invocationavant de sortir de la maisonbooba stade de france 2022. Blog. appartement avec jacuzzi privatif colmar. prix parquet pour plancher chauffant; carottes et pois chiches caramĂ©lisĂ©s; soufisme islam c'est quoi + 18autresrestaurants françaissandy plage, cap santa lucia autres; gĂąteau anniversaire 1 an garçon ; classement prĂ©pa militaire Apprendrel'islam : PriĂšre avant de sortir de la maison de chez soi (doua en sortant de la maison) est protection d’Allah contre le mal quelque en soiles dji Invocationlorsqu'on sort de chez soi ŰšÙŰłÙ’Ù…Ù Ű§Ù„Ù„Ù‡ ی ŰȘَوَكَّلْŰȘُ Űčَلَى Ű§Ù„Ù„Ù‡ ی ÙˆÙŽÙ„Ű§ Ű­ÙŽÙˆÙ’Ù„ÙŽ ÙˆÙŽÙ„Ű§ Ù‚ÙÙˆÙ‘ÙŽŰ©ÙŽ Ű„Ù„Ű§ ŰšÙŰ§Ù„Ù„Ù‡ (bismi l-Lah tawakkaltou ^ala l-Lah wa la hawla wa la qouwwata 'il-la bi l-Lah) ce qui signifie : « Je commence par le nom de Allah, je me fie Ă  Allah. Voicice que le ProphĂšte salla l-Lahou ^alayhi wasallam a conseillĂ© de dire lorsque l’on sort de chez soi et lorsque l’on rentre de nouveau.. Évocation lorsque l’on sort de chez soi. Quand il sortait de chez lui, notre ProphĂšte Mouhammad salla l-Lahou ^alayhi wasallam disait pour enseigner Ă  sa communautĂ© : ŰšÙŰłÙ’Ù…Ù Ű§Ù„Ù„Ù‡ÙŰŒ ŰȘَوَكَّلْŰȘُ Űčَلَى Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù Ledou’a est un acte d’invocation. Lorsqu’on fait un dou’a, on fait appel Ă  Allah , on Lui parle et invoque nos attentes, nos dĂ©sirs et nos espoirs, Son aide, Le supplie d’ĂȘtre misĂ©ricordieux envers nous, Lui demande pardon, etc. Le terme dou’a est dĂ©rivĂ© de la racine arabe qui signifie appeler ou convoquer.Le dou’a est exaltant et libĂ©rateur et c’est un des actes d Douaavant de sortir de la maison (5) Retour Ă  l'album . rrajel o nass 20/10/2020 Ă  23h56. Photos du forum Doua avant de sortir de la maison C’est une doua pour sortir en sĂ©rĂ©nitĂ© . Consulter le message liĂ© Ă  cette photo J'aime Soyez le premier Ă  aimer ça. Soyez le premier Ă  donner votre avis . Envoyer . Avant de commencer j'aimerai vous faire part du mĂ©rite de la marche vers les mosquĂ©es Selon Abou Hourayra, RaddiALLAH anhou, le ProphĂšte aleyi al salat wa salam a dit "Celui qui fait ses ablutions chez lui, puis se dirige vers l'une des maisons de Dieu les mosquĂ©es pour y faire l'une des priĂšres obligatoire de Dieu, de tous ses pas, l'un le dĂ©charge d'un pĂ©chĂ© et l'autre l'Ă©lĂšve d'un degrĂ©" EN ALLANT A LA MOSQUEE "Ô Seigneur ! Mets dans mon cƓur de la lumiĂšre, dans ma langue de la lumiĂšre, dans mon ouĂŻe de la lumiĂšre, dans ma vue de la lumiĂšre, au-dessus de moi de la lumiĂšre, au-dessous de moi de la lumiĂšre, Ă  ma droite de la lumiĂšre, Ă  ma gauche de la lumiĂšre, devant moi de la lumiĂšre, derriĂšre moi de la lumiĂšre et mets dans mon Ăąme de la lumiĂšre, intensifie-moi cette lumiĂšre, agrandis-moi cette lumiĂšre, procure-moi de la lumiĂšre, fais de moi une lumiĂšre. Ô Seigneur ! Donne-moi de la lumiĂšre, mets dans mes nerfs de la lumiĂšre, dans ma chair de la lumiĂšre, dans mon sang de la lumiĂšre, dans mes cheveux de la lumiĂšre et dans ma peau de la lumiĂšre." Ű§Ù„Ù„Ù‘Ù‡ÙÙ€Ù…Ù‘ÙŽ Ű§ŰŹÙ’Űčَـلْ في Ù‚ÙŽÙ„Ù’ŰšÙ€ÙŠ Ù†ÙˆŰ±Ű§ ی وَفي Ù„ÙŰłÙ€Ű§Ù†ÙŠ Ù†ÙˆŰ±Ű§ŰŒ ÙˆÙŽŰ§ŰŹÙ’Űčَـلْ في ŰłÙŽÙ…Ù’Űčي Ù†ÙˆŰ±Ű§ŰŒ ÙˆÙŽŰ§ŰŹÙ’Űčَـلْ في ŰšÙŽŰ”ÙŽŰ±ÙŠ Ù†ÙˆŰ±Ű§ŰŒ ÙˆÙŽŰ§ŰŹÙ’Űčَـلْ مِنْ ŰźÙŽÙ„Ù’ÙÙŠ Ù†ÙˆŰ±Ű§ŰŒ وَمِنْ ŰŁÙŽÙ…Ű§Ù…Ù€ÙŠ Ù†ÙˆŰ±Ű§ŰŒ ÙˆÙŽŰ§ŰŹÙ’Űčَـلْ مِنْ فَوْقـي Ù†ÙˆŰ±Ű§ ی وَمِن ŰȘÙŽŰ­Ù’ŰȘـي Ù†ÙˆŰ±Ű§ .Ű§Ù„Ù„Ù‘Ù‡ÙÙ€Ù…Ù‘ÙŽ ŰŁÙŽŰčÙ’Ű·ÙÙ†Ù€ÙŠ Ù†ÙˆŰ±Ű§ AllĂąhumma jal fĂź qalbĂź nĂ»ran, wa fĂź lisĂąnĂź nĂ»ran, wa fĂź samcĂź nĂ»ran, wa fĂź basarĂź nĂ»ran, wa min fawqĂź nĂ»ran, wa min tahtĂź nĂ»ran, wa can yamĂźnĂź nĂ»ran, wa can shimĂąlĂź nĂ»ran, wa min amĂąmĂź nĂ»ran, wa min khalfĂź nĂ»ran. Wa jcal fĂź nafsĂź nĂ»ran, wa aczim lĂź nĂ»ran, wa cazzim lĂź nĂ»ran. Wa jcal lĂź nĂ»ran, wa jcalnĂź nĂ»ran. AllĂąhumma actinĂź nĂ»ran, wa jcal fĂź casabĂź nĂ»ran, wa fĂź lahmĂź nĂ»ran, wa fĂź damĂź nĂ»ran, wa fĂź shacrĂź nĂ»ran, wa fĂź basharĂź nĂ»ran.[AllĂąhumma jal lĂź nĂ»ran fĂź qabrĂź, wa nĂ»ran fĂź izĂąmĂź.][Wa zidnĂź nĂ»ran, wa zidnĂź nĂ»ran, wa zidnĂź nĂ»ran.][Wa hab lĂź nĂ»ran alĂą nĂ»r.] EN ENTRANT A LA MOSQUEE "Je cherche protection auprĂšs d'Allah le TrĂšs-Grand, auprĂšs de Son visage majestueux et Son royaume Ă©ternel, contre Satan le maudit.[Au nom d'Allah, que la priĂšre et le salut soient sur le Messager d'Allah.]Ô Seigneur ! Ouvre-moi les portes de Ta misĂ©ricorde." ŰŁÙŽŰčÙˆŰ°Ù ŰšŰ§Ù„Ù„Ù‡Ù Ű§Ù„ŰčÙŽŰžÙŠÙ€Ù… ÙˆÙŽŰšÙÙˆÙŽŰŹÙ’Ù‡ÙÙ€Ù‡Ù Ű§Ù„ÙƒÙŽŰ±ÙÙŠÙ€Ù… ÙˆÙŽŰłÙÙ„Ù’Ű·Ù€Ű§Ù†ÙÙ‡ Ű§Ù„Ù‚ÙŽŰŻÙŠÙ€Ù… مِنَ Ű§Ù„ŰŽÙ‘ÙŠÙ’Ù€Ű·Ű§Ù†Ù Ű§Ù„Ű±Ù‘ÙŽŰŹÙ€ÙŠÙ…ŰŒ[ ŰšÙŰłÙ’Ù€Ù…Ù Ű§Ù„Ù„Ù‡ŰŒ ÙˆÙŽŰ§Ù„Ű”Ù‘ÙŽÙ„Ű§Ű©Ù ÙˆÙŽŰ§Ù„ŰłÙ‘ÙŽÙ„Ű§Ù…Ù Űčَلى Ű±ÙŽŰłÙˆÙ„Ù Ű§Ù„Ù„Ù‡]ی Ű§Ù„Ù„Ù‘Ù‡ÙÙ€Ù…Ù‘ÙŽ Ű§ÙÙ’ŰȘÙŽÙ€Ű­Ù’ لي ŰŁÙŽŰšÙ’ÙˆŰ§ŰšÙŽ Ű±ÙŽŰ­Ù’Ù…ÙŽŰȘـِك AcĂ»dhu bi-l-lĂąhi-l-cazĂźmi, wa bi-wajhihi-l-karĂźmi, wa sultĂąnihi-l-qadĂźmi, mina sh-shaytĂąni r-rĂąjim.[Bismi l-lĂąhi, wa s-salĂątu wa s-salĂąmu alĂą rasĂ»li l-lĂąhi]. AllĂąhumma ftah lĂź abwĂąba rahmatik. EN SORTANT DE LA MOSQUEE "Au nom d'Allah, que la priĂšre et le salut soient sur le Messager d'Allah. Ô Seigneur ! Je te demande de Ton immense gĂ©nĂ©rositĂ©. Ô Seigneur ! PrĂ©serve-moi de Satan le maudit." ŰšÙŰłÙ…Ù Ű§Ù„Ù„Ù‡ ÙˆÙŽŰ§Ù„Ű”Ù‘Ù„Ű§Ű©Ù ÙˆÙŽŰ§Ù„ŰłÙ‘Ù„Ű§Ù…Ù Űčَلى Ű±ÙŽŰłÙˆÙ„Ù Ű§Ù„Ù„Ù‡ŰŒ Ű§Ù„Ù„Ù‘Ù‡ÙÙ€Ù…Ù‘ÙŽ Ű„ÙÙ†Ù‘Ù€ÙŠ ŰŁÙŽŰłÙ’ŰŁÙŽÙ„ÙÙƒÙŽ مِـنْ ÙÙŽŰ¶Ù’Ù€Ù„ÙÙƒŰŒ Ű§Ù„Ù„Ù‘Ù‡ÙÙ€Ù…Ù‘ÙŽ ۧŰčŰ”ÙÙ…Ù’Ù†Ù€ÙŠ مِنَ Ű§Ù„ŰŽÙ‘ÙŽÙŠÙ’Ù€Ű·Ű§Ù†Ù Ű§Ù„Ű±Ù‘ÙŽŰŹÙ€ÙŠÙ… Bismi l-lĂąhi, wa s-salĂątu wa s-salĂąmu alĂą rasĂ»li l-lĂąhi. AllĂąhumma innĂź as'aluka min fadlika. AllĂąhumma asimnĂź mina sh-shaytani r-rajĂźm ŰšÙŰłÙ… Ű§Ù„Ù„Ù‡ Ű§Ù„Ű±Ù‘Ű­Ù…Ù€Ù°Ù† Ű§Ù„Ű±Ù‘Ű­ÙŠÙ…Bismi l-Lah, je commence par le nom de Allah, Ar-Rahman, Celui Qui accorde Sa misĂ©ricorde aux croyants et aux non-croyants dans le bas-monde mais aux seuls croyants dans l’au-delĂ , Ar-Rahim, Celui Qui accorde beaucoup de misĂ©ricordes aux louange est Ă  Allah, le seigneur des mondes, Al-Hayy, Celui Qui est vivant, Al-Qayyoum, Celui Qui ne s’anĂ©antit pas, Celui Qui prĂ©destine la totalitĂ© des demande Ă  Allah ta^ala d’accorder, de la façon la plus complĂšte et la plus parfaite, Ă  notre maĂźtre Mouhammad, ainsi qu’à ses proches musulmans et Ă  ses compagnons, l’augmentation en honneur et en degrĂ© et l’apaisement quant au sort de sa Ă©tant dit, cet abrĂ©gĂ© rassemble la plupart des connaissances indispensables qu’il n’est permis Ă  aucune personne responsable d’ignorer, comme sujets dans la croyance, des questions de jurisprudence allant de la purification au pĂšlerinage et quelques jugements concernant les transactions selon l’école de jurisprudence de l’Imam Ach–Chafi^iyy. AprĂšs quoi sont exposĂ©s les pĂ©chĂ©s du cƓur et des organes tels que la langue et livre d’origine est l’oeuvre d’un des savants, spĂ©cialistes de la jurisprudence de l’Hadramaout, ^Abdou l–Lah fils de Houçayn fils de Tahir. Ont Ă©tĂ© insĂ©rĂ©s par la suite de nombreux ajouts sur des questions prĂ©cieuses tout en supprimant ce qu’il avait citĂ© au sujet du soufisme et en modifiant certaines expressions, sans que cela ne change le nous est arrivĂ© de mentionner ce que certains spĂ©cialistes de la jurisprudence chafĂ©ites, tels que Al–Boulqiniyy ont fait prĂ©valoir, afin de montrer ce qui Ă©tait faible dans le livre d’ consĂ©quent, il convient Ă  chacun de lui consacrer une attention particuliĂšre pour que ses actes soient agréés. Nous l’avons intitulĂ©1 Al-Moukhtasar l’abrĂ©gĂ© de ^Abdou l-Lah Al-Harariyy garantissant la connaissance indispensable de la Le nom du livre en arabe se prononce Moukhtasarou ^Abdi l-Lahi l-Harariyy Al-Kafilou bi ^ilmi d-Dini d–Darouriyy. Les connaissances indispensables de la croyanceChapitreIl est du devoir de la totalitĂ© des personnes responsables1 d’entrer dans la religion de l’Islam, d’y demeurer Ă  jamais et d’observer les jugements qu’il leur incombe de ce qui est un devoir de connaĂźtre et de croire dans l’absolu, et de prononcer immĂ©diatement en cas de mĂ©crĂ©ance ou sinon dans la priĂšre, il y a les deux tĂ©moignages qui sont ŰŁÙŽŰŽÙ‡ÙŽŰŻÙ ŰŁÙŽÙ†Ù’ Ù„Ű§ÙŽ Ű„ÙÙ„Ù‡ÙŽ Ű„ÙÙ„Ű§Ù‘ÙŽ Ű§Ù„Ù„Ù‘Ù‡Ù ÙˆÙŽŰŁÙŽŰŽÙ’Ù‡ÙŽŰŻÙ ŰŁÙŽÙ†Ù‘ÙŽ Ù…ÙŰ­ÙŽÙ…Ù‘ÙŽŰŻŰ§Ù‹ Ű±ÙŽŰłÙÙˆÙ„Ù Ű§Ù„Ù„Ù‘ÙŽÙ‡Ùach–hadou an la ilaha il–la l–Lah, wa ach–hadou anna Mouhammadan raçoulou l–Lah je tĂ©moigne qu’il n’est de dieu que Allah et je tĂ©moigne que Mouhammad est le messager de Allah » Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù…._____1 Une personne responsable moukallaf, c’est quelqu’un qui est pubĂšre, sain d’esprit et Ă  qui est parvenu l’appel de l’Islam.2 salla l-Lahou ^alayhi wa sallam Invocation en faveur du prophĂšte qui signifie que Allah l’honore et l’élĂšve davantage en degrĂ© et apaise ses craintes quant au sort de sa communautĂ©. La signification de je tĂ©moigne qu’il n’est de dieu que Allah » est je sais, je crois et je reconnais que nul ne mĂ©rite d’ĂȘtre adorĂ© sinon Dieu Allah.Il est Al-Wahid, Celui Qui n’a pas d’associĂ© dans la divinitĂ©, Al-Ahad, Celui Qui n’est ni divisible, ni composĂ©, Al-Awwal, Celui dont l’existence n’a pas de dĂ©but, Al-Qadim1, Al-Hayy, Celui Qui a pour attribut la vie, Al-Qayyoum, Celui Qui n’a besoin de rien, Ad-Da’im, Celui Qui n’a pas de fin et pour Qui l’anĂ©antissement est impossible, Al-Khaliq, le CrĂ©ateur, Ar-Raziq, Celui Qui fait parvenir la subsistance, Al-^Alim, Celui Qui a pour attribut la Science, Al-Qadir, Celui qui a pour attribut la puissance parfaite, Celui Qui rĂ©alise ce qu’Il veut. Ce que Allah veut est, et ce qu’Il ne veut pas n’est pas. Il est Celui sans Qui aucun pĂ©chĂ© ne peut ĂȘtre Ă©vitĂ© et sans Qui aucune obĂ©issance ne peut ĂȘtre accomplie, Celui Qui a pour attribut toute perfection qui est digne de Lui, Celui Qui est exempt de toute imperfection Le concernant.ïŽż Ù„ÙŽÙŠÛĄŰłÙŽ ÙƒÙŽÙ…ÙŰ«ÛĄÙ„ÙÙ‡ÙÛŠ ŰŽÙŽÙŠÛĄŰĄÙž وَهُوَ Ù±Ù„ŰłÙŽÙ‘Ù…ÙÙŠŰčُ Ù±Ù„ÛĄŰšÙŽŰ”ÙÙŠŰ±Ù [sourat Ach-Choura / 11] layça kamithlihi chay’oun wa houwa s-Sami^ou l-Basir ce qui signifie Absolument rien n’est pareil Ă  Lui et Il est Celui Qui entend, Celui Qui voit ».Il est donc exempt de dĂ©but, et tout ce qui est hormis Lui a un dĂ©but. Il est le CrĂ©ateur, et tout ce qui est hormis Lui est une crĂ©ature. Ainsi, tout ce qui entre en existence parmi les substances ou les actes, depuis les corpuscules qui voltigent dans l’air jusqu’au TrĂŽne, tout mouvement ou toute immobilitĂ© des esclaves de Allah, les intentions et les idĂ©es qui traversent l’esprit, tout cela existe par la crĂ©ation de Allah, nul autre que Allah ne le crĂ©e, aucune nature ni aucune en existence de tout cela a lieu par le vouloir et la puissance de Allah, par Sa prĂ©destination et conformĂ©ment Ă  Sa science exempte de dĂ©but. Preuve en est la parole de Allah ta^ala ïŽż وَ ŰźÙŽÙ„ÙŽÙ‚ÙŽ كُلَّ ŰŽÙŽÙ‰ŰĄ [sourat Al-Fourqan / 2] wa khalaqa koulla chay’ qui signifie Il crĂ©e toute chose », c’est-Ă -dire qu’Il fait advenir toute chose du nĂ©ant Ă  l’existence. Nul autre que Allah ne crĂ©e donc dans ce sens-lĂ . Allah ta^ala dit ïŽż هَلْ منْ ŰźŰ§Ù„Ù‚Ù ŰșÙŽÙŠŰ±Ù Ű§Ù„Ù„Ù‘Ù‡Ù [sourat Fatir / 3] hal min khaliqin ghayrou l-Lah ce qui signifie Y aurait-il un crĂ©ateur autre que Allah ?! »An-Naçafiyy a dit si un homme frappe un objet en verre avec une pierre et le casse, alors le coup, l’acte de casser et la cassure existent par la crĂ©ation de Allah ta^ala. L’esclave de Allah n’a donc que l’acquisition de ses actes tandis que la crĂ©ation n’est propre qu’à ta^ala dit ïŽż Ù„ÙŽÙ‡Ű§ Ù…ÙŽŰ§ ÙƒÙŽŰłÙŽŰšÙŽŰȘْ وَŰčÙŽÙ„ÙŽÙŠÙ’Ù‡ÙŽŰ§ Ù…ÙŽŰ§ Ű§ÙƒÙ’ŰȘÙŽŰłÙŽŰšÙŽŰȘْ [sourat Al-Baqarah / 286] laha ma kaçabat wa ^alayha ma ktaçabat ce qui signifie Elle a en sa faveur le bien qu’elle a acquis et contre elle le mal qu’elle a acquis. »D’autre part, Sa parole est exempte de dĂ©but comme tous Ses attributs. En effet, Lui Qui est exempt d’imperfection, Il est diffĂ©rent de toutes les crĂ©atures, par Son Être, par Ses attributs et par Ses actes. Il est, soubhanahou wa ta^ala, absolument exempt de ce que disent les sens de ce qui prĂ©cĂšde se rĂ©sume donc par la confirmation de treize attributs de Allah ta^ala dont la mention revient Ă  de nombreuses reprises dans le Qour’an, soit par le terme mĂȘme soit par sa signification. Ces treize attributs sont l’existence, l’unicitĂ©, le non-commencement –al-qidam– c’est-Ă -dire l’existence de toute Ă©ternitĂ© –al-azaliyyah-, la non-fin, le non-besoin, la puissance, la volontĂ©, la science, l’ouĂŻe, la vue, la vie, la parole et la diffĂ©rence avec ce qui entre en donnĂ© que ces attributs sont mentionnĂ©s de nombreuses fois dans les textes de la loi de l’Islam2, les savants ont dit que c’est une obligation d’ordre personnel de les connaĂźtre. Etant donnĂ© que l’existence de toute Ă©ternitĂ© est confirmĂ©e pour l’Être de Allah il est obligatoire que Ses attributs soient Ă©ternels exempts de dĂ©but car le fait qu’un attribut ait un dĂ©but entraĂźne que l’ĂȘtre ait un MĂȘme signification que Al-Awwal.2 Ach-Chari^ah. La signification de Je tĂ©moigne que Mouhammad est le messager de Allah » est je sais, je crois et je reconnais que Mouhammad, fils de ^Abdou l-Lah, fils de ^Abdou l-Mouttalib fils de Hachim fils de ^Abdou Manaf, le Quraychite Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù…, est l’esclave de Allah et Son Messager, envoyĂ© Ă  la totalitĂ© des humains et des s’ensuit la croyance qu’il est nĂ© Ă  La Mecque, qu’il a reçu la mission de prophĂšte quand il y rĂ©sidait et qu’il a Ă©migrĂ© Ă  MĂ©dine oĂč il a Ă©tĂ© enterrĂ©. Ce tĂ©moignage comprend qu’il a Ă©tĂ© vĂ©ridique en tout ce qu’il a fait savoir et transmis de la part de ces choses il y a le chĂątiment de la tombe, et sa fĂ©licitĂ©, l’interrogatoire par les deux anges Mounkar et Nakir, la rĂ©surrection, le rassemblement, le Jour dernier, le jugement, la rĂ©compense, le chĂątiment, la balance, l’enfer, le pont, le bassin, l’intercession, le Paradis, le fait que Allah ta^ala sera vu avec les yeux dans l’au-delĂ , sans comment, ni endroit, ni direction, c’est-Ă -dire pas comme est vue la crĂ©ature, et le fait de demeurer Ă©ternellement au paradis ou en enfer. Il y a aussi la foi en les anges de Allah, en Ses envoyĂ©s, en Ses livres, en la prĂ©destination de Allah et que le bien comme le mal sont prĂ©destinĂ©s par Allah, et que Mouhammad Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… est le dernier des prophĂštes et le maĂźtre de tous les fils de est un devoir de croire que chacun des prophĂštes de Allah est obligatoirement caractĂ©risĂ© par la vĂ©racitĂ©, l’honnĂȘtetĂ© et l’extrĂȘme intelligence. De ce fait, leur sont impossibles le mensonge, la trahison, la bassesse, le manque de sagesse, la stupiditĂ©, la lĂąchetĂ© et tout ce qui repousserait d’accepter leur appel. Être prĂ©servĂ© de la mĂ©crĂ©ance, des grands pĂ©chĂ©s et des petits pĂ©chĂ©s de bassesse leur est obligatoire, avant l’avĂšnement de leur mission de prophĂšte tout comme aprĂšs. Quant aux pĂ©chĂ©s autres que ceux-lĂ  ils leurs sont possibles sauf qu’ils sont alors immĂ©diatement avertis afin qu’ils s’en repentent avant que d’autres ne les suivent en partir de lĂ  on sait que le statut de prophĂšte n’est pas valable pour les frĂšres de Youçouf qui ont commis ces actes-lĂ  de bassesse, il s’agit de ses frĂšres autre que Binyamin. Quant aux Asbat sur qui est