue la raquette, c’est fun aussi ! 5. Il vaut mieux louer son équipement que l’acheter A titre d’essai ou d’initiation, l’idée se tient et j’aurais même tendance à l’encourager. En revanche, dès qu’il s’agit de pratique régulière, je ne pense pas que vous y soyez gagnant ! Et c’est l’ancien loueur de matériel qui vous parle ! Pour plusieurs raisons. Sur un plan strictement économique, la location d’une paire de raquettes à la journée va vous coûter de 4 à 8 euros en moyenne, selon les stations. Par ailleurs, la qualité du matériel est très variable d’un magasin à l’autre. Les raquettes, comme le ski de fond, sont généralement le parent pauvre des magasins. Elles ne bénéficient pas d’un entretien très régulier. Qu’une pièce vienne parfois à lâcher ou à se dérégler en cours de randonnée est monnaie courante. J’ai en mémoire quelques retours clients fameux ! Finalement, si après le stade d’initiation, vous avez envie de pratiquer plus régulièrement, n’hésitez pas achetez votre matériel ! Vous n’en serez que plus libre. 6. Mieux vaut acheter de l’équipement premier prix pour une pratique occasionnelle Mauvaise idée ! L’impression de faire des économies n’existera qu’au moment de passer à la caisse. Dans la réalité du terrain, le confort et la résistance procurées par du matériel un peu plus onéreux est incomparable. Je ne parle pas ici d’investir dans l’ultra-léger et ultra-technique mais juste de couper la poire en deux en comprenant bien que du matériel annoncé comme premier prix » n’est définitivement pas un investissement à long terme. Rien de pire qu’un bâton qui lâche en pleine randonnée ou une raquette qui se casse quand il reste deux heures de marche avant le terminus. L’économie réalisée au moment de l’achat est souvent proportionnelle à la galère à venir. Des bâtons et des raquettes de qualité, un peu plus chers que les modèles économiques, vous garantiront croyez-moi beaucoup de sérénité et de confort d’utilisation une fois sur le terrain ! 7. Les raquettes tubulaires sont meilleures que les raquettes composite Faux. On parle ici de deux familles de raquettes issues de cultures sportives radicalement différentes et destinées chacune à des approches qui n’ont rien en commun. Pour faire simple, les raquettes tubulaires en aluminium sont très prisées aux Etats-Unis et au Canada où l’hiver et la superficie du terrain sont démesurés comparativement à l’Europe. Les héritiers de ces régions marquées par l’histoire des trappeurs plébiscitent encore largement ces modèles, très adaptés à de longues marches de plusieurs jours en neige profonde à travers la forêt. En Europe, et plus particulièrement en France, le marché de la raquette, dominé par TSL, s’adresse à des utilisateurs à la journée, parfois à la semaine, sur des enneigements différents, en neige plus rarement poudreuse, où le composite est plus adapté et propose une portée suffisante pour un poids convenable. 8. On peut faire des raquettes sans bâtons Oui, mais non ! Alors je sais, je ne suis pas le meilleur des exemples pour ce point car vous me voyez toujours à l’écran sans bâton, y compris l’hiver. Mais j’ai une bonne excuse je trimballe le trépied de la caméra avec moi et ne peux donc pas m’encombrer de bâtons supplémentaires. Mais croyez-moi bien qu’ils me manquent cruellement dès que la neige est là ! Plus qu’en randonnée estivale, l’équilibre procuré par les bâtons en hiver est incroyable. D’autant plus si vous débutez dans la raquette. Interrogé à ce sujet, Jérôme, gérant de La Boutique du Bâton et spécialisé dans cet accessoire, confirme Le bâton, c’est l’outil indispensable l’équilibre du marcheur sur la neige ! La nature accidentée de certains sentiers s’appréhendent mieux avec des bâtons. Et je ne parle pas de la descente. Comme je le répète souvent, les bâtons ce ne sont ni plus ni moins que deux jambes supplémentaires qui viennent vous soulager et vous aider à trouver un point d’équilibre. Ne les négligez pas ! » 9. Le bâton télescopique, de toute façon, ça casse tout le temps ! Allez, avouez-le ! Comme moi, vous avez tous en tête le souvenir de ce foutu bâton tordu ou dont le brin tourne désespérément dans le vide ! J’ai même en tête les images d’un ami fracassant de rage son bâton acheté il y a moins d’un mois et qui ne se réglait déjà plus. On en revient un peu à notre point numéro 6. Le bâton télescopique reste le modèle le plus acheté par les randonneurs. Le tout étant de ne pas acheter n’importe quoi. Des professionnels du bâton proposent aujourd’hui des systèmes de réglage quasiment indéfectibles. Le tout étant d’accepter d’y mettre le prix. Le prix de la tranquillité, ajouterais-je même. Pour les derniers réfractaires à l’idée qu’un bâton télescopique peut-être fiable dans le long terme, je vous invite à jeter un oeil sur les modèles de bâtons pliables. 