descendu la rĂ©vĂ©lation, ils sont ceux qui ont Ă©tĂ© Ă©lus au rang de prophĂšte parmi leur descendance. ChapitreIl est obligatoire pour tout musulman de protĂ©ger son Islam et de le garder de tout ce qui l’invalide, l’annule et le rompt, et c’est l’apostasie1, que Allah ta^ala nous en garde. An-Nawawiyy, ainsi que d’autres, ont dit L’apostasie est le genre le plus laid de mĂ©crĂ©ance ».A notre Ă©poque, le relĂąchement dans la parole s’est multipliĂ© au point que certains prononcent des paroles qui les font sortir de l’Islam sans mĂȘme les considĂ©rer comme un pĂ©chĂ© et encore moins comme de la mĂ©crĂ©ance. Ceci tĂ©moigne de la vĂ©racitĂ© de sa parole Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… Ű„ÙÙ†Ù‘ÙŽ Ű§Ù„ŰčÙŽŰšÙ’ŰŻÙŽ لَيَŰȘَكَلَّمُ ŰšÙŰ§Ù„ÙƒÙŽÙ„ÙÙ…ÙŽŰ©Ù Ù„Ű§ ÙŠÙŽŰ±Ù‰ ŰšÙÙ‡ÙŽŰ§ ŰšÙŽŰŁÙ’ŰłŰ§Ù‹ يَهْوِي ŰšÙÙ‡ÙŽŰ§ فِي Ű§Ù„Ù†Ù‘ÙŽŰ§Ű±Ù ŰłÙŽŰšÙ’Űčِينَ ŰźÙŽŰ±ÙÙŠÙŰ§Ù‹ »inna l-^abda layatakallamou bil-kalimati la yara biha ba’san yahwi biha fi n-nari sab^ina kharifa qui signifie Certes, il arrive que quelqu’un dise une parole dans laquelle il ne voit pas de mal, mais Ă  cause de laquelle il chutera en enfer soixante-dix automnes », c’est-Ă -dire qu’il parcourra une distance de chute qui durera soixante-dix ans. Or une telle chute fait atteindre le fond de l’enfer qui est rĂ©servĂ© aux hadith est rapportĂ© par At-Tirmidhiyy, qui l’a jugĂ© haçan. Dans le mĂȘme sens, il existe un autre hadith rapportĂ© par Al-Boukhariyy et hadith est une preuve qu’il n’est pas une condition pour chuter dans la mĂ©crĂ©ance, de connaĂźtre le jugement, ni de s’en ĂȘtre satisfait, ni de croire en la signification de la parole, comme le dit Ă  tort le livre Fiqhou s-Sounnah. Il n’est pas une condition non plus pour chuter dans la mĂ©crĂ©ance de ne pas ĂȘtre en colĂšre, tout comme An-Nawawiyy l’a indiquĂ© en disant Si quelqu’un s’emporte contre son enfant ou son serviteur en le frappant violemment et qu’un autre lui dit N’es-tu pas musulman ? », s’il rĂ©pond dĂ©libĂ©rĂ©ment non ! », il a apostasiĂ© ». Et d’autres que lui l’on dit, parmi les hanĂ©fites et est de trois sortes comme l’ont classĂ©e An-Nawawiyy, d’autres savants parmi les chafĂ©ites et les hanĂ©fites et bien d’autres croyances, actes et paroles. Chaque sorte se ramifie en de nombreuses Ar-Riddah. De la premiĂšre sorte, il y a douter au sujet de Allah, de Son messager, du Qour’an, du Jour dernier, du Paradis, de l’enfer, de la rĂ©compense, du chĂątiment, ou de toute autre chose du mĂȘme genre faisant l’objet de l’ que le monde n’aurait pas de dĂ©but et existerait de toute Ă©ternitĂ© par son genre et sa composition ou bien par son genre l’un des attributs de Allah qui Lui sont obligatoires par unanimitĂ©, comme le fait qu’Il ait pour attribut la Ă  Allah ce dont Il est obligatoirement exempt par unanimitĂ©, comme le licite ce qui est interdit par unanimitĂ©, connu d’évidence comme faisant partie de la religion, de parmi les choses dont la connaissance de l’interdiction ne lui Ă©chappe pas, comme la fornication, la sodomie, le meurtre, le vol ou l’ comme considĂ©rer illicite ce qui est clairement connu comme Ă©tant licite tels que la vente et le l’obligation de ce sur quoi il y a unanimitĂ© Ă©galement, tel que les cinq priĂšres ou mĂȘme une seule prosternation de ces priĂšres, la zakat, le jeĂ»ne, le Hajj ou le woudou’.ConsidĂ©rer obligatoire ce qui ne l’est pas par unanimitĂ© le caractĂšre mĂ©ritoire de ce sur quoi il y a d’apostasier dans le futur ou de faire dans le futur l’une des choses citĂ©es ci-dessus ou hĂ©siter en cela, mais pas si cela traverse l’esprit sans qu’on l’ait le statut de compagnon de notre maĂźtre Abou Bakr, que Allah l’agrĂ©e, ou le statut d’envoyĂ© de l’un des envoyĂ©s de Allah dont l’envoi fait l’objet de l’ une lettre qui fait partie du Qour’an par UnanimitĂ©, ou lui ajouter une lettre rejetĂ©e par l’unanimitĂ© en considĂ©rant, par entĂȘtement, qu’elle en fait partie, contredire un envoyĂ© de Allah ou le dĂ©nigrer, ou utiliser Ă  son sujet un diminutif de son nom par possible le statut de prophĂšte pour quelqu’un venant aprĂšs notre ProphĂšte Mouhammad Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù…. La deuxiĂšme sorte, ce sont les actes comme se prosterner pour une idole ou pour le soleil, que ce soit pour les adorer ou dans un autre Ă  la prosternation pour un ĂȘtre humain, c’est de la mĂ©crĂ©ance si elle est faite dans le but de l’adorer, tout comme le font certains ignorants qui se prosternent pour certains chaykh prĂ©tendument soufis. C’est-Ă -dire que lorsque leur prosternation est faite dans le but de les adorer, c’est de la mĂ©crĂ©ance ; toutefois, si ce n’est pas pour les adorer, ce n’est pas de la mĂ©crĂ©ance mais c’est interdit. La troisiĂšme sorte, ce sont les paroles elles sont trĂšs nombreuses et on ne peut les Ă©numĂ©rer de maniĂšre cela, il y a dire Ă  un musulman ĂŽ toi mĂ©crĂ©ant » en visant par-lĂ  que la religion de celui Ă  qui il s’adresse est de la mĂ©crĂ©ance et non pour viser une moquer de l’un des noms de Allah ta^ala, de Sa promesse ou de Sa menace, de la part d’une personne Ă  qui il n’échappe pas que cela est attribuĂ© Ă  Allah soubhanah, ou dire aussi Si Allah m’ordonnait de faire telle chose, je ne le ferais pas », ou Si la qiblah Ă©tait changĂ©e vers telle direction, je ne prierais pas vers lĂ -bas », ou si Allah me donnait le Paradis, je n’y entrerais pas », par dĂ©dain ou par entĂȘtement en tout comme de dire Si Allah me punit pour avoir dĂ©laissĂ© la priĂšre avec la maladie que j’ai, Il aura Ă©tĂ© injuste envers moi ».Ou dire d’un acte qui s’est produit C’est arrivĂ© sans que Allah l’ait prĂ©destinĂ© », ou dire Si les prophĂštes », ou les anges », ou tous les musulmans tĂ©moignaient devant moi d’une telle chose, je ne l’accepterais pas d’eux », ou dire Je ne ferai pas ceci, mĂȘme si c’est recommandĂ©1 » en visant la moquerie, ou Si Untel Ă©tait prophĂšte, je n’aurais pas foi en lui », ou encore, aprĂšs qu’un savant a donnĂ© une fatwa, dire Qu’est-ce que c’est que cette loi ? » en visant le dĂ©nigrement du jugement de la Loi de l’Islam, ou dire Que Dieu maudisse2 tous les savants » en visant la gĂ©nĂ©ralisation totale3 . Mais s’il ne visait pas la gĂ©nĂ©ralisation totale Ă  l’ensemble des savants, mais visait seulement de maudire les savants de son Ă©poque, avec une preuve qui indique cette restriction et en raison du mal qu’il pense d’eux, il ne devient pas mĂ©crĂ©ant, mĂȘme si ses propos ne sont pas dĂ©pourvus de dire Je n’ai rien Ă  voir avec Allah » ou avec les anges » ou avec le prophĂšte » ou avec la Chari^ah » ou avec l’Islam », ou dire Je ne connais pas le jugement » en se moquant de jugement rĂ©vĂ©lĂ© de la part de Allah, ou dire aprĂšs avoir rempli un verre ïŽż ÙˆÙŽÙƒÙŽŰŁÙ’ŰłŰ§Ù‹ ŰŻÙÙ‡ÙŽŰ§Ù‚Ű§Ù‹ wa ka’san dihaqa4, ou ayant vidĂ© la boisson d’un rĂ©cipient, dire ïŽż ÙÙŽÙƒÙŽŰ§Ù†ÙŽŰȘْ ŰłÙŽŰ±ÙŽŰ§ŰšŰ§Ù‹ fakanat saraba5 , ou au moment de peser ou de mesurer un volume ïŽż ÙˆÙŽŰ„ÙŰ°ÙŽŰ§ ÙƒÙŽŰ§Ù„ÙÙˆÙ‡ÙÙ…Ù’ ŰŁÙŽÙˆÙ’ وَŰČَنُوهُمْ ÙŠÙŰźÙ’ŰłÙŰ±ÙÙˆÙ†ÙŽ wa ’idha kalouhoum ’aw wazanouhoum youkhsiroun6, ou Ă  la vue d’un rassemblement ïŽż ÙˆÙŽŰ­ÙŽŰŽÙŽŰ±Ù’Ù†ÙŽŰ§Ù‡ÙÙ… فَلَمْ نُŰșÙŽŰ§ŰŻÙŰ±Ù’ مِنْهُمْ ŰŁÙŽŰ­ÙŽŰŻŰ§Ù‹ wa hacharnahoum falam noughadir minhoum ahada7, en voulant dĂ©nigrer le sens de ces ayah en tout cela. Et de mĂȘme en toute situation oĂč le Qour’an serait utilisĂ© dans ce but. Toutefois, si ce n’est pas dans ce but-lĂ , celui qui le fait ne commet pas de mĂ©crĂ©ance mais le Chaykh Ahmad Ibnou Hajar a dit que ce n’est pas loin d’ĂȘtre mĂȘme, devient mĂ©crĂ©ant celui qui insulterait un prophĂšte ou un ange, ou qui dirait Je serais un vrai proxĂ©nĂšte si je priais », ou bien je n’ai rien gagnĂ© de bon depuis que je fais la priĂšre », ou bien La priĂšre, ce n’est pas pour moi » en voulant se moquer, ou qui dirait Ă  un musulman Je suis ton ennemi et l’ennemi de ton ProphĂšte », ou bien Ă  un descendant du ProphĂšte Je suis ton ennemi et l’ennemi de ton ancĂȘtre » en visant le ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù…, ou qui dirait des choses du mĂȘme genre que ces expressions abjectes et RecommandĂ© sounnah.2 Que Dieu maudisse untel signifie que Dieu ne lui fasse pas misĂ©ricorde c’est-Ă -dire que Dieu le chĂątie.3 Celui qui dit Que Dieu maudisse tous les savants alors qu’il y a dans le contexte ce qui indique qu’il ne vise pas la totalitĂ©, comme si lui-mĂȘme ou quelqu’un d’autre a Ă©voquĂ© des savants corrompus et il a alors dit Que Dieu maudisse tous les savants, sa parole est alors considĂ©rĂ©e comme portant sur tout savant de cette catĂ©gorie et ce n’est donc pas de la mĂ©crĂ©ance. Mais s’il dit cette phrase Que Dieu maudisse tous les savants sans aucun contexte, il devient mĂ©crĂ©ant. L’intention Ă  elle seule, sans qu’il y ait de contexte, ne lui Ă©pargne pas d’ĂȘtre dĂ©clarĂ© mĂ©crĂ©ant. Et celui qui ne le dĂ©clare pas mĂ©crĂ©ant dans ce cas lĂ  devient mĂ©crĂ©ant.4 [An-Naba’ / 34] Cette ayah fait rĂ©fĂ©rence Ă  un verre rempli Ă  ras bord de boissons du paradis.5 [An-Naba’ / 20] Cette ayah fait rĂ©fĂ©rence aux montagnes qui s’évanouiront au jour du jugement comme si elles Ă©taient un mirage.6 [Al-Moutaffifin / 3] Cette ayah fait rĂ©fĂ©rence Ă  ceux qui diminuent la mesure lorsqu’ils mesurent un volume ou pĂšsent pour les autres.7 [Al-Kahf / 47] Cette ayah fait rĂ©fĂ©rence au jour du jugement, lorsque les gens seront rassemblĂ©s et que nul ne sera laissĂ© de cĂŽtĂ©. De nombreux savants spĂ©cialistes de la jurisprudence, tels que le juriste hanĂ©fite, Badrou r-Rachid et le Qadi ^lyad le malĂ©kite, que Allah leur fasse misĂ©ricorde Ă  tous les deux, ont Ă©numĂ©rĂ© beaucoup d’exemples de mĂ©crĂ©ance. Il convient donc d’en prendre connaissance. En effet, qui ne connaĂźt pas le mal le rĂšgle est que toute croyance, tout acte ou toute parole qui indique un dĂ©nigrement de Allah, de Ses livres, de Ses messagers, de Ses anges, des signes emblĂ©matiques de la religion agréée par Allah, de Ses jugements, de Sa promesse ou de Sa menace est une mĂ©crĂ©ance. Alors, que chacun y prenne garde de toutes ses forces dans n’importe quelle est obligatoire pour celui qui est tombĂ© dans l’apostasie de revenir immĂ©diatement Ă  l’Islam, en prononçant les deux tĂ©moignages et en abandonnant ce par quoi l’apostasie a eu lieu. De plus, il lui est obligatoire de regretter ce qu’il a commis et d’avoir la rĂ©solution de ne pas l’apostasie sont annulĂ©s son jeĂ»ne, son tayammoum, son mariage avant la consommation et son mariage qu’il a dĂ©jĂ  consommĂ© s’il ne revient pas Ă  l’Islam pendant la pĂ©riode d’attente post contrat de mariage avec une musulmane ou avec toute autre femme n’est pas est illicite de consommer ce qu’il Ă©gorge. Il n’hĂ©rite pas et personne n’hĂ©rite de lui. On ne fait pas la priĂšre funĂ©raire pour lui, on ne le lave pas, on ne l’enveloppe pas dans un linceul, on ne l’enterre pas dans un cimetiĂšre de musulmans et ses biens sont consacrĂ©s Ă  l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral des musulmans. ChapitreIl est obligatoire pour chaque personne responsable d’accomplir tous les actes que Allah lui a rendus obligatoires. Il lui est obligatoire de les accomplir de la maniĂšre que Allah lui a ordonnĂ©e, en effectuant leurs piliers, en remplissant leurs conditions de validitĂ© et en se gardant des choses qui les est obligatoire d’ordonner Ă  qui l’on voit dĂ©laisser certains de ces actes, ou que l’on voit les pratiquer d’une maniĂšre incorrecte, de les pratiquer de maniĂšre valable, et il est obligatoire de l’y contraindre si on en a la capacitĂ©. Sinon il est obligatoire de le rĂ©prouver dans son cƓur, en cas d’incapacitĂ© Ă  contraindre ou Ă  ordonner, ceci Ă©tant le minimum requis par la foi, c’est-Ă -dire le minimum que doit accomplir la personne en cas d’ est obligatoire de se garder de tous les interdits, de les interdire Ă  celui qui les commet et de l’en empĂȘcher par la contrainte, si on en est capable. Sinon il lui est un devoir de rĂ©prouver cela par son c’est ce dont Allah a menacĂ© du chĂątiment celui qui le commet et a promis une rĂ©compense Ă  celui qui le dĂ©laisse, son opposĂ© Ă©tant l’obligation. La purification et la priĂšreChapitreParmi les obligations il y a donc, cinq priĂšres rĂ©parties entre le jour et la nuit le dhouhr son temps commence lorsque le soleil dĂ©cline et dure jusqu’à ce que l’ombre d’un objet atteigne une longueur Ă©gale Ă  la hauteur de l’objet en plus de la longueur de son ombre Ă  la culmination du ^asr son temps commence aprĂšs le temps du dhouhr et dure jusqu’à la disparition du maghrib son temps commence aprĂšs la disparition du soleil et dure jusqu’à la disparition de la lueur ^icha’ son temps commence aprĂšs le temps du maghrib et dure jusqu’à l’apparition de l’aube soubh son temps commence aprĂšs le temps du ^icha’ et dure jusqu’à la levĂ©e du est donc un devoir d’accomplir ces obligations dans leur temps pour tout musulman pubĂšre sain d’esprit et pur, c’est-Ă -dire hormis les femmes ayant leurs rĂšgles ou leurs lochies. Par consĂ©quent, il est interdit de les anticiper ou de les retarder sans excuse. Si un empĂȘchement comme les menstrues survient alors qu’il s’est Ă©coulĂ© du temps de la priĂšre un temps suffisant pour l’accomplir, plus un temps suffisant pour la purification en cas d’incontinence ou ce qui est de cet ordre, cette priĂšre devra ĂȘtre l’empĂȘchement s’achĂšve alors qu’il reste encore du temps de la priĂšre la durĂ©e d’une takbirah1, la priĂšre devra ĂȘtre accomplie, ainsi que celle qui la prĂ©cĂšde si elle se rassemble avec il est un devoir d’accomplir le ^asr avec le dhouhr si l’empĂȘchement s’achĂšve alors qu’il reste la durĂ©e d’une takbirah avant le coucher du soleil, et le ^icha’ avec le maghrib si la fin de l’empĂȘchement prĂ©cĂšde l’aube vĂ©ritable de la durĂ©e d’une Qui est le fait de dire Allahou akbar. ChapitreIl est un devoir pour le tuteur du garçon et de la fille capables de discernement, de leur ordonner d’accomplir la priĂšre et de leur enseigner ses rĂšgles, Ă  partir de l’ñge de sept ans lunaires. Il en est de mĂȘme pour le jeĂ»ne qu’ils peuvent supporter. Il lui est aussi un devoir de leur enseigner des sujets de la croyance et des jugements qu’il est un devoir de faire ceci et qu’il est interdit de faire cela, ainsi que le caractĂšre mĂ©ritoire du siwak et de la priĂšre en part, il est obligatoire pour tout musulman d’ordonner Ă  sa famille d’accomplir la priĂšre, ainsi qu’à toute autre personne s’il en est capable. ChapitreParmi les conditions de validitĂ© de la priĂšre, il y a le woudou’ dont les obligations sont au nombre de six La premiĂšre l’intention de se purifier pour la priĂšre, ou une autre intention parmi celles qui sont valables lors du lavage du visage, c’est-Ă -dire simultanĂ©ment avec son lavage selon Ach-Chafi^iyy. L’intention est suffisante si elle Ă©tait prĂ©sente peu de temps avant le lavage du visage selon deuxiĂšme laver le visage en entier, de la limite habituelle du cuir chevelu jusqu’au menton et d’une oreille Ă  l’autre, pilositĂ© et peau, Ă  l’exception de l’intĂ©rieur de la barbe de l’homme si elle est troisiĂšme laver les mains jusqu’aux