10. On ne peut pas faire de hors-sentier en raquettes Mais bien sûr que si ! Le freeride, ça existe aussi pour les raquettes ! Si la raquette trouve sa limite à partir d’un certain degré de pente, de neige glacée ou de dévers, le champ des possibles reste quand même énorme pour le pratiquant confirmé. Le tout étant de pratiquer en toute sécurité, dès lors qu’on sort des itinéraires balisés. Etre accompagné d’un guide, progresser en groupe ou signaler son itinéraire si on est seul font partie des indispensables. Sur des terrains montagne qui se confondent parfois avec ceux des skieurs de randonnée, disposer d’un ARVA Appareil de Recherche de Victimes d’Avalanche est totalement recommandé. Et savoir s’en servir correctement aussi, évidemment. Loin de se limiter aux sentiers, la raquette est un formidable outil pour explorer l’univers hivernal. Se familiariser avec elle, prendre confiance et apprendre des autres pour acquérir de l’autonomie et quelques bases de la sécurité en neige vous ouvrira les portes d’un formidable et inépuisable terrain de jeu. Petite sélection d’équipement Que vous soyez débutant ou randonneur confirmé, je vous propose, pour terminer cet article, une petite sélection de produits pour pratiquer la raquette dans de bonnes conditions. Vous pourrez notamment les retrouver auprès de La Boutique du Bâton, un e-commerce qui s’est spécialisé dans le conseil et la vente en ligne de bâtons pour les activités de pleine nature et, notamment la randonnée. Une bonne adresse, un catalogue qualitatif et deux gérants passionnés et passionnants, véritables techniciens du bâton que je vous recommande chaudement de contacter pour vos achats de bâtons et de raquettes ! 1. TSL Track Easy 325 La version 2016 de la grande classique de TSL. Ceux qui ont connu l’infatigable TSL 225 accueilleront cette petite dernière les yeux fermés ! A la place d’une sangle tissu, on a désormais une crémaillère qui maintient le coup de pied plus solidement. Le réglage pour toutes les pointures se fait également plus facilement et rapidement qu’avant. Légère, accrocheuse et rassurante. Avec sa cale de montée, c’est le modèle idéal pour démarrer ! Prix indicatif 119 euros 2. TSL Symbioz Hiker Pour celles et ceux qui veulent aller plus loin, on monte un cran au-dessus avec cette Symbioz Hiker qui tord le cou à l’idée que la raquette c’est pas fun ! Le concept Hyper Flex qui permet au chassis de s’adapter au terrain est un vrai plus pour les randonneurs qui aiment sortir des sentiers battus. Lames verticales et crampons bidirectionnels garantissent une accroche carrément démente, même en dévers. Pour les aventuriers ! Prix indicatif 239 euros 3. Leki Albula Lite Leki assure toujours son rôle de leader dans la conception des bâtons de randonnée. Depuis quelques années, son système de réglage Speedlock confirme sa qualité et son efficacité. Terminé les pas de vis qui foirent on règle et on clippe en quelques secondes. C’est fiable, précis et ça tient. Sur l’Albula Lite, on ajoute la légèreté et la solidité de l’aluminium, le confort d’une poignée liège et on obtient un rapport qualité/prix parfait pour un investissement à long terme. Prix indicatif 99,95 euros 4. Guidetti Griper Easy Lock Carbone Choisir Guidetti, c’est faire le choix d’acheter un produit français fabriqué en France ! Par opposition au système Speed Lock de Leki, le double serrage rapide Easy Lock intégré à ce bâton en fait un choix pertinent pour les randonneurs à la recherche d’un produit facile à utiliser, léger et robuste, carbone oblige. On y retrouve également un grip antidérapant qui permet une excellente prise en main, même dans les sections déversantes. A tester ! Prix indicatif 89,99 euros 5. Black Diamond Alpine Carbon Z J’évoquais dans l’article le cas des bâtons pliants. En voici un exemple concret. On avait testé ce système en Z Black Diamond dans le Mercantour, en 2011, avec Grégory de I-Trekkings. Il s’est démocratisé depuis, sans perdre en efficacité. Une fois pris en main, les bâtons ne bronchent pas et se rangent dans le sac à dos très facilement. Solide et léger grâce au carbone 515g la paire, ce modèle intéressera les randonneurs plus aventureux qui n’hésitent pas à sortir des traces et à naviguer en poudreuse. Prix indicatif 139 euros
que faut il comme chaussure pour faire des raquettes