coudes compris, ainsi que ce qu’il y a quatriĂšme passer les mains mouillĂ©es sur la tĂȘte ou une partie de la tĂȘte, ne serait-ce que sur un cheveu dans la limite du cinquiĂšme laver les pieds, chevilles comprises, ou bien passer la main mouillĂ©e sur les khouff lorsque les conditions requises sont sixiĂšme observer cet ordre-lĂ . ChapitreAnnulent le woudou’ tout ce qui sort des orifices infĂ©rieurs, sauf le maniyy1,toucher le sexe ou l’anus humain avec le plat de la main sans intermĂ©diaire,le contact peau contre peau avec une ajnabiyyah2,la perte de discernement, mais pas le sommeil en Ă©tant assis bien calĂ© sur son Le sperme ou son Ă©quivalent fĂ©minin.2 Personne de sexe fĂ©minin qui n’est pas une mahram. La mahram Ă©tant celle qui est inĂ©pousable Ă  jamais du fait des liens de sang, d’allaitement ou de mariage. ChapitreIl est un devoir de faire la toilette intime de toute substance humide sortant de l’un des orifices infĂ©rieurs, autre que le maniyy, avec de l’eau jusqu’à purifier l’endroit, ou bien en s’essuyant trois fois ou davantage jusqu’à le nettoyer, mĂȘme s’il reste des a lieu avec un objet capable d’îter la substance humide, pur, sec et non respectable, tel qu’une pierre ou du papier, mĂȘme en prĂ©sence d’eau, mais Ă  condition que la najaçah1 ne se soit pas dĂ©placĂ©e et n’ait pas la substance se dĂ©place de l’endroit dans lequel elle s’était stabilisĂ©e ou si elle sĂšche, l’usage de l’eau devient La substance impure selon la Loi de l’Islam. ChapitreParmi les conditions de la priĂšre, il y a la purification du grand hadath par le ghousl ou bien par le tayammoum, si on est dans l’incapacitĂ© de faire le ghousl. Cinq choses la rendent obligatoire l’émission de maniyy,le rapport,la fin des menstrues,la fin des lochies,et l’accouchement. Les obligations du ghousl sont au nombre de deux l’intention de lever le grand hadath ou une intention analogue,et de rĂ©pandre de l’eau sur tout le corps peau, cheveux et poils, mĂȘme s’ils sont Ă©pais. ChapitreLes conditions de la purification sont l’Islam,le discernement,l’absence de tout ce qui empĂȘche l’eau de parvenir Ă  ce qui est lavĂ©,l’écoulement de l’eau,que l’eau soit purificatrice, c’est-Ă -dire qu’elle n’ait pas perdu son nom d’eau en Ă©tant mĂ©langĂ©e avec une substance pure qu’on peut lui Ă©viter, autrement dit par la dissolution d’une substance pure, comme du lait, de l’encre ou ce qui est l’eau a changĂ© de sorte qu’on ne puisse plus l’appeler eau », elle n’est plus valable pour la revanche, si le changement de l’eau est dĂ» Ă  une substance qu’on ne peut lui Ă©viter, comme dans le cas oĂč elle a changĂ© par quelque chose se trouvant dans son lieu ou sur son passage, ou ce qui est du mĂȘme ordre, et dont il est difficile de protĂ©ger l’eau, cela n’a pas de consĂ©quence, l’eau reste purificatrice, mĂȘme si son changement est ne soit pas altĂ©rĂ©e par une najaçah, mĂȘme lĂ©gĂšrement. Si la quantitĂ© d’eau est infĂ©rieure Ă  deux qoullah1, il est une condition qu’elle ne soit pas touchĂ©e par une najaçah non tolĂ©rable, et qu’elle n’ait pas Ă©tĂ© utilisĂ©e pour lever un hadath ou pour Ă©liminer une Le volume de deux qoullah, c’est le volume d’un cylindre d’une coudĂ©e de diamĂštre et de deux coudĂ©es et demie de profondeur. Celui qui ne trouve pas d’eau ou bien si l’eau lui est nuisible fait le tayammoum aprĂšs l’entrĂ©e du temps de la priĂšre,et aprĂšs l’élimination de toute najaçah non tolĂ©rable,avec de la terre non mĂ©langĂ©e Ă  autre chose, purificatrice et poussiĂ©reuse, sur le visage puis sur les mains et les avant-bras, dans cet ordre, en prenant la terre deux fois, en ayant l’intention de se rendre autorisĂ©e la priĂšre obligatoire, simultanĂ©ment avec le transfert et le passage des mains sur la premiĂšre partie du visage. ChapitreCelui dont le woudou’ est rompu, il lui est interdit d’accomplir la priĂšre, les tours rituels autour de la Ka^bah, de porter ou de toucher le Mous–haf, mais on l’autorise Ă  l’enfant pour est interdit Ă  quelqu’un qui est jounoub1 de faire ces choses-lĂ , mais aussi de rĂ©citer le Qour’an et de rester dans une est interdit Ă  une femme qui a ses menstrues ou ses lochies, ces choses-lĂ , mais aussi de jeĂ»ner avant l’interruption du saignement et de permettre Ă  son mari de jouir de la zone comprise entre le nombril et les genoux avant le ghousl. Il a Ă©tĂ© dit qu’il n’est interdit que le Personne ayant eu une Ă©mission de maniyy ainsi que celle qui a eu un rapport. ChapitreParmi les conditions de la priĂšre, il y a d’ĂȘtre pur des najaçah sur le corps,les vĂȘtements,l’emplacement,et ce que l’on a sur soi, comme un flacon qu’on porterait dans la l’on est touchĂ©, soi-mĂȘme ou ce que l’on porte, par une najaçah, la priĂšre est annulĂ©e, Ă  moins qu’on s’en dĂ©barrasse immĂ©diatement ou bien qu’elle soit tolĂ©rable, comme le sang de sa propre est un devoir d’éliminer toute najaçah non tolĂ©rable en Ă©liminant sa substance ainsi que son goĂ»t, sa couleur et son odeur, avec de l’eau Ă  la najaçah non perceptible on l’élimine en faisant couler de l’eau dessus. La najaçah non perceptible est celle dont on ne dĂ©tecte ni couleur ni goĂ»t ni ce qui est de la najaçah canine c’est en la lavant sept fois dont une fois en mĂ©langeant l’eau avec de la terre purificatrice. Les lavages qui font disparaĂźtre la substance et ses caractĂ©ristiques, mĂȘme s’ils sont nombreux, comptent comme un seul est une condition que ce soit l’eau qui parvienne sur l’endroit Ă  purifier, si l’eau est en petite quantitĂ©. ChapitreParmi les conditions de la priĂšre, il y a faire face Ă  la qiblah,l’entrĂ©e du temps de la priĂšre,d’ĂȘtre sur l’Islam,avoir le discernement, c’est-Ă -dire que l’enfant ait grandit de sorte qu’il comprend la parole qui lui est adressĂ©e et sait rĂ©pondre,avoir connaissance du caractĂšre obligatoire de cette priĂšre,ne pas croire qu’une de ses obligations est recommandĂ©e,et couvrir la zone de pudeur avec ce qui cache la couleur de la peau. Pour les femmes libres, il s’agit de l’ensemble du corps sauf le visage et les mains, et pour les hommes, de la zone comprise entre le nombril et les genoux, de tous les cĂŽtĂ©s sauf par en-dessous. ChapitreLa priĂšre est annulĂ©e par la parole, mĂȘme en prononçant deux lettres ou une lettre ayant une signification, sauf si c’est par oubli et qu’on a peu parlĂ©,par de nombreux mouvements et il s’agit pour certains jurisconsultes de ce qui dure le temps d’une rak^ah. Il a Ă©tĂ© dit que c’est faire trois mouvements successifs, mais le premier avis a une argumentation plus forte,par un mouvement excessif,par l’ajout d’un pilier gestuel,par un seul mouvement pour jouer,par le fait de manger ou boire, Ă  moins d’avoir oubliĂ© et que ce soit peu de chose,par l’intention d’interrompre la priĂšre,par conditionner son interruption Ă  l’arrivĂ©e de quelque chose,par l’hĂ©sitation Ă  le faire,par le fait d’achever un pilier en doutant de son intention d’entrĂ©e en rituel ou si ce doute se prolonge. ChapitreIl est une condition, en plus de ce qui prĂ©cĂšde, pour que sa priĂšre soit rĂ©compensĂ©e par Allah soubhanahou wa ta^ala qu’il vise par elle l’agrĂ©ment de Allah Lui seul, que sa nourriture, ses vĂȘtements et son lieu de priĂšre soient qu’il ait aussi dans le cƓur le khouchou^ envers Allah ne serait-ce qu’un instant dans la priĂšre, si cela n’est donc pas rĂ©alisĂ©, la priĂšre est valable mais sans rĂ©compense. ChapitreLes piliers de la priĂšre sont au nombre de dix-sept Le premier avoir l’intention dans le cƓur d’accomplir l’acte, en prĂ©cisant la priĂšre qui a une cause ou un temps particulier. On met l’intention d’accomplir une obligation si c’est pour une priĂšre deuxiĂšme dire de façon Ă  s’entendre soi-mĂȘme, comme pour tout pilier oral Allahou troisiĂšme se tenir debout dans la priĂšre obligatoire, pour celui qui le quatriĂšme rĂ©citer la Fatihah, avec la basmalah1 et avec les lettres doublĂ©es. Il est une condition de rĂ©citer les ayah de maniĂšre successive et dans l’ordre, de prononcer les lettres Ă  partir de leur point d’articulation et d’éviter toute erreur qui altĂšre le sens, comme le fait de prononcer la lettre ta’ de an^amta avec le son ou». Une erreur de rĂ©citation qui ne porte pas atteinte au sens est interdite, mais n’annule pas la cinquiĂšme s’incliner, c’est-Ă -dire se courber en avant, de sorte que les paumes des mains atteignent les sixiĂšme la quiĂ©tude dans l’inclination de la durĂ©e de la parole soubhana l-Lah, c’est-Ă -dire l’immobilisation de tous les os Ă  leur place septiĂšme se redresser en se remettant debout aprĂšs l’ huitiĂšme la quiĂ©tude dans cette neuviĂšme se prosterner deux fois, en posant sur l’emplacement de sa priĂšre tout ou partie de son front dĂ©couvert en s’appuyant dessus, en ayant le bassin surĂ©levĂ© par rapport au haut du corps, et en posant une partie des genoux, du plat des mains et du plat des orteils. Certains savants en dehors du madh-hab de l’Imam Ach-Chafi^iyy, ont dit que la surĂ©lĂ©vation du bassin par rapport au haut du corps n’est pas une condition de validitĂ© de la prosternation, si la tĂȘte est plus Ă©levĂ©e que le postĂ©rieur, la priĂšre restera valable selon dixiĂšme la quiĂ©tude dans les deux onziĂšme s’asseoir entre les deux douziĂšme la quiĂ©tude dans cette treiziĂšme s’asseoir pour rĂ©citer le dernier tachahhoud et ce qui le suit, Ă  savoir l’invocation en faveur du ProphĂšte puis de passer le quatorziĂšme rĂ©citer le dernier tachahhoud en disant At-tahiyyatou l-moubarakatou s–salawatou t–tayyibatou lil-Lah,as-salamou ^alayka ’ayyouha n-Nabiyyou wa rahmatou l-Lahi wa barakatouh,as-salamou ^alayna wa ^ala ^ibadi l-Lahi s–salihin,ach-hadou ’an la ’ilaha ’il-la l-Lah wa ’ach-hadou ’anna Mouhammadan raçoulou l-LahOu bien en disant le minimum du tachahhoud qui est At-tahiyyatou lil-Lah,salamoun ^alayka ’ayyouha n-Nabiyyou wa rahmatou l-Lahi wa barakatouh,salamoun ^alayna wa ^ala ^ibadi l-Lahi s–salihin,ach-hadou ’an la ’ilaha ’il-la l-Lah wa ’anna Mouhammadan raçoulou quinziĂšme invoquer Dieu en faveur du ProphĂšte Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… en disant au minimum Ű§Ù„Ù„Ù‘ÙŽÙ‡ÙÙ…Ù‘ÙŽ Ű”ÙŽÙ„Ù‘Ù Űčَلَى Ù…ÙŰ­ÙŽÙ…Ù‘ÙŽŰŻAllahoumma salli ^ala Mouhammad ce qui signifie Ô Allah, honore et Ă©lĂšve davantage en degrĂ© seiziĂšme passer le salam, dont le minimum est de dire Ű§Ù„ŰłÙ‘ÙŽÙ„Ű§ÙŽÙ…Ù Űčَلَيْكُمas-salamou ^alaykoumLe dix-septiĂšme respecter cet ordre-lĂ , de sorte que si on l’abandonnait dĂ©libĂ©rĂ©ment, par exemple en se prosternant avant de s’incliner, la priĂšre serait annulĂ©e. Mais si on l’abandonne par oubli, que l’on revienne alors au pilier omis pour l’accomplir, sauf dans le cas oĂč l’on est parvenu au pilier semblable ou plus avancĂ© encore, la rak^ah est ainsi complĂ©tĂ©e, et tout ce qui a Ă©tĂ© fait par oubli n’est pas pris en compte. Par consĂ©quent, si on ne se rappelle avoir omis l’inclination qu’aprĂšs s’ĂȘtre inclinĂ©, ou dans la position debout qui vient ensuite ou dans la prosternation qui vient ensuite, ce qui a Ă©tĂ© fait entre l’inclination omise et l’inclination de la rak^ah suivante n’est pas prise en Qui est le fait de dire Bismi l-Lahi r-Rahmani r-Rahim. ChapitreAccomplir la priĂšre en assemblĂ©e est une obligation d’ordre communautaire pour les hommes, libres, rĂ©sidents, pubĂšres et qui n’ont pas d’excuses pour s’en abstenir. Et pour la priĂšre du vendredi, elle leur est un devoir d’ordre personnel, s’ils sont au minimum quarante, responsables, Ă©tablis Ă  vie dans ce lieu, dans des constructions et non dans des tentes, car la priĂšre du vendredi n’est pas obligatoire pour ceux qui vivent dans des est une obligation aussi pour quelqu’un qui a l’intention de rĂ©sider dans la ville oĂč a lieu la priĂšre du vendredi quatre jours complets, c’est-Ă -dire outre les jours d’arrivĂ©e et de dĂ©part, et pour quelqu’un Ă  qui parvient l’appel d’un homme Ă  la voix forte, situĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© la plus proche de lui de la ville oĂč a lieu la priĂšre du conditions de validitĂ© de la priĂšre du vendredi sont les suivantes qu’elle ait lieu dans le temps du dhouhr,qu’elle soit prĂ©cĂ©dĂ©e dans le temps du dhouhr par deux discours entendus par les quarante hommes,qu’elle soit effectuĂ©e en assemblĂ©e avec eux,qu’une autre priĂšre du vendredi ne se dĂ©roule pas simultanĂ©ment avec elle dans la mĂȘme ville. Par consĂ©quent, si l’une des deux prĂ©cĂšde l’autre par la takbirah d’entrĂ©e en rituel, la premiĂšre est valable et celle qui est devancĂ©e ne l’est pas. Ceci vaut dans le cas oĂč il leur est possible de se rassembler en un lieu unique. Mais si le rassemblement prĂ©sente une grande difficultĂ©, les deux assemblĂ©es sont alors valables celle qui devance et celle qui est devancĂ©e. Les piliers des deux discours sont louer Allah hamdou l-Lah, invoquer Allah en faveur du ProphĂšte as–salatou ^ala n-nabiyy, recommander la piĂ©tĂ© dans les deux discours,citer une ayah1 comprĂ©hensive dans l’un des deux discours,et invoquer Allah en faveur des croyants dans le deuxiĂšme Un verset du Qour’an. Leurs conditions de validitĂ© sont ĂȘtre pur des deux hadath et des najaçah sur le corps, l’emplacement et ce que l’on porte sur soi,avoir couvert la zone de pudeur,se tenir debout,s’asseoir entre les deux discours, la successivitĂ© entre les piliers dans chaque discours, et entre les deux discours et la priĂšre,et qu’ils soient en arabe. ChapitreIl est un devoir pour celui qui prie en Ă©tant dirigĂ©, dans une priĂšre du vendredi ou dans toute autre priĂšre en assemblĂ©e de ne pas devancer son imam dans l’emplacement et dans la takbirah de l’entrĂ©e en rituel. Bien plus, la simultanĂ©itĂ© dans la takbirah de l’entrĂ©e en rituel invalide la priĂšre et elle est dĂ©conseillĂ©e pour tout le reste, sauf pour dire est interdit de le devancer d’un pilier gestuel. La priĂšre est annulĂ©e en devançant l’imam de deux piliers gestuels successifs longs ou bien d’un long et d’un court sans excuse. De mĂȘme, la priĂšre est annulĂ©e en Ă©tant en retard par rapport Ă  l’imam de ces deux piliers gestuels-lĂ  sans excuse et de plus de trois piliers longs mĂȘme avec excuse. Par consĂ©quent, si celui qui est dirigĂ© tarde Ă  terminer la Fatihah au point que l’imam achĂšve son inclination et ses deux prosternations et s’est assis pour le tachahhoud ou s’est remis debout, celui qui est dirigĂ© rejoint l’imam dans la position qu’il a atteinte, puis accomplira une rak^ah aprĂšs le salam de son imam. En revanche, s’il termine la Fatihah avant cela, il continue sa priĂšre dans l’ordre qu’il est un devoir d’avoir connaissance des mouvements de son soient rĂ©unis dans une mosquĂ©e, ou sinon, dans une limite de trois cents n’y ait pas entre eux d’obstacle empĂȘchant le passage le dĂ©roulement de leurs priĂšres soit compatible. Il n’est donc pas valable d’accomplir une des cinq priĂšres obligatoires en Ă©tant dirigĂ© par quelqu’un qui accomplit une priĂšre ne pas se distinguer de l’imam dans un acte recommandĂ© quand la diffĂ©rence de pratique est trop apparente, soit en l’accomplissant comme en faisant le premier tachahhoud, c’est-Ă -dire en s’asseyant pour le faire, soit en l’abandonnant, comme en dĂ©laissant les deux prosternations de l’ d’avoir l’intention d’ĂȘtre dirigĂ© par l’imam, lors de la takbirah de l’entrĂ©e en rituel dans la priĂšre du vendredi et avant de le suivre en l’ayant attendu longtemps dans les autres est du devoir de l’imam d’avoir l’intention d’ĂȘtre imam dans la priĂšre du vendredi, ainsi que dans la priĂšre rĂ©pĂ©tĂ©e, cette intention Ă©tant recommandĂ©e dans autre que ces deux-lĂ . La priĂšre rĂ©pĂ©tĂ©e est celle que l’on fait une deuxiĂšme fois aprĂšs l’avoir accomplie en assemblĂ©e ou bien individuellement. ChapitreLaver le mort, l’envelopper dans un linceul, faire la priĂšre funĂ©raire pour lui et l’enterrer sont une obligation d’ordre communautaire s’il s’agit d’un musulman nĂ© vivant. Quant au mort-nĂ©, il est un devoir de le laver, de l’envelopper dans un linceul et de l’enterrer, mais on n’accomplit pas la priĂšre funĂ©raire dans ce minimum du lavage est rĂ©alisĂ© en Ă©liminant les najaçah et en rĂ©pandant de l’eau purificatrice, une fois, sur l’ensemble de son corps, sur toute sa peau et sa pilositĂ©, mĂȘme si elle est minimum de l’enveloppement dans un linceul est rĂ©alisĂ© avec ce qui couvre l’ensemble du corps. Il s’agit de trois tissus pour celui qui laisse des biens dĂ©passant le montant de ses dettes et qui n’a pas exprimĂ© sa volontĂ© que l’on dĂ©laisse le minimum pour rĂ©aliser la priĂšre funĂ©raire en faveur du mort c’est d’avoir l’intention de faire la priĂšre pour le mort, en en prĂ©cisant le caractĂšre obligatoire et qu’il s’agit d’une priĂšre funĂ©raire, de dire Allahou ’akbar en se tenant debout si on le peut, de rĂ©citer ensuite la Fatihah, puis de dire Allahou akbar suivi de Allahoumma salli ^ala Mouhammad, puis de dire Allahou akbar suivi de Allahoumma ghfir lahou wa rhamh, puis de redire Allahou akbar, suivi de as-salamou ^ est indispensable d’y observer les conditions de validitĂ© de la priĂšre et de se garder de ce qui l’ minimum de l’enterrement est d’enterrer le dĂ©funt dans une fosse qui dissimule son odeur et qui le protĂšge des animaux sauvages. Il est recommandĂ© de la creuser d’une profondeur Ă©quivalente Ă  la taille de quelqu’un qui lĂšve le bras et de l’élargir. Il est un devoir de l’orienter vers la qiblah et il n’est pas permis d’enterrer dans des caveaux. La ZakatChapitreLa zakat est une obligation sur les chameaux,les bovins,les moutons et les chĂšvres,les dattes,les raisins secs,les cultures vivriĂšres de base en pĂ©riode de choix,l’or,l’argent mĂ©tal,ce qui est extrait des mines d’or et d’argent,les trĂ©sors trouvĂ©s de ces deux mĂ©taux,les biens commerciaux,et la fin du premier seuil des chameaux est de cinq tĂȘtes,Celui des bovins est de trente tĂȘtes,Celui des moutons et des chĂšvres est de quarante n’y a donc pas de zakat en deçà. Et il est indispensable qu’un cycle annuel se soit Ă©coulĂ© aprĂšs avoir atteint le seuil. Il est aussi indispensable que la pĂąturage ait lieu sur un herbage libre, c’est-Ă -dire que le propriĂ©taire des bĂȘtes ou celui Ă  qui il les confie, les fasse paĂźtre dans un herbage libre, Ă  savoir une pĂąture qui n’a pas de propriĂ©taire, et que ces bĂȘtes ne soient pas affectĂ©es Ă  un travail. Il n’y a donc pas de zakat sur les animaux affectĂ©s Ă  un travail tel que le tout troupeau de cinq chameaux, il est obligatoire de verser en zakat une chah. Sur quarante tĂȘtes de moutons ou chĂšvres une chah, c’est-Ă -dire une brebis d’un an ou ayant dĂ©jĂ  perdu ses dents de devant ou bien une chĂšvre de deux ans. Et toutes les trente tĂȘtes de bovins, il faut payer un veau si le troupeau du propriĂ©taire s’accroĂźt au-delĂ , le paiement Ă©volue en fonction de cet accroissement. Il lui est une obligation d’apprendre ce que Allah ta^ala lui a rendu obligatoire de verser sur ce aux dattes, aux raisins secs et aux cultures vivriĂšres de base, le premier seuil est de cinq wasq, ce qui correspond Ă  trois cents sa^ selon le sa^ du ProphĂšte, et dont la mesure est toujours en usage au rassemble les rĂ©coltes de la mĂȘme annĂ©e pour voir si on a atteint le seuil. Mais on ne complĂšte pas une espĂšce par une autre, comme par exemple du blĂ© par de l’ zakat devient obligatoire dĂšs que la maturitĂ© des fruits apparaĂźt, et dĂšs le durcissement des grains pour les est un devoir de payer le dixiĂšme de ces rĂ©coltes si elles n’ont pas reçu d’irrigation entraĂźnant des charges, et la moitiĂ© du dixiĂšme si elles ont reçu une irrigation entraĂźnant des charges. Pour ce qui dĂ©passe le seuil, on paye en proportion de ce dĂ©passement. Il n’y a pas de zakat sur ce qui est en dessous du seuil, Ă  moins de verser spontanĂ©ment des Ă  l’or, son seuil est de vingt mithqal, celui de l’argent mĂ©tal est de deux cents est alors une obligation de payer le quart du dixiĂšme sur ces deux mĂ©taux, et la mĂȘme proportion sur ce qui dĂ©passe le seuil. Il est indispensable pour ces deux mĂ©taux qu’une annĂ©e lunaire se soit Ă©coulĂ©e, sauf pour ce qui est extrait des mines et pour les trĂ©sors trouvĂ©s de ces deux mĂ©taux. Dans ces deux cas-lĂ  on paie immĂ©diatement. Toutefois, pour les trĂ©sors trouvĂ©s, on paie le Ă  la zakat sur le commerce, le seuil est celui de la monnaie prĂ©cieuse avec laquelle les biens ont Ă©tĂ© achetĂ©s, les deux monnaies prĂ©cieuses Ă©tant l’or et l’argent mĂ©tal. On ne prend en compte que la valeur commerciale Ă  la fin de l’annĂ©e et il est un devoir de payer le quart du dixiĂšme de cette biens de deux ou plusieurs personnes mis en commun sont considĂ©rĂ©s comme les biens d’une seule personne quant au seuil et Ă  ce qu’il faut payer, si les conditions de la mise en commun sont Ă  la zakat de la fin du jeĂ»ne, elle est obligatoire lorsqu’on a vĂ©cu une partie de Ramadan et de Chawwal, sur tout musulman, sur sa personne et sur tous ceux qui sont Ă  sa charge s’ils sont musulmans. Sur chacun, il est une obligation de donner un sa^ de la nourriture de base la plus courante du pays, s’il en est toujours pourvu aprĂšs avoir dĂ©duits ses dettes, les frais de son habillement, de son logement, de sa nourriture de base et de la nourriture de base de ceux qui sont Ă  sa charge, pendant le jour de l’AĂŻd et la nuit qui est obligatoire pour toutes les catĂ©gories de zakat, au moment d’extraire la part de la zakat de ses est un devoir de la donner aux ayants droit prĂ©sents dans le pays oĂč se situe le bien et faisant partie des huit catĂ©gories suivantes Les misĂ©reux,Les pauvres,Les bĂ©nĂ©voles qui travaillent au service de la zakat,Ceux dont le cƓur est Ă  raffermir,Ceux qui sont sous contrat d’affranchissement,Les personnes endettĂ©es dans l’incapacitĂ© de rembourser,Ceux qui sont fi sabili l-Lah» et il ne s’agit pas tout acte de bienfaisance,Le voyageur qui n’a pas ce qui lui suffit pour atteindre sa il n’est ni permis ni valable de la payer Ă  d’autres que ceux-lĂ . Le jeĂ»neChapitreIl est obligatoire de jeĂ»ner le mois de Ramadan pour tout musulman responsable mais le jeĂ»ne n’est pas valable de la part des femmes ayant leurs menstrues ou leurs lochies. Il leur est un devoir Ă  toutes les deux de est permis de ne pas jeĂ»ner au voyageur effectuant un voyage autorisant le raccourcissement des priĂšres, mĂȘme si le jeĂ»ne ne lui est pas malades, les femmes enceintes et les femmes qui allaitent, pour qui le jeĂ»ne prĂ©sente une difficultĂ© insupportable, ont l’autorisation de ne pas jeĂ»ner et il leur est un devoir de est obligatoire d’avoir l’intention prĂ©sente la veille et de prĂ©ciser la raison du jeĂ»ne lors de l’intention pour chaque jour. Il est obligatoire aussi de s’abstenir Du rapport,De provoquer la sortie du maniyy au moyen de la main ou de ce qui est du mĂȘme ordre,De se faire vomir,D’apostasier,D’introduire une substance dans une cavitĂ© de son corps hormis sa propre salive non mĂ©langĂ©e avec autre chose,Et de ne pas ĂȘtre atteint de folie ne serait-ce qu’un instant, et de ne pas s’ĂȘtre Ă©vanoui pendant toute la n’est pas valable de jeĂ»ner les jours des AĂŻds et les jours de tachriq1, ni la deuxiĂšme moitiĂ© du mois de Cha^ban, ni le jour du doute, sauf en reliant le jeĂ»ne Ă  un jeĂ»ne antĂ©rieur ou en cas de rattrapage, de vƓu ou de pratique rĂ©guliĂšre2, comme si l’on jeĂ»ne habituellement le lundi et le quelqu’un annulait son jeĂ»ne d’un jour de Ramadan sans bĂ©nĂ©ficier d’une permission de ne pas jeĂ»ner, en ayant un rapport, il se chargerait du pĂ©chĂ©, du rattrapage au plus vite et de l’expiation du dhihar, qui consiste Ă  affranchir un esclave croyant, s’il ne peut pas, Ă  jeĂ»ner deux mois consĂ©cutifs, et s’il ne peut pas, Ă  donner Ă  manger Ă  soixante pauvres, c’est-Ă -dire qu’il donne Ă  chacun d’eux une jointĂ©e de blĂ© par exemple, ou d’autre chose de la nourriture de base la plus courante du pays, la jointĂ©e Ă©tant le plein des deux mains jointes de taille Ce sont les trois jours qui suivent le jour de l’AĂŻd Al-Ad–Ha fĂȘte du sacrifice ».2 wird. Le pĂšlerinageChapitreIl est un devoir d’accomplir le pĂšlerinage et la ^oumrah une fois dans la vie pour tout musulman, libre, responsable, ayant eu la capacitĂ© de partir et de retourner chez lui, dĂ©duction faite de ses dettes, de ses frais de logement, et d’habillement dignes de son rang et des dĂ©penses lui incombant sur ceux qui sont Ă  sa charge, le temps de son piliers du pĂšlerinage sont au nombre de six Le premier l’intention de l’entrĂ©e en rituel qui consiste Ă  dire dans son cƓur j’entame les actes du pĂšlerinage » ou de la ^oumrah.»Le deuxiĂšme la station Ă  ^Arafah entre le moment oĂč le soleil dĂ©cline du milieu du ciel du jour de ^Arafah et l’aube de la nuit de l’ troisiĂšme les tours rituels1 autour de la Ka^ quatriĂšme les trajets entre As–Safa et Al-Marwah, sept fois, d’un arc Ă  l’ cinquiĂšme le rasage du crĂąne ou la coupe des sixiĂšme l’ordre dans la plupart des ces piliers Ă  part la station Ă  ^Arafah, sont des piliers de la ^oumrah. Ces piliers ont eux-mĂȘmes des obligations et des conditions qu’il est indispensable d’ les tours rituels, il est une condition d’effectuer un parcours de la pierre noire Ă  la pierre noire, sept fois. Fait Ă©galement partie de leurs conditions de couvrir la zone de pudeur, d’avoir la purification et de garder la ka^bah Ă  sa gauche, on ne lui fait pas face et on ne lui tourne pas le est interdit Ă  celui qui est entrĂ© en rituel De mettre du parfum,De s’oindre la tĂȘte ou la barbe avec de l’huile d’olive, de la graisse fondue ou de la cire d’abeille fondue,D’arracher un ongle, un poil ou un cheveu,Le rapport sexuel ainsi que ses prĂ©liminaires,D’effectuer un contrat de mariage,De chasser tout animal licite Ă  la consommation sauvage et terrestre,Pour les hommes de se couvrir la tĂȘte et de porter un vĂȘtement qui envelopperait le corps grĂące Ă  une couture, au formage du feutre ou Ă  ce qui est du mĂȘme genre,Et pour les femmes entrĂ©es en rituel de se couvrir le visage et de mettre des consĂ©quent, si quelqu’un faisait une de ces choses interdites, il se chargerait d’un pĂ©chĂ© et devrait une compensation. Le rapport rajoute l’annulation, l’obligation du rattrapage au plus vite et l’achĂšvement du rituel invalidĂ©. Par consĂ©quent, quelqu’un qui a annulĂ© son pĂšlerinage en ayant eu un rapport doit le poursuivre sans l’interrompre puis le rattraper l’annĂ©e d’ est aussi un devoir D’ĂȘtre entrĂ© en rituel Ă  partir du miqat. Le miqat est le lieu que le Messager de Allah a prĂ©ciser pour l’entrĂ©e en rituel, telle que la terre nommĂ©e Dhou l-Houlayfah pour les habitants de MĂ©dine et ceux qui empruntent leur chemin,Et pour le pĂšlerinage il est un devoir de sĂ©journer de nuit Ă  Mouzdalifah selon un avis,Et Ă  Mina selon un avis,De lancer les cailloux Ă  Jamratou l-^Aqabah le jour du sacrifice,De lancer les cailloux aux trois bassins pendant les jours du tachriq,Et d’effectuer les tours rituels d’adieu selon un avis dans l’ qui ne s’acquitte pas de ces six choses-lĂ  n’annule pas son pĂšlerinage mais il se charge d’un pĂ©chĂ© et doit une compensation, Ă  la diffĂ©rence des piliers que nous avons dĂ©jĂ  mentionnĂ©s. En effet, le pĂšlerinage n’est pas valable sans ces piliers et quelqu’un qui les dĂ©laisse ne peut pas les compenser par un Ă©panchement de sang c’est-Ă -dire l’égorgement d’une part, il est interdit de chasser le gibier dans les deux enceintes sacrĂ©es et de couper ou d’arracher leur vĂ©gĂ©tation, pour celui qui est en rituel ou pas et le faire Ă  La Mecque rajoute l’obligation de s’acquitter d’une compensation. Il n’y a donc pas de compensation pour avoir chassĂ© dans l’enceinte de MĂ©dine ni pour avoir coupĂ© ou arrachĂ© sa vĂ©gĂ©tation. L’enceinte de MĂ©dine se situe entre les deux montagnes de ^Ayr et Le tawaf. Les transactionsChapitreIl est obligatoire pour tout musulman responsable de ne pas s’engager dans une affaire avant de savoir ce que Allah ta^ala y a rendu licite et illicite. En effet, Allah soubhanah nous a ordonnĂ© de nous soumettre, c’est-Ă -dire qu’Il nous a chargĂ©s de certaines choses, il est donc indispensable d’observer ce qu’Il nous a chargĂ©s de a rendu permis la vente et Il a rendu interdit le gain usuraire. Et la Loi de l’Islam a dĂ©terminĂ© cette vente par l’article dĂ©fini, car ce n’est pas toute vente qui est permise sauf celle qui remplit les conditions et les piliers, il est donc indispensable de les prendre en consĂ©quent, il incombe Ă  celui qui veut vendre et acheter d’apprendre cela, sinon il consommera le gain usuraire, qu’il le veuille ou non. Par ailleurs, le Messager de Allah Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… a dit Ű§Ù„ŰȘÙ‘ÙŽŰ§ŰŹÙŰ±Ù Ű§Ù„Ű”Ù‘ÙŽŰŻÙÙˆÙ‚Ù ÙŠÙŰ­Ù’ŰŽÙŽŰ±Ù يَوْمَ Ű§Ù„Ù’Ù‚ÙÙŠÙŽŰ§Ù…ÙŽŰ©Ù مَŰčَ Ű§Ù„Ù†Ù‘ÙŽŰšÙÙŠÙ‘ÙÙŠÙ†ÙŽ ÙˆÙŽŰ§Ù„Ű”Ù‘ÙŰŻÙ‘ÙŠÙ‚ÙÙŠÙ†ÙŽ ÙˆÙŽŰ§Ù„ŰŽÙ‘ÙÙ‡ÙŽŰŻÙŽŰ§ŰĄÙ »at-tajirou s–sadouqou youhcharou yawma l-qiyamati ma^a n-nabiyyina wa s–siddiqina wa ch-chouhada’ ce qui signifie Le commerçant vĂ©ridique sera rassemblĂ© au Jour dernier avec les prophĂštes, les saints hautement vĂ©ridiques et les martyrs. »Ceci n’est dĂ» qu’à ce qu’il endure en luttant contre son Ăąme et ses mauvais penchants, et en la contraignant Ă  l’exĂ©cution des contrats conformĂ©ment Ă  la Loi de l’Islam. Sinon, n’est pas cachĂ© ce dont Allah a menacĂ© celui qui dĂ©passe les limites. Pour le reste des contrats, comme le louage, le mandat de gĂ©rance commerciale, l’hypothĂšque, la procuration, le dĂ©pĂŽt, le prĂȘt Ă  usage, la sociĂ©tĂ© de biens et le mĂ©tayage, il est Ă©galement indispensable de prendre en compte les conditions et les piliers propres Ă  contrat de mariage requiert un surcroĂźt de prĂ©caution et de vĂ©rification pour se prĂ©munir des consĂ©quences d’un manquement en cela. Le Qour’an honorĂ© fait rĂ©fĂ©rence Ă  cela par Sa parole ta^ala ïŽż ÙŠÙŽŰ§ ŰŁÙŽÙŠÙ‘ÙÙ‡ÙŽŰ§ Ű§Ù„Ù‘ÙŽŰ°ÙÙŠÙ†ÙŽ ŰĄÙŽŰ§Ù…ÙŽÙ†ÙÙˆŰ§ Ù‚ÙÙˆŰ§ ŰŁÙŽÙ†Ù’ÙÙŰłÙŽÙƒÙÙ…Ù’ ÙˆÙŽŰŁÙŽÙ‡Ù’Ù„ÙÙŠÙƒÙÙ…Ù’ Ù†ÙŽŰ§Ű±Ù‹Ű§ ÙˆÙŽÙ‚ÙÙˆŰŻÙÙ‡ÙŽŰ§ Ű§Ù„Ù†Ù‘ÙŽŰ§ŰłÙ ÙˆÙŽŰ§Ù„Ù’Ű­ÙŰŹÙŽŰ§Ű±ÙŽŰ©Ù [sourat At-Tahrim / 6] ya ayyouha l-Ladhina amanou qou anfouçakoum wa ’ahlikoum naran waqoudouha n-naçou wa l-hijarah qui signifie Ô vous qui avez cru, prĂ©servez-vous ainsi que vos familles, d’un feu dont le combustible sera des humains et des pierres. » ^Ata’, que Allah l’agrĂ©e, a dit Que tu apprennes comment prier, comment jeĂ»ner, comment vendre et acheter, comment te marier et comment divorcer. » Le gain usuraireChapitreLe gain usuraire est interdit, le pratiquer, le consommer, le prendre, en rĂ©diger le contrat et en ĂȘtre tĂ©moin. Le gain usuraire, c’est Vendre l’une des deux monnaies prĂ©cieuses contre l’autre en fixant un dĂ©lai de rĂšglement,Ou en se sĂ©parant sans prises de possession respectives,Ou contre la monnaie prĂ©cieuse de la mĂȘme espĂšce de la mĂȘme façon, c’est-Ă -dire en fixant un dĂ©lai de rĂšglement, ou en se sĂ©parant sans prises de possession respectives,Ou bien avec une inĂ©galitĂ©, c’est-Ă -dire un surplus de poids d’un des deux articles sur l’ en est de mĂȘme des denrĂ©es alimentaires entre elles, lorsqu’il s’agit de deux espĂšces diffĂ©rentes comme par exemple du blĂ© contre de l’orge, il n’est permis de les vendre les unes contre les autres qu’à deux conditions sans fixer de dĂ©lai de rĂšglement et sans se sĂ©parer avant les prises de possession respectives. Lorsqu’il s’agit de la mĂȘme espĂšce, ces deux conditions seront requises ainsi que l’égalitĂ©. ChapitreIl est interdit de vendre ce qu’on n’a pas encore la viande en contrepartie d’un dette en contrepartie d’une de vendre un bien sur lequel on n’a aucun droit de propriĂ©tĂ© ni autoritĂ© Ă  le ce qui n’a pas Ă©tĂ© vu mais c’est permis selon un avis de Ach-Chafi^iyy s’il y a n’est pas valable de vendre par quelqu’un qui n’est pas responsable ni qu’on lui vende, c’est-Ă -dire que la vente ou l’achat par un fou ou par un enfant n’est pas valable. Toutefois, la vente effectuĂ©e par un enfant ayant atteint le discernement est permise selon l’école de jurisprudence de l’Imam vendre ce qu’on n’a pas la capacitĂ© de ce qui n’a pas d’ la vente n’est pas valable selon certains sans formule de vente alors que l’accord implicite des deux contractants suffit selon d’ vendre ce qui n’entre sous la propriĂ©tĂ© de personne comme un homme libre ou une terre Ă  l’état vendre ce qui est najaçah telle que le tout ce qui qui est illicite comme le tambĂ»r, sorte d’instrument de musique semblable au est interdit de vendre quelque chose de licite et de pur Ă  quelqu’un dont on sait qu’il veut commettre une dĂ©sobĂ©issance avec, comme du raisin Ă  quelqu’un qui voudrait en faire du vin, ou des armes Ă  quelqu’un qui voudrait s’attaquer injustement aux gens vendre des substances vendre quelque chose ayant un dĂ©faut sans le utile Il n’est pas valable de partager les biens laissĂ©s par un dĂ©funt ni d’en vendre quoi que ce soit, tant que n’ont pas Ă©tĂ© soldĂ©es ses dettes, exĂ©cutĂ©es ses volontĂ©s et mis de cĂŽtĂ© les frais d’un pĂšlerinage et d’une ^oumrah s’ils lui incombaient, sauf si on en vend une partie pour rĂ©gler ces choses-lĂ  ses biens sont comme hypothĂ©quĂ©s pour ce est interdit de dĂ©motiver un acheteur ou un vendeur aprĂšs qu’ils se sont accordĂ©s sur le prix, dans le but de vendre au premier ou d’acheter au second, et si cela a lieu aprĂšs la conclusion de l’acte et durant la pĂ©riode de rĂ©tractation, c’est encore plus les aliments de base en pĂ©riode de hausse des prix et de pĂ©nurie, afin de les stocker pour les revendre Ă  un prix plus Ă©levĂ© surenchĂ©rir sur le prix d’une marchandise afin de tromper les frauder ou duper sur les mesures de volume, de poids ou de longueur, sur le nombre ou mentir Ă  ce vendre du coton ou toute autre marchandise, en accordant en parallĂšle un prĂȘt Ă  l’acheteur, tout en augmentant le prix de la marchandise en raison de ce un prĂȘt Ă  un tisserand ou Ă  toute autre personne dont on loue les services en le faisant travailler pour une paie infĂ©rieure au salaire courant en raison de ce prĂȘt, c’est-Ă -dire si cela est posĂ© comme condition, ils appellent cela ar-rabtah [le servage].Et d’accorder un prĂȘt Ă  des agriculteurs jusqu’à leur rĂ©colte Ă  condition qu’ils lui vendent leur production alimentaire Ă  un prix infĂ©rieur, ils appellent cela al-maqdiyy [le rabais usuraire].Il en est de mĂȘme pour plusieurs autres transactions des gens de notre Ă©poque, qui enfreignent pour la plupart les rĂšgles de la Loi de l’ donc qui cherche l’agrĂ©ment de Allah soubhanah ainsi que le salut dans l’au-delĂ  et dans la vie d’ici-bas, qu’il apprenne ce qui est licite et illicite auprĂšs d’un savant scrupuleux et pieux qui le conseil et qui soit soucieux de sa bonne pratique religieuse. En effet, la recherche du licite est une obligation qui incombe Ă  tout musulman. ChapitreIl est obligatoire pour qui en a les moyens, de prendre en charge ses ascendants, hommes ou femmes, pauvres, mĂȘme s’ils sont capables de gagner leur vie, et de prendre en charge ses descendants, c’est-Ă -dire ses enfants et petits-enfants, s’ils sont pauvres et incapables de gagner leur vie, en raison de leur jeune Ăąge ou d’une infirmitĂ©, c’est-Ă -dire une maladie qui les empĂȘche de gagner leur est obligatoire pour le mari de subvenir Ă  la charge de son Ă©pouse et de s’acquitter de sa dot, il lui doit aussi une compensation au cas oĂč l’annulation du contrat ne serait pas de son fait Ă  incombe Ă  celui qui possĂšde des animaux de s’acquitter de leur charge, de ne pas les affecter Ă  des tĂąches qu’ils ne peuvent supporter et de ne pas les frapper injustement. Les devoirs du cƓurChapitreParmi les devoirs du cƓur, il y a la foi en Allah et ce qui est parvenu de la part de Allah et la foi en le Messager de Allah et en ce qui est parvenu du Messager de Allah Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù….La sincĂ©ritĂ© qui consiste Ă  Ɠuvrer dans l’obĂ©issance pour Allah d’avoir commis des fier Ă  surveiller par crainte de satisfait de Allah, c’est-Ă -dire s’en remettre Ă  Lui et dĂ©laisser l’ les signes emblĂ©matiques de la religion agréée par Allah pour Ses bienfaits, dans le sens de s’abstenir de les utiliser pour Lui sur l’accomplissement de ce que Allah a rendu obligatoire, patienter vis-Ă -vis de ce que Allah ta^ala a interdit, et patienter sur ce par quoi Allah t’a le diable, haĂŻr les Allah, aimer Sa parole, aimer Son messager, les compagnons, les proches du ProphĂšte et les vertueux. Les pĂ©chĂ©s des organesChapitreParmi les pĂ©chĂ©s du cƓur, il y a l’insincĂ©ritĂ© dans les actes de bien, qui est d’Ɠuvrer pour les gens c’est-Ă -dire afin qu’ils fassent son Ă©loge, cela en annule les rĂ©compenses et compte au nombre des grands dans l’obĂ©issance Ă  Allah, qui est d’observer l’acte d’adoration comme provenant de soi-mĂȘme tout en oubliant qu’il est une au sujet de y a aussi se croire protĂ©ger du chĂątiment de de la misĂ©ricorde de envers les esclaves de Allah Ă  savoir refuser la vĂ©ritĂ© Ă©noncĂ©e par quelqu’un d’autre et mĂ©priser les y aussi l’animositĂ©, c’est-Ă -dire cacher en soi une hostilitĂ© lorsqu’on agit en fonction de ce sentiment et qu’on ne le dĂ©teste c’est-Ă -dire dĂ©tester qu’un musulman bĂ©nĂ©ficie d’un bienfait, ne pas le supporter et agir en son aumĂŽne pour blesser et cela en annule la rĂ©compense, comme en disant Ă  qui on avait donnĂ© une aumĂŽne Ne t’ai-je pas donnĂ© telle chose, tel et tel jour ? ».Persister dans le que Allah ne lui pardonnera pas ses de mauvaises pensĂ©es au sujet des esclaves de la prĂ©destination, se rĂ©jouir d’un pĂ©chĂ© provenant de soi ou de quelqu’un d’ traĂźtrise, mĂȘme envers quelqu’un qui n’est pas musulman, comme de lui accorder la promesse qu’il sera en sĂ©curitĂ© puis de le les compagnons, les proches du ProphĂšte et les sur ce que Allah a ordonnĂ© de payer, ĂȘtre avare, et ĂȘtre de considĂ©ration envers ce que Allah a glorifiĂ© et rabaisser ce que Allah a rendu important en tant qu’actes d’obĂ©issance, minimiser un acte de dĂ©sobĂ©issance, rabaisser le Qour’an, la science de la religion ou le Paradis, minimiser le chĂątiment en enfer. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s du ventre, il y a Consommer ce qui provient du gain usuraire, de l’usurpation ou du vol et tout bien issu d’une transaction que la Loi de l’Islam a des boissons toute substance qui enivre, toute najaçah et tout ce qui est les biens d’un orphelin, ou les biens dĂ©diĂ©s Ă  l’encontre des conditions posĂ©es par celui qui les a dĂ©diĂ©s, prendre quelque chose en profitant de la timiditĂ© du donneur, sans que cela soit donnĂ© de bon cƓur. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s de l’Ɠil, il y a regarder le visage et les mains des femmes ajnabiyyah avec dĂ©sir, et ailleurs que le visage et les mains, avec ou sans est Ă©galement interdit aux femmes de regarder les hommes si elles regardent la zone comprise entre le nombril et les il est interdit de regarder les zones de est interdit aux hommes et aux femmes de dĂ©voiler leur zone de pudeur en Ă©tant seul, sans est permis avec une mahram ou une personne du mĂȘme sexe de regarder ailleurs que la zone comprise entre le nombril et les genoux, quand le regard est sans est interdit de regarder un musulman avec mĂ©pris, de regarder dans la maison d’autrui sans sa permission, ou Ă©galement quelque chose qu’il a cachĂ©e. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s de la langue, il y a Faire la mĂ©disance, qui consiste Ă  mentionner ton frĂšre en Islam en citant quelque chose qui lui dĂ©plairait tout en Ă©tant vrai Ă  son sujet et ce en son les paroles des uns aux autres pour semer la Ă  la discorde sans rapporter de paroles mĂȘme si c’est pour pousser les animaux Ă  se c’est-Ă -dire affirmer ce qui est contraire Ă  la un serment les formules de qadhf qui sont nombreuses elles consistent en toute parole attribuant la fornication Ă  quelqu’un ou Ă  l’un de ses proches parents. C’est alors un qadhf envers la personne Ă  qui elle est attribuĂ©e, soit explicitement, avec ou sans intention, soit implicitement, avec cette les pĂ©chĂ©s de la langue, il y a aussi insulter les compagnons, et faire un faux le rĂšglement d’une dette tout en ayant les moyens, c’est-Ă -dire la capacitĂ© de s’en maudire et se moquer d’un musulman, ou lui tenir tout propos au sujet de Allah ou de Son Messager, revendiquer injustement un droit, prononcer un divorce bid^iyy, qui est un divorce prononcĂ© pendant une pĂ©riode de menstrues ou bien pendant une pĂ©riode inter menstruelle au cours de laquelle il y a eu un rapport. DĂ©clarer qu’on s’abstiendra de tout rapport en disant Ă  son Ă©pouse une expression telle que je n’aurai plus de rapports avec toi tout comme je n’en ai pas avec ma mĂšre ». Cela entraĂźne une expiation s’il ne divorce pas immĂ©diatement aprĂšs l’avoir prononcĂ©e. L’expiation consiste Ă  affranchir un esclave croyant et sain, en cas d’incapacitĂ©, elle consiste Ă  jeĂ»ner deux mois consĂ©cutifs, et en cas d’incapacitĂ©, Ă  nourrir soixante pauvres avec soixante ces pĂ©chĂ©s, il y a rĂ©citer le Qour’an d’une façon erronĂ©e, qui altĂšre le sens ou les terminaisons grammaticales mĂȘme si cela ne change pas le sens. Mendier pour quelqu’un qui a sa suffisance grĂące Ă  des biens ou Ă  un un vƓu dans l’intention de priver un hĂ©ritier, omettre de laisser un testament concernant une dette ou un objet dont personne d’autre n’a Ă  quelqu’un d’autre que son pĂšre ou celui qui l’a affranchi. Demander la main d’une femme qui est dĂ©jĂ  fiancĂ©e Ă  un autre musulman. Donner un avis religieux sans connaissance. Enseigner et apprendre tout savoir nuisible sans raisons autrement qu’avec le jugement de Allah. Évoquer les mĂ©rites d’un mort en Ă©levant la voix et pousser des toute parole qui pousse Ă  commettre un interdit ou qui dĂ©courage d’accomplir un propos diffamant la religion, l’un des prophĂštes, les savants, le Qour’an, ou l’un des signes emblĂ©matiques de la religion agréée par Allah. Il y a aussi jouer d’un instrument de musique Ă  vent. S’abstenir d’ordonner le bien et d’interdire le mal sans excuse valable. Garder pour soi une science obligatoire alors que quelqu’un la demande. Rire de la sortie d’un gaz ou rire d’un musulman par mĂ©pris envers lui. Le refus de tĂ©moigner. Et ne pas rendre le salam lorsqu’il t’es obligatoire de le rendre. Il est interdit Ă  qui accomplit le hajj ou la ^oumrah de faire un baiser lorsque c’est avec dĂ©sir, et Ă  qui fait un jeĂ»ne obligatoire lorsqu’il craint l’émission de maniyy, et de faire un baiser Ă  quelqu’un Ă  qu’il n’est pas permis d’en faire. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s de l’oreille, il y a Ă©couter la conversation de gens qui nous cachent ce qu’ils disent, le son des flĂ»tes et du tambĂ»r, qui est un instrument ressemblant au luth, et tout autre son comme Ă©couter la mĂ©disance, ou les paroles rapportĂ©es des uns aux autres pour provoquer la discorde, et ce qui est du mĂȘme genre, contrairement, au cas oĂč on est amenĂ© malgrĂ© soi Ă  entendre l’une de ces choses interdites et qu’on l’a rĂ©prouvĂ©e. Il est obligatoire de l’interdire si on en a la capacitĂ©. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s des mains, il y a tricher en mesurant un volume, un poids ou une longueur et y a de mĂȘme piller, ces pĂ©chĂ©s, il y a frapper sans droit. Se laisser soudoyer ou soudoyer quelqu’ vif un animal sauf s’il cause une nuisance et qu’il s’avĂšre que c’est le seul moyen de la faire cesser, mutiler un animal. Jouer aux dĂ©s et pratiquer tout ce qui comporte une mise, y compris les jeux d’enfants avec des noix ou des osselets, jouer avec des instruments de divertissement interdits tels que le tambĂ»r, le rebec ou les instruments Ă  vent et Ă  une personne ajnabiyyah volontairement, sans rien qui empĂȘche le contact direct. Et de mĂȘme en prĂ©sence d’un vĂȘtement si c’est avec dĂ©sir, tout comme avec quelqu’un de mĂȘme sexe ou bien une mahram. Figurer un ĂȘtre dotĂ© d’une Ăąme. S’abstenir de payer la zakat ou une partie de la zakat aprĂšs avoir Ă©tĂ© dans l’obligation de la verser et avoir eu la capacitĂ© de s’en acquitter, ou payer quelque chose qui ne permet pas de s’en acquitter ou bien la donner Ă  quelqu’un qui n’y a pas droit. Priver un employĂ© de son salaire. Priver quelqu’un qui manque d’une chose vitale de ce qui rĂ©pond Ă  son besoin et ne pas sauver quelqu’un qui se noie, sans excuse valable dans les deux cas. Ecrire ce qu’il est interdit de dire. Tromper, qui est l’opposĂ© de conseiller, cela comprend la tromperie par les gestes, les paroles et les attitudes. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s du sexe, il y a la fornication et la eux il y a, avoir un rapport avec des animaux, mĂȘme s’ils sont Ă  la sortie du maniyy par la main de quelqu’un d’autre qu’une femme avec laquelle le rapport est un rapport pendant les rĂšgles ou les lochies, ou bien aprĂšs leur interruption mais avant le ghousl, ou encore aprĂšs un ghousl fait sans intention rituelle de la part de celle qui doit faire le ghousl, ou si une des conditions du ghousl faisait sa zone de pudeur devant quelqu’un Ă  qui il est interdit de la regarder ou quand on est seul et sans face ou tourner le dos Ă  la qiblah en urinant ou en dĂ©fĂ©quant, en l’absence d’un obstacle moins haut que deux tiers de coudĂ©es ou Ă  plus de trois coudĂ©es de soi, sauf dans un lieu prĂ©parĂ© pour cela, Ă  savoir un endroit amĂ©nagĂ© pour faire ses sur une dans une mosquĂ©e mĂȘme dans un rĂ©cipient ou sur quelque chose d’ la circoncision pour quelqu’un qui est pubĂšre, mais c’est permis selon l’Imam Malik. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s du pied, on compte marcher pour commettre un pĂ©chĂ©, comme marcher pour dĂ©noncer injustement un musulman ou pour l’ pour qui il incombe de s’acquitter d’un droit envers autrui, comme une condamnation, une dette ou une charge obligatoire, la bienfaisance due envers ses parents ou l’éducation de ses pavaner en marchant, enjamber les gens par-dessus leurs Ă©paules sauf pour combler un espace devant quelqu’un qui fait la priĂšre lorsque les conditions de la dĂ©limitation de l’espace devant lui sont la jambe vers le livre du Qour’an s’il n’est pas toute marche pour commettre un pĂ©chĂ© ou qui entraĂźne un manquement Ă  une obligation. ChapitreParmi les pĂ©chĂ©s du corps, il y a faire un grand tort Ă  ses les liens avec ses proches Ă  son teindre les cheveux en les hommes se fĂ©minisent et l’ traĂźner son vĂȘtement par suffisance c’est-Ă -dire le porter en dessous de la cheville par du hennĂ© sur les mains et les pieds pour l’homme sans un rituel obligatoire sans un hajj ou une ^oumrah un croyant pour se moquer de les dĂ©fauts des toutes relations avec un musulman plus de trois jours sauf en cas d’excuse compagnie Ă  un mauvais innovateur ou Ă  un grand pĂȘcheur pour le divertir alors qu’il fait ses grands de l’or, de l’argent mĂ©tal, de la soie ou quelque chose dont la soie fait la majoritĂ© du poids pour un homme pubĂšre exceptĂ© la bague en seul Ă  seul avec une personne ajnabiyyah de sorte Ă  ne pas ĂȘtre vus par une tierce personne devant qui on Ă©prouverait de la pudeur, que cette derniĂšre soit de sexe masculin ou une femme voyager sans mahram ou sans quelqu’un ayant un statut analogue au mahram. Faire travailler une personne libre de un saint pour Ă  commettre un diffusion de fausses des ustensiles en or ou en argent ou bien les un acte obligatoire ou l’effectuer en omettant un pilier, une condition ou bien en faisant quelque chose qui l’ pas effectuer la priĂšre du vendredi alors qu’elle nous est obligatoire, mĂȘme si on fait la priĂšre du dhouhr. DĂ©laisser les assemblĂ©es des priĂšres obligatoires, pour les habitants d’un lieu tel qu’un l’accomplissement d’un devoir jusqu’aprĂšs son temps sans excuse sur un gibier avec ce qui tue par son impact et rapidement c’est-Ă -dire avec quelque chose comme un un animal pour une femme en pĂ©riode d’attente post-maritale, ne pas rester Ă  domicile sans excuse pas respecter le deuil de son la mosquĂ©e avec quelque chose d’impur, et la salir mĂȘme avec quelque chose de le hajj aprĂšs avoir eu la capacitĂ© de l’accomplir jusqu’à ce qu’on pour celui qui pense ne pas pouvoir rembourser sa dette grĂące Ă  des ressources clairement envisagĂ©es, sans que son crĂ©ancier ne soit au pas accorder un dĂ©lai supplĂ©mentaire au dĂ©biteur en de l’argent pour un de considĂ©ration envers le livre du Qour’an, envers toute science de la religion. Permettre Ă  un enfant qui a atteint le discernement de toucher le Mous–haf. Changer les bornes d’un terrain, c’est-Ă -dire repousser les limites de sĂ©paration entre sa propriĂ©tĂ© et celle de quelqu’un d’ de la rue en y faisant ce qu’il n’est pas permis d’y un objet empruntĂ© pour un autre usage que celui pour lequel on a Ă©tĂ© autorisĂ©, ou prolonger un emprunt au-delĂ  de la durĂ©e autorisĂ©e ou le prĂȘter Ă  un rĂ©server les choses d’utilitĂ© publique comme le pĂąturage, le ramassage du bois dans un terrain sans propriĂ©taire, le sel de son gisement, les deux monnaies prĂ©cieuses ou autre et l’eau pour la boire, celle qui se renouvelle, c’est-Ă -dire qui est naturellement remplacĂ©e lorsqu’on la un objet trouvĂ© avant d’avoir rĂ©alisĂ© l’annonce dans les conditions dans une assemblĂ©e en Ă©tant tĂ©moin d’une chose rĂ©prĂ©hensible, lorsqu’on n’a pas d’excuse l’intrus dans les banquets, c’est-Ă -dire rentrer sans permission ou quand les hĂŽtes ont permis d’entrer par les femmes, sortir si elles passent auprĂšs des hommes dans le but de les la rebeller contre l’Imam comme ceux qui se sont rebellĂ©s contre ^Aliyy et qui l’ont combattu. Al-Bayhaqiyy a dit Tous ceux qui ont combattu ^Aliyy sont des rebelles ». Ach-Chafi^iyy a dit la mĂȘme chose avant lui, mĂȘme s’il y avait parmi eux certains des meilleurs compagnons, parce qu’il n’est pas impossible qu’un saint commette un pĂ©chĂ©, mĂȘme un grand la charge d’un orphelin, d’une mosquĂ©e, la fonction de juge ou ce qui est de cet ordre, tout en sachant qu’on est incapable d’assumer cette un injuste et le protĂ©ger contre celui qui veut exercer son droit sur les les pĂ©chĂ©s du corps, il y a aussi ne pas honorer un jeĂ»ne en continu, qui est de jeĂ»ner deux jours ou plus sans prendre quelque chose qui rompe le la place de quelqu’un et la bousculade qui fait du tort, ou encore prendre son tour. ChapitreSe repentir immĂ©diatement de ses pĂ©chĂ©s est un devoir pour chaque personne consiste Ă  regretter son pĂ©chĂ©, Ă  cesser de les faire et se rĂ©soudre Ă  ne plus y le pĂ©chĂ© est d’avoir dĂ©laisser une obligation, on la rattrape, ou une enfreinte au droit d’un ĂȘtre humain, on fait rĂ©paration, sinon on cherche Ă  obtenir son pardon. FinDe ce que Allah a prĂ©destinĂ© d’ĂȘtre rassemblĂ©Al-MoukhtasarL’AbrĂ©gĂ© de ^Abdou l-Lah Al-HarariyyGarantissant la connaissance Indispensable de la ReligionSoubhana Rabbika Rabbi l-^izzati ^amma yasifoun Wa salamoun ^ala l-moursalinWa l-hamdou lil-LahiRabbi l- ^Alamin SixiĂšme Ă©ditionRabi^ou l-Awwal 1441Novembre 2019Traduction française prĂ©parĂ©e par la Section d’Étude et de Recherches Islamiques del’Association des Projets de Bienfaisance Islamique en France Note de Waddle Bonjour mes frĂšres, je vous copie ici, un document "prĂ©cieux". Il s'agit d'un cours que le pasteur d'une Ă©glise Ă©vangĂ©lique, oĂč j'Ă©tais avant, a donnĂ© aux "ouvriers" c'est Ă  dire ceux qui servaient Ă  l'Ă©glise. Je prĂ©cise que je publie ce texte, non pas pour valider, mais pour dĂ©noncer les enseignements tordus et douteux qui pullulent aujourd'hui dans les Ă©glises Ă©vangĂ©liques. Ce texte est un cas d'Ă©cole, et je crois qu'il est assez Ă©difiant et effarant. Je vous laisse le lire, sans mettre le moindre commentaire. Le texte parle de lui mĂȘme. Par contre, j'ai pris la libertĂ© de surligner ou souligner quelques parties. Bonne lecture. Waddle. THEME LES DIFFERENTES PORTES SPIRITUELLES La plus haute des portes, c’est le jour. La plus grande porte est le vendredi et elle contrĂŽle les autres jours de la semaine. Un jour est une porte qui vient de s’ouvrir. Le dimanche est une autre porte, raison pour laquelle Jesus-Christ a dĂ©cidĂ© de mourir le vendredi et ressusciter le dimanche. C’est pour avoir accĂšs Ă  la terre et au ciel. La porte du vendredi est appelĂ©e la porte du Liban car c’est ce jour que les musulmans font les sacrifices et les priĂšres. C’est aussi la veille du 7Ăšme jour. Pour possĂ©der les portes des finances, il faut possĂ©der le vendredi. L’Islam contrĂŽle toutes les portes. Dans le Kaaba la pierre noire qu’adorent les musulmans, il y a un serpent, et ce serpent, on ne l’adore que le vendredi Zacharie Le Liban, c’est le vendredi qui ouvre ses portes. Liban signifie Islam, quand la bible parle du Liban, elle parle de l’Islam. Le cĂšdre, ce sont les fondements, EsaĂŻe Dans ce monde, il faut donner des ordres, il faut s’adresser Ă  des hommes puissants qui sont assis sur ces portes. Ces dieux qui gouvernent le vendredi doivent ouvrir ces portes. Celui qui veut entrer dans sa bĂ©nĂ©diction dira au Seigneur Seigneur, permet que les portes de ma vie s’ouvrent en ce jour, je dĂ©clare ma bĂ©nĂ©diction. Pour cela, l’ordre doit ĂȘtre doit ĂȘtre donnĂ© Ă  celui qui garde et contrĂŽle tes portes. Ces portes sont ouvertes pour une quantitĂ© de personnes, aprĂšs elles se ferment. Ordonne Ă  ces dieux assis sur tes portes. Il faut avoir la rĂ©vĂ©lation pour t’inclure t’introduire parmi ces personnes qui vont entrer par ces portes. Ce Dieu du vendredi contrĂŽle la fornication, l’impudicitĂ©, la mort. Exemple on constate que c’est le vendredi que les gens sont le plus poussĂ©s Ă  commettre la fornication et l’impudicitĂ©. Si tu habites Ă  cĂŽtĂ© d’un hĂŽtel, tu seras influencĂ© par le caractĂšre de l’hĂŽtel Ă  commettre la fornication et l’impudicitĂ©. Les portes du vendredi contrĂŽlent tous les autres jours, c’est pourquoi dĂšs le vendredi soir, Dieu a ordonnĂ© que le sabbat soit prĂ©parĂ©. Si tu n’as pas pu prendre cette porte de vendredi Ă  temps Ă  l’heure, tu devras attendre la semaine prochaine. Il faut commencer Ă  ouvrir ces portes dans la priĂšre Ă  partir de 3h du matin et avant 13 heures. Dans le monde astral, il faut se lever tĂŽt pour possĂ©der. Il faut aussi prendre les portes du dimanche, car JĂ©sus a ouvert les portes du vendredi quand le voile s’est dĂ©chirĂ© dans le temple EsaĂŻe Jean Esaie Psaumes JĂ©sus est la porte de rĂ©vĂ©lation pour les chrĂ©tiens. Il faut ordonner aux cieux de rĂ©pandre la nuĂ©e pour laisser couler la justice, la pluie, les bĂ©nĂ©dictions, la parole de Dieu. Pour ordonner cela, il faut ouvrir les portes entre 2 et 3h du matin, il faut parler au ciel et Ă  la terre, rĂ©clamer la descente des nuĂ©es. Dieu, laisse tomber ta nuĂ©e, Dieu ouvre les portes, toutes les portes de bĂ©nĂ©dictions. Tu peux aussi ordonner aux portes de la ville oĂč tu rĂ©sides de s’ouvrir Ă  ton profit Porte de cette ville de Douala, ouvre toi de toi-mĂȘme Ă  mon profit. JĂ©sus est descendu aux enfers pour arracher les clĂ©s de toutes les portes Ă  Satan. Christ a rĂ©clamĂ© la clĂ© de toutes les portes. Quelles sont les conditions pour permettre aux portes de s’ouvrir ? 1Ăšre condition C’est d’avoir les mains propres et un cƓur pur. Psaumes JĂ©sus a utilisĂ© les 2 grandes portes, vendredi et dimanche et ces portes sont importantes pour la dĂ©livrance. Selon le calendrier juif, pharaon a ordonnĂ© le vendredi soir Ă  Israel de sortir d’Egypte. Les portes de la richesse s’ouvrent le vendredi. Les portes de la gloire s’ouvrent le dimanche. Si tu veux rentrer dans ta bĂ©nĂ©diction, commence par possĂ©der ces portes. Si on parle Ă  la porte du vendredi, il faut lui donner l’ordre de transmettre ces ordres Ă  tous les autres vendredi. Le dimanche, c’est la porte de la consĂ©cration entre toi et ton Dieu. A l’origine, les portes sont prĂ©vues pour les enfants de Dieu, mais Abraham a fait entrer Isamel dans son hĂ©ritage. Quand tu fais entrer un Ismael dans ta vie, tu lui donnes ton hĂ©ritage. Les priĂšres pour ouvrir et possĂ©der les portes Faire des veillĂ©es de priĂšres Ă  des heures de la nuit. Tu dors de 20h Ă  minuit, et Ă  2h, tu es debout pour prier. DĂ©clare des paroles dans ta vie. Ordonne que les portes du ciel s’ouvrent, que les entrailles du ciel s’ouvrent. Demande Ă  Dieu d’enlever la complaisance dans nos cƓurs et que nos cƓurs s’engagent envers lui et son Ɠuvre. Pour ouvrir les portes, il nous faut nous tenir aux diffĂ©rentes portes pour l’ouvrir Esaie On se doit de se tenir sur la porte et donner l’ordre Ă  celui qui est assis sur notre porte Au nom de JĂ©sus, je me tiens devant la porte de
., pour l’ouvrir. Celui qui est assis sur la porte est l’homme fort et il te revient impĂ©rativement de nommer les personnes qui vont entrer avec vous dans la porte du vendredi. Exemple vous qui vous tenez Ă  la porte du Vendredi, ouvrez la porte pour que moi Ruth et mon Ă©poux Calvin et mes enfants nous puissions entrer pour recevoir notre dĂ©livrance, notre succĂšs, notre vie maritale, fĂ©conditĂ©, bĂ©nĂ©diction spirituelle. La porte du Liban a des oreilles et elle entend. Dieu change notre nom afin de nous bĂ©nir, car le nom permet Ă  la personne d’ĂȘtre identifiĂ©e devant les portes du ciel. Les musulmans savent l’importance du vendredi et font des priĂšres le vendredi. Il faut nommer les choses qui doivent vous suivre dans ces portes. Par exemple C’est moi Ruth qui entre avec mes enfants et toute ma maison, mais l’échec, la sorcellerie, le cĂ©libat, la pauvretĂ©, tu ne rentres pas. Tout ce qui est nĂ©gatif ne doit pas entrer avec nous. Une fois que cette porte est ouverte, l’esprit familier qui me suit depuis longtemps, tu ne rentres pas au nom de JĂ©sus ! L’esprit familier, tout le monde a cela dans les gĂšnes. Il va de gĂ©nĂ©rations en gĂ©nĂ©rations. L’esprit familier est l’esprit qui transporte et introduit les malĂ©dictions, les actes de nos ancĂȘtres Ă  la gĂ©nĂ©ration suivante. Il dĂ©tient tout sur nos vies, l’esprit familier fait le rapport Ă  Satan. Il lui donne toutes les informations journaliĂšres, prĂ©sentes, passĂ©es. C’est l’esprit familier qui nous accuse des choses passĂ©es OsĂ©e Les portes spirituelles et les portes d’entrĂ©es Les canaux que les dĂ©mons utilisent pour nous affecter sont dĂ©crits comme des portes d’entrĂ©es, des portes spirituelles. La porte spirituelle est le canal Ă  travers lequel on obtient la faveur divine Ezechiel La chaudiĂšre est utilisĂ©e par les sorciers, pour prĂ©parer une personne. Le sorcier dĂ©signĂ© cuisine toutes les affaires de cette ville. Les sorciers se rassemblent autour de la chaudiĂšre. On te lance une chaudiĂšre et elle te ronge Ă  petit feu. Chaque ville a sa chaudiĂšre. Parler Ă  la chaudiĂšre de la ville, ordonner Ă  la chaudiĂšre de la ville de s’arrĂȘter dans notre vie. Ordonner que cette chaudiĂšre soit brisĂ©e dans ta vie. La chaudiĂšre peut ĂȘtre un arbre, le rock, le bord des riviĂšres, la terre oĂč on a enterrĂ© certaines personnes, les profondeurs marines, certains lieux publics sont des chaudiĂšres dans la ville et le pays. Ce sont des points de contact des dĂ©mons dans la ville. Quelle est la chaudiĂšre dans ta maison ? Pour prendre possession d’une ville ou d’un pays Il faut se tenir Ă  la frontiĂšre de cette ville pour faire des dĂ©clarations prophĂ©tiques. Exemple. JĂ©sus est mort hors de JĂ©rusalem pour prendre possession d’une maison. Il faut se tenir Ă  la frontiĂšre de cette maison et proclamer des paroles prophĂ©tiques HĂ©breux Il faut se tenir Ă  la porte de la ville et prendre possession de cette ville. Si tu prends la porte d’une ville, tu possĂšdes cette ville. Pour que la prophĂ©tie s’accomplisse, il faut aller hors de la ville, Ă  la frontiĂšre de la ville, pour en possĂ©der les lieux Ezechiel Comment reconnaĂźtre les portes ? Comme la vie de la citĂ© a des portes, c’est ainsi que la vie d’un ĂȘtre est contrĂŽlĂ©e par des portes. Exemple. Les portes d’entrĂ©es dans la vie de Salomon c’était les femmes. Les portes d’entrĂ©es, c’est ce que vous aimez le plus 3 Jean Le diable sait que le mal est une porte. Si tu contrĂŽles les portes physiques d’une personne, tu peux dĂ©truire les esprits qui prennent possession de sa vie. Les diffĂ©rentes portes La route qui conduit Ă  la ville est une porte. Exemple Axe lourd Douala-YaoundĂ©. Tout chemin qui mĂšne quelque part est une porte. Pour prendre possession d’une citĂ©, il faut procĂ©der Ă  une marche prophĂ©tique sur tous les lieux de la citĂ© surtout dans la nuit. Cela va influencer les peuples de la ville. A la croisĂ©e des chemins, trĂšs souvent les sacrifices sont dĂ©posĂ©s pour possĂ©der les portes spirituelles. En faisant ces sacrifices, on ouvre des portes pour possĂ©der la ville Mathieu Les vents qui soufflaient ici Ă©taient des esprits impurs. JĂ©sus a marchĂ© sur les eaux, il a rĂ©cupĂ©rĂ© le pouvoir qu’il y avait dans l’eau. Les arbres avec de grands troncs, il y a des portes Ă  l’intĂ©rieur, les creux des arbres sont des centres d’attraction pour les dĂ©mons. Les autels, les lieux de sacrifices, les lieux de rĂ©union du village. Lorsqu’on batit un autel satanique, on ouvre une porte pour que Satan entre dans la ville, la citĂ©, la vie de ceux qui habite les lieux. Les libations On ouvre une porte aux puissances des tĂ©nĂšbres esprits impurs lorsqu’on fait une libation. On rassemble ainsi des esprits impurs dans la famille. Il y a des portes spirituelles dans les airs, la terre, la mer. Dans les airs lors des vols d’avion, les mouvements de dĂ©pressurisations et de presurrisations, ce sont des portes qui s’ouvrent dans votre vie. Les quais au bord de l’eau ce sont des portes en bordure de la mer Ă  des esprits marins pour venir sur la terre. Psaumes La porte de la justice qui ouvre la vie des chrĂ©tiens, c’est cette porte qui nous maintient en vie. Une citĂ© est contrĂŽlĂ©e depuis ses portes. Toutes les portes de la terre peuvent se briser par la puissance de l’onction de Dieu Amos les portes des cieux, le monde des astres, la porte des Ă©toiles. Esaie Le vent a aussi ses portes, elles peuvent ĂȘtre utilisĂ©es contre les puissances des tĂ©nĂšbres. Vous pouvez envoyer un dĂ©mon dans un fleuve. Les fous ils sont des portes utilisĂ©es par les sorciers et leurs confrĂšres, ils sont comme des symboles d’autoritĂ© pour contrĂŽler la citĂ©. DĂšs qu’il y a un fou dans une famille, cela ouvre des portes au dĂ©mon d’échec, dans un fou, il y a des lĂ©gions. Dans une ville, plus nous avons de fous, plus l’autoritĂ© des puissances des tĂ©nĂšbres est accrue. La folie est un point de contact de la sorcellerie. Le fou est un agent satanique. Quand vous voyez un fou, vous pouvez demander Ă  Dieu de briser toute puissance de manipulation exercĂ©e contre le fou. Ils sont comme des marches pour accomplir les desseins diaboliques. Les photos des morts, ce sont des portes pour faire entrer les esprits de mort. Les gravures, les images sont des portes gravissimes. Les documents d’occultisme des satanistes, le mysticisme ce sont des portes qui attirent les dĂ©mons pour influencer la maison, il permet d’ériger un autel. Toute chose dĂ©diĂ©e Ă  Satan dans la maison est une porte pour attirer des dĂ©mons. Exemple amulettes oĂč il y a des images de dragon, les canaris prĂ©parĂ©s pour votre guĂ©rison, les bagues avec des images d’animaux. L’eau qu’on adore dans les villages et les fĂ©tiches de toute sorte. Les trĂŽnes ce sont des portes, les trĂŽnes des chefs de village traditionnels, le lieu oĂč est assis le chef du village constitue une porte. Dans chaque trĂŽne, il y a un autel. Les chefferies traditionnelles sont des portes ouvertes Ă  l’enfer. Pour dĂ©truire les portes de l’enfer, il faut apporter des onctions prophĂ©tiques, pour racheter le village. Action prophĂ©tique, dĂ©clarer des paroles prophĂ©tiques. Faire une offrande de rachat auprĂšs d’un serviteur de Dieu pour que votre village soit rachetĂ©. Les lieux d’intronisations, lieux de rassemblement pour Ă©lire un nouveau chef. Il y a des hommes qui constituent des portes, des autels dĂ©moniaques vivants cela peut ĂȘtre la porte de la sirĂšne des eaux, porte de murmures, etc
 OUVRIR LES PORTES DU LIBAN Apocalypse La bible dit qu’il y a 4 anges dans les 4 vents du monde. Chaque vent est utilisĂ© pour un travail bien dĂ©terminĂ©. Exemple Pour la mer rouge, Dieu a utilisĂ© le vent de l’est pour sortir les israelites de l’Egypte. Dieu a demandĂ© Ă  un vent de s’ouvrir et d’agir. On distingue 2 types de vents le vent de l’est ou vent de l’orient, le vent de l’occident ou vent de l’ouest. Le vent de l’est ou vent de l’orient C’est une arme pour dĂ©truire crĂ©er des problĂšmes, faire la guerre Le vent de l’occident C’est une arme pour apporter la vie, la bĂ©nĂ©diction, la solution, les miracles. Tout chrĂ©tien peut demander aux vents le mystĂšre cachĂ©. Chaque vent a son ange, et les 4 anges contrĂŽlent la vie du monde entier. Les anges contrĂŽlent le vent. Il y a diffĂ©rentes maniĂšres de possĂ©der les portes Psaumes 24 .Ordonner aux portes de s’ouvrir elles mĂȘme. C’est Christ qui a pris la porte de Jerusalem. Esaie Il faut ordonner aux hommes forts assis sur les portes, de les ouvrir Zacharie Ordonner Ă  l’objet lui-mĂȘme d’ouvrir les portes. Exemple le pays, l’église, parler aux cauris d’ouvrir la porte qui est en face de vous. Il faut absolument que chaque chrĂ©tien prenne les portes de l’Islam, la mer, la terre du pays pour entrer dans les portes du royaume de Satan pour possĂ©der ce que Satan nous a volĂ©. Chaque citĂ©, ville, ou chaque pays a sa porte. Une porte s’est ouverte sous le couvert de Dieu lui-mĂȘme, appelĂ© la porte du repos de Dieu, ou encore la porte de l’église, ou la porte du nouveau testament. Le jour de l’ouverture des portes du ciel, le vendredi est consacrĂ© comme la porte de l’Islam. C’est pour cela que pour ouvrir les portes du chiffre 7, il faut commencer par ouvrir les portes du vendredi et libĂ©rer les portes de l’islam et de ses manipulations. Parler de l’islam est Ă©gale Ă  parler du nord, du dĂ©sert, du Liban d’oĂč toutes ces guerres dans la bible. Tout dĂ©sert que tu traverses dans ta vie est Ă©gal Ă  l’esprit de mort, de sĂšcheresse, et de quelque chose de vide. Les forteresses de l’islam sont fondĂ©es sur la mort, les musulmans utilisent la religion pour inviter l’esprit de mort pour contrĂŽler les vies. COMMENT LES MUSULMANS UTILISENT LE VENDREDI Les musulmans prennent le vendredi pour lier soit une Ă©glise, soit une institution. Le vendredi Ă  l’origine est un jour pour libĂ©rer une personne, renouveler l’alliance dans la vie de quelqu’un. Chaque annĂ©e, en tant que chrĂ©tien, nous devons renouveler notre alliance avec Dieu 1 Rois 18, dĂ©truire l’ancienne alliance. Les portes du Liban sont des forteresses que l’église n’arrive pas Ă  contrĂŽler. La porte du vendredi est contrĂŽlĂ©e par Venus, Dieu grec de la guerre qui verse le sang et est versĂ©e dans l’impudicitĂ©, la fornication, l’adultĂšre d’oĂč la polygamie des musulmans. Genese Tout chrĂ©tien a le pouvoir de contrĂŽler les astres pour rĂ©gner sur le ciel et la terre. Le soleil, la lune, les Ă©toiles La rotation du soleil qui compte les annĂ©es cherche Ă  faire avancer les choses et la lune est manipulĂ©e par Satan et sa rotation autour de la terre dĂ©cide de ce qui va arriver. La chaleur du soleil influence les arbres qui poussent, la vĂ©gĂ©tation a besoin de la chaleur du soleil pour grandir Seigneur donne moi de contrĂŽler le pouvoir du soleil et la lune. Il existe 2 types de temps Chronos et kyros. Le kyros est le temps accompli, or la grossesse d’une femme est contrĂŽlĂ©e par la lune qui est aussi contrĂŽlĂ©e par un esprit qui est la reine du ciel. Chaque annĂ©e, il y a un accroissement dans ta vie et cela est contrĂŽlĂ© par le soleil qui est contrĂŽlĂ© par un dieu. Le soleil fixe le temps et la lune l’accomplit. Tout ce dont tu as besoin est liĂ© au temps. Pour atteindre une bĂ©nĂ©diction pleine, il faut libĂ©rer les influences soleil, lune sataniques sur votre vie. Demandez Ă  la rosĂ©e de bĂ©nĂ©dictions de descendre sur vous LĂ©vitique 25. Tous les matins, la rosĂ©e descend des cieux. Demande Ă  ce qu’elle soit une bĂ©nĂ©diction pour ta vie. Daniel Constatons ici que Satan vient espĂ©rer changer le temps. C’est Dieu qui change le temps et les circonstances. Les voies des pouvoirs tĂ©nĂ©breux Esaie Les diffĂ©rents jours de la semaine et leurs caractĂ©ristiques Le 1er jour de la semaine c’est le dimanche. Ce jour est dĂ©diĂ© au dieu soleil Amonrah. Apocalypse Le dimanche, nous devons demander Ă  Christ de commencer la semaine avec nous. Mathieu demander Ă  ce que l’église et notre maison commencions la semaine avec Christ. Le 1er jour de la semaine est le jour de la rĂ©surrection, et ce jour manifeste la puissance de Dieu. Tout chrĂ©tien doit demander Ă  Dieu de manifester sa puissance dans tous les aspects de sa vie et de ressusciter tout ce qui semble mort. Tu as besoin de ressusciter certains aspects de ta vie pour entrer dans les autres jours. Demander au Seigneur que la vie de Dieu nous soit rendue par son Esprit de rĂ©surrection qui vit en nous. Romains Chaque chrĂ©tien doit expĂ©rimenter la rĂ©surrection de Christ. Philippiens en donnant forme Ă  la rĂ©surrection de Christ dans sa vie. La rĂ©surrection produit l’effet contraire de ce que tu Ă©tais. Apocalypse Toute rĂ©surrection doit passer par le feu. Psaumes Si tu ne meurs pas, ta chair ne meurt pas, le dĂ©sir de la chair ne meurt pas en toi, c’est que tu es encore dans la tombe, car le dĂ©sir de la chair doit mourir en toi. La rĂ©surrection se passe le 1er jour de la semaine. Le 1er jour de la semaine doit avoir un impact, un effet sur ma vie. Il faut que je sois ressuscitĂ© pour que mes agissements soient contraires aux autres. C’est ce qui se passe dans la vie des lĂ©vites qui deviennent un exemple pour le peuple. Par manque de rĂ©surrection, il n’y a aucune rĂšgle dans notre vie. En tant que chrĂ©tien, il doit y avoir des principes dans ta vie, ta maison, dans l’Eglise. La rigueur vient de Dieu. Le Soleil loue l’Eternel en ce jour avec les cieux, ils racontent la gloire de Dieu. Psaumes Le soleil marque les saisons, les jours de nos vies et la vie de l’église en respectant le schĂ©ma de Dieu. Psaumes Deuteronome Ezechiel Quel est le principe de loi que tu appliques chez toi ? Tout chrĂ©tien doit prier pour combattre ceux qui tirent du soleil, leur force pour faire du mal. Malachie En tant que chrĂ©tien, nous devons prier pour que le soleil agisse selon le plan de l’éternel et qu’il annonce le salut. Le 2Ăšme jour de la semaine lundi. Il est dĂ©diĂ© Ă  la divinitĂ© dans la mythologique grecque, la lune. ArtĂ©mis divinitĂ© de la chastetĂ©, de la procrĂ©ation, est liĂ©e Ă  la reine du ciel ainsi qu’à Jezabel et Ă  d’autres reines. CaractĂšre du lundi il est appelĂ© Ă  influencer la menstruation chez les femmes. ConsidĂ©rĂ©e comme une vierge chasseresse d’ñmes. DerriĂšre toute stĂ©rilitĂ©, il y a un dĂ©mon lunaire. Observations de certains phĂ©nomĂšnes en pĂ©riode de pleine lune les femmes sont lunatiques, Ă©pileptiques, etc
, dans EsaĂŻe 47. Nous devons combattre contre la reine du ciel et prophĂ©tisons contre elle et les idoles qui permettent son influence sur la terre Ă  partir des versets suivants JĂ©rĂ©mie Nous devons libĂ©rer les chasseurs de l’Eternel contre elle Psaumes Psaumes Psaumes Genese Deuteronome Prier comme le dimanche mais en insistant sur les aspects de la lune. Nous devons prier pour entrer en possession des meilleurs fruits du mois, les meilleurs dons du ciel. Esaie Esaie Chaque dĂ©but de mois, nous devons le dĂ©dier Ă  l’Eternel, ainsi, il jugera les rebelles. Chaque mois porte une grossesse, soit une malĂ©diction, soit une bĂ©nĂ©diction. Change l’atmosphĂšre de ton mois, brise toute malĂ©diction. On ne prend pas possession de n’importe quoi. Exemple, si je cultive la terre, je prendrais possession de la pluie, d’oĂč la pluie de l’arriĂšre saison est importante. Que chaque chrĂ©tien possĂšde les meilleures bĂ©nĂ©dictions divines et terrestres. Job Nous devons donner des ordres Ă  l’aurore pour contrĂŽler le jour qui arrive pour secouer les mĂ©chants et leur ĂŽter la lumiĂšre. Job Remodelons la terre et tout ce qu’elle renferme de sorte qu’elle revienne dans les plans de Dieu. Ezechiel C’est Ă  nous de parler au sol par le pouvoir de Christ que nous avons reçu. Remodelons la terre. C’est Ă  4h-5h du matin que tu prends possession de l’aurore le jour cette journĂ©e, je dois ĂȘtre bĂ©ni, que l’onction de Dieu coule dans ma vie, journĂ©e, soumets toi Ă  mes ordres. Le 3Ăšme jour Mardi. Il est dĂ©diĂ© Ă  la divinitĂ© de Tyr et de Thus qui sont dans la mythologie, le dieu de la guerre, ce qui correspond Ă©galement Ă  la planĂšte Mars. Exode Psaumes Mardi a Ă©tĂ© tirĂ© de la puissance de l’Eternel comme vaillant guerrier, celui qui est notre force, notre secours. Demandons lui de briser toutes armes forgĂ©es contre nous Eglise, maison, famille. Jadis, les rois et les seigneurs de guerre choisissaient ce jour pour les grandes batailles. C’est pourquoi nous pouvons constater que la reprise se fait plutĂŽt le mardi. Exode Esaie Psaumes Proclamons donc tous les mardis que tous les hauts lieux disparaissent devant nous, devant notre maison. Que le souffle de Dieu recouvre d’eau tout pharaon dans notre vie, nos Ă©glises. Prions Dieu de se lever et que nos ennemis se dispersent. Psaumes Psaumes Zacharie Nous devons donc prier pour renouveler nos forces et nous entraĂźner au combat afin que Dieu fasse de nous son cheval de bataille. Nous pouvons nous appuyer sur ces passages Jeremie Jeremie et demander Ă  Dieu de nous faire revenir en victoire. Nous devons ouvrir les mardis l’arsenal de guerre de l’Eternel pour combattre. Job Nous devons demander Ă  Dieu d’anĂ©antir les projets des hommes rusĂ©s et de les prendre dans leurs filets de ruse. Le mardi est dĂ©diĂ© aux esprits et aux dĂ©mons. Job Job Sur ce verset, nous devons demander Ă  Dieu ou combattre nous mĂȘme tout agent du diable postĂ© pour nous surveiller esprit familier, esprit de gĂ©nĂ©ration et autres
 Le 4Ăšme jour de la semaine Mercredi. DĂ©diĂ© au Dieu Woodin Wootan, dieu principal de la mythologie scandinave. Il est considĂ©rĂ© comme le crĂ©ateur de l’univers mensonge. Ce jour est dĂ©diĂ© au mercure Psaumes Ramenons le monde et ces habitants, son contenu Ă  Dieu Psaumes Prions pour que le royaume de Dieu prenne le contrĂŽle dans l’église, dans notre vie, 
 FIN DU MANUSCRIT Qu'est-ce qui a Ă©tĂ© créé d'abord les cieux ou la Terre ? Le Coran Ă©voque-t-il un ordre de succession entre diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de la crĂ©ation des cieux et de la Terre ?Il existe effectivement trois passages coraniques qui – du moins dans l'apprĂ©hension de leur seule littĂ©ralitĂ© zĂąhir – Ă©voquent un tel ordre il vaut mieux, pour apprĂ©hender plus facilement cet article, se munir d'une copie du Coran et d'y lire les versets qui vont ĂȘtre Ă©voquĂ©s 1 Le verset 29 de la sourate al-Baqara sourate 2 "Il est Celui qui a créé pour vous tout ce qui se trouve sur la Terre, puis thumma Il S'est Ă©tabli vers le ciel et fit d'eux sept cieux. Et Il est Celui qui Savant de toute chose" Coran 2/29.2 Les versets 9 Ă  12 de la sourate Fussilat sourate 41 "Dis "Renierez-vous, et donnerez-vous des Ă©gaux Ă , Celui qui a créé la Terre en deux pĂ©riodes, – VoilĂ  le Seigneur de l'univers –, et a placĂ© au-dessus d'elle des ancres, l'a bĂ©nie et lui a assignĂ© ses ressources en quatre pĂ©riodes, Ă©gales pour ceux qui interrogent. Puis thumma Il S'est Ă©tabli vers le ciel alors que celui-ci Ă©tait fumĂ©e, puis Il a dit Ă  celui-ci et Ă  la Terre "Venez, de grĂ© ou de force !" Ils dirent "Nous venons obĂ©issants." Il fit d'eux sept cieux en deux pĂ©riodes et Il rĂ©vĂ©la Ă  chaque ciel l'ordre qui lui revenait. Et Nous avons embelli le ciel le plus bas [ou le plus proche] par des lampes, et [celles-ci servent aussi] de protection. VoilĂ  l'ordre Ă©tabli par le Puissant, l'Omniscient" Coran 41/9-12.3 Les versets 27 Ă  33 de la sourate an-NĂązi'Ăąt sourate 79 "Est-ce vous qui ĂȘtes plus difficiles Ă  crĂ©er, ou le ciel ? Il l'a pourtant bĂąti. Il a Ă©levĂ© sa voĂ»te, puis l'a ordonnĂ©. Il a assombri sa nuit et fait sortir son jour montant. Et la Terre, aprĂšs cela ba'da dhĂąlika Il l'a Ă©tendue ; Il a fait sortir d'elle son eau et son pĂąturage ; et les montagnes Il les a ancrĂ©es. [Tout ceci] pour votre profit ainsi que celui de vos bestiaux" Coran 79/27-33.Le verset 2/29 sourate al-Baqara ainsi que le passage 41/9-12 sourate Fussilat Ă©voquent en premier la crĂ©ation de tout ce qui se trouve sur la Terre, et, aprĂšs la particule "thumma", la crĂ©ation des cieux. Ces deux passages semblent apparemment signifier que c'est la Terre – avec tout ce qui s'y trouve – qui ont Ă©tĂ© créés avant les passage 79/27-33 sourate an-NĂązi'Ăąt, lui, Ă©voque le ciel "que Dieu a créé", et, aprĂšs la formule "ba'da dhĂąlika", le fait que Dieu ait aplani dah'w la Terre, y ait fait apparaĂźtre eaux et cultures, et y ait Ă©rigĂ© des montagnes. Ce passage semble indiquer, lui, que ce sont les cieux qui ont Ă©tĂ© créés avant sinon la crĂ©ation mĂȘme de la Terre, du moins son aplanissement et l'Ă©rection des montagnes sur donc une premiĂšre apparente contradiction Ă  rĂ©soudre
Il y a aussi une seconde question dans de nombreux autres versets coraniques Ă©voquant la crĂ©ation des cieux et de la terre, il est dit qu'elle a eu lieu dans un total de "6 jours". Par contre, le passage 41/9-12, apprĂ©hendĂ© selon sa seule littĂ©ralitĂ© zĂąhir, avec la particule "thumma" s'y trouvant comprise comme signifiant une succession dans le temps tarĂąkhĂź fi-z-zamĂąn, communique un total de 8 jours !- A Une premiĂšre interprĂ©tation Dans le passage 41/9-10 sourate Fussilat, les 4 pĂ©riodes citĂ©es au verset 41/10 Ă  propos de la Terre incluent en fait les 2 premiĂšres pĂ©riodes qui avaient Ă©tĂ© citĂ©es au verset 41/9 Ă  propos de la crĂ©ation de cette Terre. C'est-Ă -dire que la crĂ©ation de la Terre elle-mĂȘme a durĂ© 2 pĂ©riodes ; et l'ancrage des montagnes sur la Terre, la bĂ©nĂ©diction envoyĂ©e sur la Terre, le fait d'y avoir disposĂ© eaux et plantes, cela n'a durĂ© en fait que 2 autres pĂ©riodes. Quand dans ce verset 41/10, il est dit que cela a durĂ© 4 pĂ©riodes, c'est par addition de tout ce qui a trait Ă  la Terre c'est l'interprĂ©tation de Ibn AbbĂąs SahĂźh ul-BukhĂąrĂź, n° 4537
C'est ainsi que cette interprĂ©tation rĂ©sout la seconde question Ă©voquĂ©e plus les Commentateurs de cette interprĂ©tation ont considĂ©rĂ© la particule "thumma" des deux passages coraniques 2/29 et 41/9-10 comme signifiant la succession dans le temps tarĂąkhĂź fi-z-zamĂąn. Ils en ont dĂ©duit que la Terre a Ă©tĂ© créée avant les cieux la crĂ©ation de la Terre a durĂ© 2 pĂ©riodes verset 41/9, puis les cieux ont Ă©tĂ© créés en 2 pĂ©riodes 41/12. Puis conformĂ©ment Ă  la formule "ba'da dhĂąlika" prĂ©sente au verset 79/30 – et comprise elle aussi comme signifiant la succession dans le temps – Dieu a, en 2 pĂ©riodes, fait sortir les eaux de la Terre, rendu les cultures possibles, et enracinĂ© les montagnes TafsĂźr Ibn KathĂźr, tome 1 p. 63, tome 4 p. 84, Al-BidĂąya wa-n-nihĂąya, 1/21.Ceci est l'avis de MujĂąhid et aussi celui de Ibn AbbĂąs TafsĂźr Ibn KathĂźr, tome 1 pp. 63-64.Nous avons alors ceci - durant 2 pĂ©riodes, la Terre est créée ; - durant les 2 pĂ©riodes suivantes, les cieux sont créés ; - durant les 2 derniĂšres pĂ©riodes, les montagnes sont ancrĂ©es sur la Terre, Dieu place dans cette derniĂšre Sa bĂ©nĂ©diction, et les eaux, les ressources et les plantes y sont Une seconde interprĂ©tation D'autres Commentateurs ont d'une part – Ă  l'instar de ceux de la troisiĂšme interprĂ©tation, que nous verrons plus bas – apprĂ©hendĂ© la particule "thumma" prĂ©sente en 2/29 et 41/9-10 comme dĂ©signant la succession dans le discours AnwĂąr ud-dirĂąyĂąt, p. 21. Par contre, ils ont apprĂ©hendĂ© la formule "ba'da dhĂąlika" du passage 79/27-33 comme dĂ©signant la succession dans le temps. Cependant, Ă  la diffĂ©rence de ceux de la troisiĂšme interprĂ©tation, eux ont dĂ©duit de ces passages coraniques que ce n'est pas seulement que la Terre a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e dah'w aprĂšs la crĂ©ation des cieux, c'est aussi qu'elle a Ă©tĂ© créée khalq aprĂšs les ils ont d'autre part – Ă  l'instar de ceux de la seconde interprĂ©tation – apprĂ©hendĂ© les 4 pĂ©riodes citĂ©es au verset 41/10 Ă  propos de la Terre comme incluant en fait les 2 premiĂšres pĂ©riodes qui avaient Ă©tĂ© citĂ©es au verset 41/9 Ă  propos de la crĂ©ation de cette Terre c'est-Ă -dire que la crĂ©ation de la Terre elle-mĂȘme a durĂ© 2 pĂ©riodes ; et l'ancrage des montagnes sur la Terre, la bĂ©nĂ©diction envoyĂ©e sur la Terre, le fait d'y avoir disposĂ© eaux et plantes, cela n'a durĂ© en fait que 2 autres pĂ©riodes ; quand dans ce verset 41/10, il est dit que cela a durĂ© 4 pĂ©riodes, c'est par addition de tout ce qui a trait Ă  la est l'avis de QatĂąda TafsĂźr Ibn KathĂźr, tome 1 p. 64 et de MuqĂątil AnwĂąr ud-dirĂąyĂąt, pp. 21-22.Nous avons alors ceci - durant 2 pĂ©riodes, les cieux sont créés ; - durant les 2 pĂ©riodes suivantes, la Terre est créée ; - durant les 2 derniĂšres pĂ©riodes, les montagnes sont ancrĂ©es sur la Terre, Dieu place dans cette derniĂšre Sa bĂ©nĂ©diction, et les eaux, les ressources et les plantes y sont C Une troisiĂšme interprĂ©tation Dans les passages 2/29 et 41/9-12, la particule "thumma" n'est pas Ă  apprĂ©hender dans son sens de succession dans le temps, mais de succession dans le discours ; elle est donc Ă  traduire non pas par "Ensuite", mais par "De plus". Nous avons alors ceci "Dis "Renierez-vous, et donnerez-vous des Ă©gaux Ă  Celui qui a créé la Terre en deux pĂ©riodes – VoilĂ  le Seigneur de l'univers –, et a placĂ© au-dessus d'elle des ancres, l'a bĂ©nie et lui a assignĂ© ses ressources en quatre pĂ©riodes, Ă©gales pour ceux qui demandent. De plus Il s'est Ă©tabli vers le ciel alors que celui-ci Ă©tait fumĂ©e, puis Il a dit Ă  celui-ci et Ă  la Terre "Venez, de grĂ© ou de force !" Ils dirent "Nous venons obĂ©issants." Il fit d'eux sept cieux en deux pĂ©riodes et Il rĂ©vĂ©la Ă  chaque ciel l'ordre qui lui revenait. Et Nous avons embelli le ciel le plus bas [ou le plus proche] par des lampes, et [celles-ci servent aussi] de protection. VoilĂ  l'ordre Ă©tabli par le Puissant, l'Omniscient" Coran 41/9-12. Le tout a donc bien eu lieu dans un total de 6 compris, ce passage communique les Ă©lĂ©ments suivants - la crĂ©ation des cieux a eu lieu en 2 pĂ©riodes 41/12 ; - la crĂ©ation de la Terre a durĂ© Ă©galement 2 pĂ©riodes 41/9 ; - l'Ă©rection de montagnes sur la Terre, le fait que Dieu y a disposĂ© Sa bĂ©nĂ©diction, et la prĂ©disposition des ressources sur Terre, tout cela a durĂ© 4 pĂ©riodes 41/10.VoilĂ  pour la seconde question sus-Ă©voquĂ©e...A la lumiĂšre de cette lecture, on peut s'attacher Ă  rĂ©soudre la premiĂšre apparente contradiction existant entre les trois passages coraniques citĂ©s plus haut, et ce par le biais de la question suivante Les 2 pĂ©riodes qu'a durĂ© la crĂ©ation des cieux ont-elles Ă©tĂ© concomitantes aux 2 pĂ©riodes qu'a durĂ© la crĂ©ation de la Terre ? ou ont-elles correspondu Ă  2 des 4 pĂ©riodes pendant lesquelles ont eu lieu l'Ă©rection des montagnes et la prĂ©disposition des ressources sur Terre ?Pour rĂ©pondre Ă  cette nouvelle question, attardons-nous auprĂšs du passage 79/27-33 sourate an-NĂązi'Ăąt. Si on y a apprĂ©hende la formule "ba'da dhĂąlika" dans son sens de succession dans le temps, on a ceci "Il l'a [= le ciel] construit, a Ă©levĂ© sa voĂ»te, puis l'a parfaitement ordonnĂ© ; et Il a assombri sa nuit et a fait sortir son jour montant. Et la Terre, aprĂšs cela Il l'a aplanie. Il a fait sortir d'elle son eau et son pĂąturage. Et les montagnes Il les a ancrĂ©es" Coran 79/27-32.Dans ce passage 79/27-33 sourate an-NĂązi'Ăąt on lit donc que - le ciel avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© créé, et l'alternance du jour et de la nuit existait dĂ©jĂ  lorsque la Terre a Ă©tĂ© aplanie, que l'eau et les pĂąturages y sont apparus et que les montagnes y ont Ă©tĂ© dans le passage 41/9-10 sourate Fussilat, on avait vu que - l'Ă©rection de montagnes sur la Terre, le fait que Dieu y a disposĂ© Sa bĂ©nĂ©diction, et la prĂ©disposition des ressources sur Terre, tout cela a durĂ© 4 pĂ©riodes 41/10 faisant suite aux 2 pĂ©riodes qu'a durĂ© la crĂ©ation de la Terre 41/9.On est donc amenĂ© Ă  penser que - les 2 pĂ©riodes qu'a durĂ© la crĂ©ation des cieux furent situĂ©es avant les 4 pĂ©riodes oĂč se dĂ©roulĂšrent l'Ă©rection des montagnes, etc., sur Terre ; ces 2 pĂ©riodes ne peuvent donc correspondre qu'aux 2 pĂ©riodes pendant lesquelles la crĂ©ation de la Terre a eu le passage 2/29 sourate al-Baqara on a alors recours Ă  la mĂȘme interprĂ©tation de la particule "thumma" que pour le passage 41/9-12 sourate Fussilat "Il est Celui qui a créé pour vous tout ce qui se trouve sur la Terre. De plus thumma Il S'est Ă©tabli vers le ciel et fit d'eux sept cieux. Et Il est Celui qui Savant de toute chose" 2/29.Nous avons donc ceci - durant 2 pĂ©riodes, les cieux ainsi que la Terre sont créés ; - durant 4 pĂ©riodes, les montagnes sont ancrĂ©es sur la Terre, Dieu y place Sa bĂ©nĂ©diction, les eaux, les ressources et les plantes y sont Un point supplĂ©mentaire Dans le verset de la sourate Al-Baqara, on lit que Dieu "S'est Ă©tabli vers le ciel et fit d'eux sept cieux" Coran 2/29. Ici une question se pose, que Ibn JarĂźr at-TabarĂź a Ă©voquĂ©e Le fait que Dieu S'est Etabli vers le ciel pour en faire sept cieux, cela se situe-t-il avant, ou bien aprĂšs, le fait qu'Il ait créé ce ciel ou ces cieux ?Voici 3 rĂ©ponses que at-TabarĂź relate Ă  ce sujet de Commentateurs l'ordre de ces rĂ©ponses n'est pas celui dans lequel at-TabarĂź les a exposĂ©es – 1 Ă  ce moment-lĂ , Dieu avait dĂ©jĂ  créé le ciel ; ce qu'Il fit alors fut seulement d'en faire sept cieux ;– 2 quand Dieu dit S'ĂȘtre Etabli vers le ciel, aucun ciel n'existait alors pourtant ; mais c'est lĂ  une expression ainsi, Dieu dit "Notre parole Ă  quelque chose, lorsque Nous voulons qu'elle soit, n'est que de lui dire "Sois !", et elle est" Coran 16/40 la "chose" dont il est ici question n'est, avant que Dieu lui dise "Sois !", pas encore venue Ă  l'existence, et pourtant Dieu la dĂ©signe bien comme Ă©tant "une chose" ; en fait cette chose va exister, Dieu en a prĂ©destinĂ© l'existence ; la mĂȘme chose pourrait donc ĂȘtre valable pour "le ciel" aucun cien n'existait alors, mais Dieu le dĂ©signe bien comme Ă©tant "le ciel", vu qu'Il va le crĂ©er ;– 3 quand Dieu dit S'ĂȘtre Etabli vers le ciel, celui-ci avait alors Ă©tĂ© dĂ©jĂ  créé, mais seulement sous forme de "fumĂ©e" ; Il le transforma alors en "ciel" vĂ©ritable et mĂȘme en sept cieux. Ceci exactement comme Dieu a dit dans la sourate Fussilat "Il s'est Ă©tabli vers le ciel alors que celui-ci Ă©tait fumĂ©e, puis Il a dit Ă  celui-ci et Ă  la Terre "Venez, de grĂ© ou de force !" Ils dirent "Nous venons obĂ©issants." Il fit d'eux sept cieux en deux pĂ©riodes et Il rĂ©vĂ©la Ă  chaque ciel l'ordre qui lui revenait" 41/12. Avant que Dieu S'Etablisse vers lui pour en faire sept cieux, le ciel existait donc, mais seulement sous une "forme primitive".Cf. TafsĂźr at-TabarĂź.Si on retient l'interprĂ©tation 2, alors elle se marie tout Ă  fait avec l'interprĂ©tation C plus haut contre, si on retient l'interprĂ©tation 3 et qu'on retient Ă©galement l'interprĂ©tation C plus haut Ă©voquĂ©e, on a alors deux possibilitĂ©s – soit les deux pĂ©riodes qu'a durĂ© la crĂ©ation des cieux et qui sont Ă©voquĂ©es en 41/12 sont bien les deux pĂ©riodes qui sont Ă©voquĂ©es en 41/9, pendant lesquelles la Terre a Ă©tĂ© créée ; cependant, la crĂ©ation du ciel sous forme de "fumĂ©e" a eu lieu avant le dĂ©but des six pĂ©riodes Ă©voquĂ©es dans tant de versets du Coran ; ces six pĂ©riodes ne recouvrent donc qu'une partie de la crĂ©ation des cieux et de la Terre ; pas le moment oĂč ils n'existaient que sous forme de masse gazeuse ce que semble vouloir dire le mot "fumĂ©e". On remarque d'ailleurs que quand Dieu s'adressa au ciel alors qu'il Ă©tait de la fumĂ©e, Il s'adressa Ă©galement Ă  la Terre celle-ci devait alors dĂ©jĂ  exister, elle aussi sous la forme primitive que Dieu lui avait donnĂ©e avant le dĂ©but du dĂ©compte des six jours ; – soit ces six pĂ©riodes couvrent bien la totalitĂ© de la crĂ©ation des cieux et de la Terre mĂȘme si par ailleurs d'autres choses avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© créées avant ces six pĂ©riodes. Quand Dieu dit "Il s'est Ă©tabli vers le ciel alors que celui-ci Ă©tait fumĂ©e, puis Il a dit Ă  celui-ci et Ă  la Terre "Venez, de grĂ© ou de force !" Ils dirent "Nous venons obĂ©issants"" 41/11, Il parle du ciel et de la Terre créés sous "une forme primitive". Et ces ciel et Terre "primitifs" ont bien Ă©tĂ© créés en mĂȘme temps, durant les deux premiĂšres pĂ©riodes ; cependant, les deux pĂ©riodes qui sont Ă©voquĂ©es en 41/12 concernent la Terre "primitive" et constituent les deux premiĂšres des six pĂ©riodes, alors que les deux pĂ©riodes citĂ©es en 41/12 concernent les sept cieux "Ă©laborĂ©s" et constituent donc deux pĂ©riodes ultĂ©rieures, au sein des six pĂ©riodes qu'a durĂ© la crĂ©ation des cieux et de la A'lam Dieu sait mieux.Source Maison de l'Islam. RĂšgles de biensĂ©ance et invocations 8 ans et plus Ce qu'il faut Les pages ci-dessous imprimĂ©es les fiches + le livre sur les invocations De la colle, des paillettes ou du gel pailletĂ©au choix, une paire de ciseaux. Des feuilles cartonnĂ©es pour rigidifier les fiches d'invocations imprimĂ©es. Une reliure pour le livre ou une barette pour tenir les feuilles. Les fiches Ă  imprimer Le document du livre Ă  imprimer RĂ©alisation Cette activitĂ© a fait l'objet d'ateliers animĂ©s par les soeurs d'Angers, sur le thĂšme des invocations, on vous prĂ©sente dans cette section l'activitĂ© dĂ©diĂ©e aux enfants 8 ans et plus. Une partie thĂ©orique oĂč l'on explique aux enfants le contenu du livre imprimĂ© prĂ©cĂšde la partie pratique. Ainsi, pendant la phase d'activitĂ© manuelle, les enfants prennent leurs fiches d'invocations, les dĂ©coupent si elles sont au fromat A4, recollent sur des papiers cartonnĂ©s au format souhaitĂ©, ensuite ils dĂ©corent avec des paillettes s'ils le souhaitent. Pendant l'activitĂ©, les enfants rĂ©pĂštent quelques invocations et s'exercent Ă  les dire en arabe, bien sĂ»r. Exemples de rĂ©alisation Les fiches rĂ©alisĂ©es et dĂ©corĂ©es par les enfants qui ont participĂ© Ă  l'atelier d'Angers sur le thĂšme "Mes invocations". Autres fiches d'invocations audio et Ă  imprimer Invocations au quotidien

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